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Tous les articles par Quevilly Espace Images - 3. page

  • GRAND-QUEVILLY. Les enseignants d’Edouard Branly, accompagnés de confrères d’autres établissements ont déposé une pétition au rectorat.

    La mobilisation au collège ne faiblit pas.

    Mercredi, le rectorat de Rouen a sans doute été l’un des lieux les plus fréquentés de l’agglomération. Dès le matin, ce sont les participants à la journée d’action nationale contre la « loi travail » qui y ont arboré banderoles et slogans, remplacés, l’après-midi par les enseignants du collège Edouard Branly de Grand-Quevilly, toujours mobilisés contre la direction de leur établissement dont ils réclament le départ (notre édition du 5 février). « Management agressif, répression syndicale et suppressions de postes sont à la base de notre action débutée en décembre 2015 après la mise en arrêt de l’une de nos collègues en extrême souffrance » a rappelé Olaf Van Aken le porte-parole des enseignants. A la suite d’un mouvement de grève observé le mois dernier, une délégation a été reçue par le rectorat durant laquelle l’académie a proposé une analyse de la situation et la pose d’un diagnostic. « Nous affirmons, au vu des antécédents de la principale du collège Carole Hervieux, qui a sévit dans d’autres établissements de l’académie, que l’heure n’est plus au diagnostic »  soutiennent les enseignants, « le rectorat est bien au courant de ses tribulations. C’est pourquoi nous venons y déposer une pétition approuvée par plus de 600 signataires. Nous demandons le départ de cette personne afin de retrouver des conditions de travail correctes, ce qui rejaillira inévitablement sur le bon apprentissage de nos élèves.  Cinq  organisations  syndicales  nous  soutiennent  (CGT-Education,  FAEN- SNCL, SNFOLC, SNES-FSU, SUD-Education) et nous sommes bien décidés à rester en lutte tant que notre demande n’aura pas abouti à ce départ ».

     
  • ROUEN. Sortir. A l’invitation du Krystol, Tonton David revient à Rouen dispenser sa Reggae attitude.

    Tonton David en concert.

    La chanson de la bande originale du film « Un Indien dans la ville » résonne encore à nos oreilles. Pourtant, longtemps après « chacun sa route, chacun son destin… », force est de constater que son auteur, Tonton David, est loin de faire les unes de l’actualité musicale française. Le Bob Marley national n’en est pas pour autant, oublié de tout le monde. A l’invitation de Nora du Krystol à Rouen et avec la complicité de Terminal Sound, il prendra le micro samedi 13 février à partir de 21 h pour revisiter l’ensemble de son œuvre. Seul lieu proposant des « after » conviviaux aux noctambules, le Krystol a pris pour habitude de convier les artistes qui le souhaitent à venir disposer de l’endroit. Les étudiants de Rouen l’ont bien compris, organisant régulièrement leurs soirées endiablées. « C’est un endroit fait pour s’amuser, sans prise de tête » confie Nora, toute heureuse de recevoir « son idole ». « Ici, tous les styles de musique sont acceptés, à l’exception du rap, trop agressif à mon goût. Une seule condition pour que les artistes soient les bienvenus : que la première partie de leur concert soit assurée par des chanteurs locaux ». 

     
  • ROUEN. A l’occasion de la sortie de la mouture 2016, testeurs, partenaires et gagnants du concours se sont réunis à l’Armitière.

    Le P’tit Normand fait recette.

