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ROUEN. La Métropole met en œuvre son plan d’actions pour préserver la biodiversité de son territoire
A la reconquête Les terres du Moulin à Vent.

En termes de compétences, la Métropole Rouen Normandie encadre de nombreux domaines d’activités. Au titre de celles-ci, l’institution est en charge de la politique en faveur de l’eau, de l’agriculture, de la forêt, des paysages et du développement touristique ainsi que des activités de pleine nature. Engagée depuis plusieurs années dans un programme d’actions, elle vient d’acquérir 102 hectare de terres auprès de la société d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER) sur les communes d’Anneville-Ambourville et de Bardouville afin d’y aménager le site écologique « Les terres du Moulin à Vent » par des actions de conservation, de protection et de prévention. Mercredi après-midi, Frédéric Sanchez, le président de la Métropole, Franck Roger le maire de Bardouville, Eric Lefevbre le maire d’Anneville-Ambourville ainsi que Hubert Dejean de la Batie, vice-président de Région Normandie et Jean-Pierre Girod, le président du Parc Naturel des Boucles de la Seine, ont présenté les grandes lignes du plan d’action qui est mené sur ce premier site de grande ampleur. « Les objectifs sont de protéger la ressource en eau du captage de Bardouville, restaurer les milieux naturels remarquables et notamment les milieux silicicoles dont la préservation est jugée prioritaire, mettre en valeur le paysage, vecteur d’attractivité pour des activités connexes en matière de tourisme vert, de circuits de randonnées, maintenir et développer une activité agricole, et plus particulièrement une agriculture tournée vers une gestion durable des ressources et des circuits courts de distribution ».  Les 102 hectares qui viennent s’ajouter aux 10 que la Métropole possédait déjà, vont faire l’objet d’un appel à candidatures pour que ces parcelles soient mises à disposition des exploitants agricoles. Les heureux élus géreront ces lieux selon un cahier des charges environnemental très strict. Cet appel à projet s’annonce comme le premier d’une longue série au fur à mesure des rétrocessions de terrains de l’entreprise FCH Sablières Capoulade qui y exploite actuellement les sous-sols. Le coût de cet ambitieux projet a été estimé à 1,162 millions d’Euros. Il fait l’objet d’un soutien financier de l’Europe au titre du FEDER, de la Métropole Rouen Normandie, de la Région Normandie et de l’Agence de l’Eau Seine Normandie.

A la reconquête Les terres du Moulin à Vent.

En termes de compétences, la Métropole Rouen Normandie encadre de nombreux domaines d’activités. Au titre de celles-ci, l’institution est en charge de la politique en faveur de l’eau, de l’agriculture, de la forêt, des paysages et du développement touristique ainsi que des activités de pleine nature. Engagée depuis plusieurs années dans un programme d’actions, elle vient d’acquérir 102 hectare de terres auprès de la société d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER) sur les communes d’Anneville-Ambourville et de Bardouville afin d’y aménager le site écologique « Les terres du Moulin à Vent » par des actions de conservation, de protection et de prévention. Mercredi après-midi, Frédéric Sanchez, le président de la Métropole, Franck Roger le maire de Bardouville, Eric Lefevbre le maire d’Anneville-Ambourville ainsi que Hubert Dejean de la Batie, vice-président de Région Normandie et Jean-Pierre Girod, le président du Parc Naturel des Boucles de la Seine, ont présenté les grandes lignes du plan d’action qui est mené sur ce premier site de grande ampleur. « Les objectifs sont de protéger la ressource en eau du captage de Bardouville, restaurer les milieux naturels remarquables et notamment les milieux silicicoles dont la préservation est jugée prioritaire, mettre en valeur le paysage, vecteur d’attractivité pour des activités connexes en matière de tourisme vert, de circuits de randonnées, maintenir et développer une activité agricole, et plus particulièrement une agriculture tournée vers une gestion durable des ressources et des circuits courts de distribution ».  Les 102 hectares qui viennent s’ajouter aux 10 que la Métropole possédait déjà, vont faire l’objet d’un appel à candidatures pour que ces parcelles soient mises à disposition des exploitants agricoles. Les heureux élus géreront ces lieux selon un cahier des charges environnemental très strict. Cet appel à projet s’annonce comme le premier d’une longue série au fur à mesure des rétrocessions de terrains de l’entreprise FCH Sablières Capoulade qui y exploite actuellement les sous-sols. Le coût de cet ambitieux projet a été estimé à 1,162 millions d’Euros. Il fait l’objet d’un soutien financier de l’Europe au titre du FEDER, de la Métropole Rouen Normandie, de la Région Normandie et de l’Agence de l’Eau Seine Normandie.