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ROUEN. La jeune chambre économique de Rouen veut mettre en avant les entreprises locales à travers le filtre de la génération Y.
Une entreprise Y c’est quoi ?

Soucieuse de jouer son rôle de locomotive dans le paysage économique, la Jeune chambre économique de Rouen (JCER) mène, tout au long de l’année, des projets qui visent à mettre en avant l’entreprise locale, ses atouts, ses forces vives et ses perspectives. L’une de ses récentes initiatives résulte de deux constats. Tout d’abord, la reconnaissance de la « génération Y ». En Jeans, baskets, des écouteurs stéréo sur les oreilles, des parties de ping pong dans les open spaces, un verre de vin et des chip’s durant les réunions… Caricaturée, la « génération Y » pourrait être ainsi décrite. Cela serait réducteur mais pas plus que ce terme qui englobe tout ce que l’on veut bien y mettre pourvu que cela ne ressemble à rien de connu du passé ! « Une jeunesse déroutante, à la croisée de l’impertinence, de la créativité, de la vitesse et des révolutions qui animent le quotidien » ainsi que s’accordent à la définir certains « experts »… On l’aura compris, la « génération Y » serait celle de jeunes gens, nés entre 1980 et 1997, qui n’acceptent pas les codes traditionnels du monde du travail. Ils souhaitent notamment, préserver leur temps libre, rêvent d’entrepreneuriat et ne veulent plus entrer dans les grandes entreprises et y faire de longues carrières comme ont pu le faire leurs aînés. Parallèlement à ce concept, il y a l’état des lieux fait par la JCER sur l’entreprise locale.  » En France ou ailleurs, Normandie rime avec « vaches », « pommes » ou encore « plages du débarquement ». Et pourtant… les entreprises innovantes du territoire font de la Normandie bien plus qu’un simple musée à ciel ouvert! » confie Amélie Canhan, actuelle présidente de la jeune chambre. Dans ce contexte, une dizaine de membres et observateurs de la JCER ont choisi de donner un coup de projecteur sur l’économie locale, avec pour filtre la « génération Y ». « Nous recherchons des entreprises se reconnaissant dans cette définition de « génération Y » avec lesquelles nous souhaitons développer leur image positive auprès des habitants ». « En filigrane, c’est un peu le contrepied à ce qui s’expose de la « génération Y » qui veut être mis en avant. Prouver que ce mode de fonctionnement est adaptable, non seulement dans les start-up, le numérique mais également dans des secteurs comme le commerce, l’alimentaire ou le bâtiment » conclut Cédric Challamel, past-président de la JCER. 

Une entreprise Y c’est quoi ?

Soucieuse de jouer son rôle de locomotive dans le paysage économique, la Jeune chambre économique de Rouen (JCER) mène, tout au long de l’année, des projets qui visent à mettre en avant l’entreprise locale, ses atouts, ses forces vives et ses perspectives. L’une de ses récentes initiatives résulte de deux constats. Tout d’abord, la reconnaissance de la « génération Y ». En Jeans, baskets, des écouteurs stéréo sur les oreilles, des parties de ping pong dans les open spaces, un verre de vin et des chip’s durant les réunions… Caricaturée, la « génération Y » pourrait être ainsi décrite. Cela serait réducteur mais pas plus que ce terme qui englobe tout ce que l’on veut bien y mettre pourvu que cela ne ressemble à rien de connu du passé ! « Une jeunesse déroutante, à la croisée de l’impertinence, de la créativité, de la vitesse et des révolutions qui animent le quotidien » ainsi que s’accordent à la définir certains « experts »… On l’aura compris, la « génération Y » serait celle de jeunes gens, nés entre 1980 et 1997, qui n’acceptent pas les codes traditionnels du monde du travail. Ils souhaitent notamment, préserver leur temps libre, rêvent d’entrepreneuriat et ne veulent plus entrer dans les grandes entreprises et y faire de longues carrières comme ont pu le faire leurs aînés. Parallèlement à ce concept, il y a l’état des lieux fait par la JCER sur l’entreprise locale.  » En France ou ailleurs, Normandie rime avec « vaches », « pommes » ou encore « plages du débarquement ». Et pourtant… les entreprises innovantes du territoire font de la Normandie bien plus qu’un simple musée à ciel ouvert! » confie Amélie Canhan, actuelle présidente de la jeune chambre. Dans ce contexte, une dizaine de membres et observateurs de la JCER ont choisi de donner un coup de projecteur sur l’économie locale, avec pour filtre la « génération Y ». « Nous recherchons des entreprises se reconnaissant dans cette définition de « génération Y » avec lesquelles nous souhaitons développer leur image positive auprès des habitants ». « En filigrane, c’est un peu le contrepied à ce qui s’expose de la « génération Y » qui veut être mis en avant. Prouver que ce mode de fonctionnement est adaptable, non seulement dans les start-up, le numérique mais également dans des secteurs comme le commerce, l’alimentaire ou le bâtiment » conclut Cédric Challamel, past-président de la JCER.