    Quoi de plus évident comme endroit pour présenter la 37e édition du guide « Le P’tit Normand » si ce n’est l’écrin culturel que représente la librairie l’Armitière ? A l’étage de l’établissement, l’ouvrage a en effet toute sa place parmi les romans, les encyclopédies ou les essais. Et pour cette mouture 2016, le guide édité par la Société Normande d’Information et de Communication (Paris-Normandie, Le Havre Presse, Havre Libre, Le Progrès de Fécamp, Liberté Dimanche) a évolué, eut égard au rapprochement des deux régions qui, dorénavant n’en forment plus qu’une : la Normandie. « Pendant 35 ans, le P’tit Normand s’est surtout préoccupé de ce qui se faisait, en matière de gastronomie, en Haute-Normandie » a raconté Béatrice Picard, rédactrice en chef du guide, « néanmoins, dès 2015, nos 35 testeurs se sont intéressés à une soixantaine de restaurant de Basse-Normandie. Nous n’avons donc pas été pris au dépourvu alors que cette année voit l’officialisation de cette union ». Ainsi, ce sont 3000 établissements qui ont été visités sur l’ensemble du territoire Normand dont 450 sont répertoriés dans cette bible des bonnes tables. 155 y font leur entrée et 42 de « l’ancienne Basse-Normandie » font leur apparition dans le très recherché « Top 100 ». Guy Pessiot, le fondateur du guide en 1978 est revenu sur les critères de sélection de ces restaurants. « Nous sommes là pour rendre un service aux consommateurs. C’est pourquoi nous ne parlons que des bons endroits, laissant aux autres le soin de vivre leur vie ou… de s’améliorer. Mais nous ne sommes pas des critiques gastronomiques, nous aiguillons les connaisseurs, c’est tout! ». Cette année 2016 verra aussi une collaboration avec « Normandie Impressionnistes ». La culture, de Rouen à Giverny en passant par Cherbourg ou Caen sera le prétexte à proposer une cartographie des bonnes auberges à proximité des sites d’exposition. Cette soirée de présentation aura également permis de récompenser les 5 gagnants du concours « P’tit Normand » initié par Paris-Normandie qui se sont vus offrir chacun un diner croisière sur la Seine à bord du navire « l’Escapade) d’une valeur de 129 Euros. Laurent Marxx, Anne Sannier, Michèle Cordier, Gilbert Annick Martin Guerra et Etienne Lucien ont également reçu des petits présents Paris-Normandie et ont pu goûter les produits du terroir offerts par la société Potimarron.

     
  • ROUEN. L’Intermarché de la place Saint-Marc a rouvert ses portes pour le plus grand bonheur des riverains.

    La réouverture du supermarché de la place Saint-Marc, reportée de semaine en semaine est enfin effective. Cette enseigne Intermarché Avait baissé le rideau après qu’un incendie se soit déclaré au matin du vendredi 16 octobre. Depuis, les riverains s’interrogeait sur la réouverture de celui-ci, les obligeant à changer leurs habitudes et, pour beaucoup d’entre eux, traverser la Seine pour aller rive gauche faire leurs courses. Yvette, rencontrée sur les lieux, savoure ce nouveau lancement. « Plus besoin de courir à droite et à gauche pour faire mes achats. Je retrouve mes petites habitudes même si l’aspect du magasin a été remodelé ».

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Rendez-vous d’hiver de l’Ecole municipale de musique, de danse et de théâtre.

    Fabien Lenoir, professeur de musique a réuni à l’Astrolabe ses élèves de Sotteville-lès-Rouen et du Petit-Quevilly à l’occasion d’une rencontre de percussion, énergiquement animée par Lucie Brière, la directrice adjointe de l’Ecole municipale de musique, de danse et de théâtre (EMMDT) de Petit-Quevilly. Au menu, Cymbales, Marimbas, Vibraphones ou  Batteries, pour divers morceaux interprétés par les jeunes élèves. Prochain intermède musical dans le froid de l’hiver : Mélodies d’adultes, audition de différentes discipline de l’école, le lundi 1erfévrier 2016 à 18 h 30 dans la salle Berlioz de l’école de musique, 150 bis rue Gambetta à Petit-Quevilly; Entrée libre.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Quand le rond-point devient carré.

    Afin de répondre à de nouvelles mobilités, la Métropole Rouen Normandie a lancé dernièrement la création d’une nouvelle ligne de bus baptisée T4. Elle reliera la place du Boulingrin et le Zénith de Rouen. Empruntant le boulevard du 11 novembre pour pénétrer sur Petit-Quevilly, elle débouchera immanquablement sur le rond-point des Bruyères qui, à cet effet, va être transformé en … carré ! Les véhicules l’emprunteront alors à angle droit, le milieu du carrefour étant réservé à l’implantation de la station de bus ainsi qu’à des à-côtés destinés au public. En préambule à ce projet, divers chantiers voient le jour le long du boulevard du 11 novembre. Il en est ainsi au niveau fast-food des Chartreux ainsi qu’au rond-point des Bruyère (photo) où les travaux d’adduction d’une canalisation d’eau potable ont débuté le 7 janvier et devraient se terminer les jours prochains.

     
  • ROUEN. Un millier de gamins invités ont vibré aux exploits des perchistes lors de la 4e édition du Perche Elite Tour au Kindarena.

     Se dépasser pour y arriver.

    Cette année encore, les meilleurs perchistes du monde s’étaient donné rendez-vous au Kindarena de Rouen pour la 4e édition du Perche Elite Tour. Plus de 5200 spectateurs ont, dès 19 h, investi les tribunes, se préparant pour accompagner toujours plus haut les meilleurs perchistes mondiaux. Cette rencontre, première étape vers les Jeux Olympiques de Rio pour de nombreux athlètes, comptait également pour les qualifications aux Championnats du Monde en salle 2016 de Portland (États-Unis). Dans un Kindarena chauffé à blanc, mille paires d’yeux se sont écarquillé lorsque, vers 20 h, les champions ont été présentés au public, à grand renfort de jeux de lumières et de « musique qui fait peur… ». Invités par BNP Paribas, partenaire solidaire du Perche Tour et son directeur régional Madjid Agag, mille jeunes issus d’associations locales comme Solepi, l’AFEV, les Restos du Cœur et le Secours Populaire avaient revêtu un tee-shirt orange et idéalement placés face au sautoir Hommes. « C’est fantastique! » s’émerveillait Leïla, 15 ans, faisant partie de ces VIP. « C’est la première fois que je viens au Kindarena, c’est géant, lumineux, plein de sons. Les gens sont sympas et on a l’impression que tout le monde s’aime… ». Christopher lui, a 14 ans et son truc c’est le foot. « Je reconnais que le saut à la perche doit être un sport bien plus difficile. L’athlète est tout seul devant sa barre et en plus, il faut courir pour la franchir. Presque 6 mètres, on ne se rend pas compte mais c’est super haut! Il faut se dépasser pour y arriver ». Et oui, c’est haut, mais cela n’empêchera pas Renaud Lavillenie, pour qui beaucoup de gens étaient venus, d’attendre que la barre soit positionnée à 5,70 pour faire son entrée dans le concours. 21h30 : sous les acclamations redoublant de vigueur, l’essai est franchi du premier coup! Délire parmi les jeunes qui, programme en main, tirent déjà des conclusions sur la suite. « Renaud va gagner le concours, juste devant Barber et Raphael (Holsdeppe) sera loin derrière … » promet Marion, elle-même pratiquant l’athlétisme. De l’autre côté de la salle, Marion Lotout la sottevillaise et Marion Fiack la championne de France sont à la peine. 22h15 : Renaud Lavillenie s’élance pour son troisième essai à 5m95 … Las! Le concours s’arrête pour lui. 

     
  • ROUEN. Les musées de l’agglomération sont entrés dans le giron de la Métropole qui a lancé une grande opération pour le faire savoir.

    Entrez dans la ronde des musées.

    En 2016, la Métropole Rouen Normandie rassemble les musées de son territoire dont elle ouvre les portes gratuitement. Neuf établissements composent dorénavant la Réunion des Musées métropolitains », l’un des premiers pôles muséaux de France. A cette occasion était lancé ce week-end un jeu de piste, premiers jours d’un concours devant s’achever le 21 février prochain. Le principe est simple : des objets mystérieux à retrouver dans les différents musées, des questions et une belle balade sur le territoire de la Métropole. Prétexte à une promenade en famille ou entre amis, petit tour ce samedi après-midi. Au Secq des Tournelles, une vingtaine de personnes s’émerveillaient devant les ferronneries, armes et autres serrures aux mécanismes compliqués. Jean-Emmanuel avec sa femme Hélène et leurs 4 enfants ont profité de la gratuité pour faire découvrir aux enfants autre chose que ce qu’ils ont l’habitude de voir. « La télé, les jeux c’est bien mais s’instruire en découvrant le patrimoine c’est encore mieux » confie Jean-Emmanuel, « d’autant que certains éléments présentés dans ce musée sont intégrés dans le programme d’histoire qu’ils suivent à l’école ». Pour autant, ils n’ont pas entendu parler du jeu. « Nous n’étions pas au courant! ». Au MBA (Musée des Beaux-Arts), c’est la foule des grands jours. Parmi les visiteurs, Maxime et Eloïse, deux lycéens amoureux déambulent dans les grandes salles. « Non, nous ne sommes pas là pour le jeu mais tout simplement parce que nous trouvons l’endroit très beau, son ambiance, ses éclairages et les œuvres exposées. On y vient souvent! ». Plus loin, Valérie Wiensendanger, artiste plasticienne est tout à son atelier « Cadavres exquis ». Léa, 3 ans, s’avance, prend une feuille et commence à dessiner. « Pour bien faire il faudrait faire tous les musées » confie sa maman, « mais je crains que ce ne soit pas pour aujourd’hui ». Sur le parvis, un café chaud et des viennoiseries attendent le visiteur. « C’est gratuit ? » s’étonne Geneviève. Offert par la Métropole! A plusieurs kilomètres de là, à Petit-Couronne, Antoine et Louise, deux étudiants, cherchent consciencieusement les masques antiques prêtés par le musée des antiquités à la maison Pierre Corneille. 3Quand on les aura trouvés, il faudra répondre aux questions posées. Et là, c’est une autre paire de manches… » sourient-ils. Qu’ils se rassurent. Ils ont jusqu’au 21 février pour compléter leur ronde des musées et faire partie des 100 gagnants. Renseignements dans tous les musées participants et sur www.musees-rouen-normandie.fr 

     
  • ROUEN. Le chœur du CHU est venu chanter à l’intention des pensionnaires de la résidence Tiers Temps.

    Un écrin pour bien vieillir.

    Depuis plus de vingt ans, l’établissement Tiers Temps de la rue des Bons enfants accueille plusieurs dizaines de résidents. Dirigée par Véronique Heulin et sous la houlette de Laurence Lepicard, animatrice, cette petite communauté s’efforce de dérouler des jours qui se veulent le plus heureux possible. « Nous avons à faire à un public âgé voire très âgé » explique l’animatrice, « notre rôle est d’intéresser et d’occuper tout le monde. Ainsi, chercher et trouver des activités qui font l’unanimité est notre quotidien ». Privilégiant les projets intergénérationnels, la résidence n’hésite pas à faire appel aux scolaires, à lier des partenariats sociaux-culturels. « Alors que nos résidents ont du mal à sortir, nous faisons plutôt venir l’extérieur ici » confie Laurence. Ateliers de lecture à voix haute, de soins esthétiques, de réflexologie et bien d’autres sont chaque jour au programme de ceux qui le désirent. Et puis, parfois, come dimanche dernier, la culture musicale s’invite. Cette fois-ci c’est le choeur du CHU de Rouen, sous la direction du professeur Pierre Déchelotte qui est venu agrémenter l’après-midi dominical. Plusieurs dizaines de chanteurs, composé pour l’essentiel de personnels de santé, actifs ou retraités, d’étudiants en santé, réunis pour le plaisir de faire de la musique et en faire profiter les autres.

     
  • ROUEN. Fortes de leur jeunesse et de leur bonne santé, quatre étudiantes ont organisé la journée Espace Beauté de la Ligue contre le Cancer.

    Nous sommes tous concernés par cette maladie

    Certains de leurs camarades en mastère management à l’Institut d’administration des entreprises de Rouen ont opté, dans le cadre d’un projet tutoré faisant partie de leur cursus, d’organiser des instants festifs ou autres évènementiels. Sabrina Lenoble, Manon Kervadec, Volonie Vasseur et Joséphine Vaillot ont, elles décidé de s’associer à la Ligue contre le Cancer pour la mise en place d’une journée « Espace beauté », une après-midi entièrement dédiée aux femmes atteintes d’un cancer. « C’est une cause qui nous concerne, nous les jeunes. Le Cancer ne touche pas seulement des gens d’un certain âge », explique Volonie, chaque année, plusieurs milliers d’adolescents en sont affectés ». Déjà, en décembre 2015, les quatre jeunes femmes avaient mis leur savoir au service d’une semaine de communication et de récolte de dons au profit de la Ligue. « Nous joignons l’utile à l’utile si je puis dire », reprend la jeune étudiante, « d’un côté nous apportons nos connaissances en matière de management et de l’autre cela nous permet de tester nos compétences autrement qu’en théorie. Nous mettons en application ce que nous avons appris ». Prospection pour inviter des intervenants, organisation, communication… Elles ont tout concocté pour accueillir plusieurs ateliers au sein du comité de la rue de l’hôpital. Maquillage, tatouage, massage… et, cerise sur le gâteau, un photographe professionnel, venu spécialement de Paris pour immortaliser ces petites transformations. Parmi les femmes venues se faire « chouchouter », Isabelle n’a pu qu’approuver cette initiative. « Je suis une ancienne malade et, grâce à ce genre d’instants, je me suis engagée comme bénévole. Ces séances apportent du bien-être quand tout semble s’écrouler autour de soi. Ces soins de supports sont revitalisants, que ce soit le groupe de parole, de sophrologie, de musicothérapie… Chacune, chacun peut y trouver son compte dans ces moments particuliers ». Nul doute que cette expérience mettant en œuvre leurs compétences aura permis aux quatre jeunes femmes d’apporter du bien-être autour d’elles. Par les temps qui courent …

     
  • SOTTEVILLE-SOUS-LE VAL. Le club de pêche FSGT et ses bénévoles ont tracé les grandes lignes de leur action pour cette année.

    Et au milieu coule une rivière …

    Le club de pêche FSGT a tenu son assemblée générale ordinaire sous l’égide de son président Jean-Luc Brouté. Au menu, bilan de l’année écoulée durant laquelle les 150 membres ont pu s’adonner à leur activité favorite autour des étangs du Circuit de l’Europe qu’il aura néanmoins fallu « débarrasser de plusieurs tonnes d’algues envahissantes, ce dont une quinzaine de bénévoles se sont chargé » a expliqué le président, avant d’ajouter que « le succès de la fête du sport, qui est organisée chaque année, nous permettra encore d’offrir aux enfants de des centres de loisirs de diverses communes de l’agglomération, des journées d’initiation à la pêche durant le mois de juillet ». Cette année, cette grande rencontre, où foire à tout et activités sportives se côtoient, se déroulera les 4 et 5 juin. En outre, la saison se verra rythmée par la dizaine de concours et « enduros » proposés aux  adhérents avides de gardons, esturgeons, brochets et autres Amours blancs… Cette soirée aura également été l’occasion de récompenser les meilleurs pêcheurs de l’année. Sébastien Lemire pour ses truites, Dominique Levasseur et Claude Bréant pour les Blancs et Carnassiers et François Queval pour son fair-play. 

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Le collège Denis Diderot a inauguré l’une des premières salles @ctif de France.

    L’école autrement.

    « Le collège de 2016 devra mieux enseigner les savoirs fondamentaux, former à d’autres compétences et avoir un fonctionnement quotidien assoupli pour s’adapter à la diversité des besoins des élèves ». C’est ce que préconise, entre autres, le contenu de la réforme du collège qui doit intervenir dès la rentrée 2016. Dans cet esprit, le collège Denis Diderot du Petit-Quevilly vient d’inaugurer l’une des premières « salles @actif » en France dans le cadre du projet « Future Classroom Lab », porté par Européen Schoolnet, l’association de 31 ministères européens de l’éducation. « Ce dispositif vise à promouvoir et diffuser une méthodologie de création et d’accompagnement dans un espace classe du futur repensé » explique la principale du collège Catherine Maloeuvre. Tout cela apparaît bien théorique jusqu’à ce que Quentin, Océane, Méva, Eloise et leurs camarades, élèves en classe de 3e, option DP3 (découvertes professionnelles) expliquent concrètement de quoi il s’agit. « Dans cette nouvelle pièce, ancienne salle de technologie réhabilitée par le personnel technique du collège, rien n’est placé au hasard. Un code couleur a été instauré. La zone blanche est celle qui sert à développer les projets, elle contient des PC portables pour faire des travaux individuellement ou en équipe. La zone violette avec les fauteuils permet d’échanger des idées sur les projets en travaillant en groupes. La partie bleue turquoise désigne la zone « présenter », qui permet de s’exercer à l’oral devant les autres élèves. Enfin, la partie orange correspond à la zone « créer », elle est notamment équipée d’un fond vert et d’un caméscope pour réaliser des séquences vidéos ». « Les professeurs sont là pour guider les élèves » reprend Catherine Maloeuvre, ces derniers ont le droit de se déplacer pour changer de zone, de communiquer entre eux. Cet endroit est notamment consacré aux timides, à ceux qui ont du mal à parler face aux autres ». La Future Classroom Lab au Collège Denis Diderot est désormais un projet innovant supervisé par le rectorat et,  à ce titre l’équipe bénéficiera d’un accompagnement ciblé.    Des élèves ont lancé un concours. « Nous aurons bientôt notre logo « Collège Denis Diderot Salle @ctif », s’enthousiasment les collégiens. « Nous avons déjà testé la zone de présentation,  tout particulièrement, nous avons appris à présenter un travail et à intégrer des retours et des conseils donnés par d’autres élèves afin d’améliorer le produit final. Nous avons aussi appris à gérer l’espace pour présenter et partager.  Le mobilier est pratique et nous permet de changer la disposition de la salle à tout moment et très facilement ». L’école de demain est en route et les élèves de Diderot sont fiers de participer à cette aventure.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Installée depuis plus de 30 ans dans les locaux de l’ancien Casino Rouennais, l’Association culturelle et de loisirs des Portugais de l’agglomération de Rouen a déménagé.

    D’un lieu mythique à un autre.

    Ils restent, dans le langage commun des Petit-Quevillais, « les Portugais ». Et pourtant, depuis plus de quarante ans que la première génération s’est installée dans la région, ils font partie intégrante de la communauté. Fuyant la dictature de Salazar, ou tout simplement partis en quête d’un avenir meilleur, ils ont contribué à l’essor de la commune en apportant leurs savoirs, leur culture, en y faisant des enfants et en s’y faisant adopter comme s’il s’agissait de leur propre pays. Afin de retrouver ce petit « bout de Portugal », certains de ces migrants déracinés soucieux de recréer, de manière collective, un microcosme imaginaire, fondent, en 1975, l’Association culturelle et de loisirs des Portugais de l’agglomération de Rouen (ALCPAR). Au sein de ce groupe, dont le siège est installé au sein des locaux de l’ancien Casino Rouennais, rue Maurice Mailleau, on mange portugais, on parle portugais, même si l’association est ouverte à tous. « Nous participons à des défilés folkloriques, à diverses animations dans les villes de la région nous organisons régulièrement des  repas confectionnés par nos bénévoles au cours duquel sont servies des spécialités culinaires portugaises ». Las… La première génération vieilli et la deuxième ne semble pas attirée pour faire perdurer les traditions. Le Casino Rouennais devient vite un gouffre de dépenses, en chauffage, en loyer ou en termes de sécurité. Entendu par la mairie dans son souhait de déménager, Manuel Nogueira-Pineu, le président de l’ACLPAR se voit proposer le bâtiment de l’ancienne caserne des pompiers, boulevard Charles de Gaulle. « La municipalité a participé à la rénovation des lieux à hauteur des fenêtres et huisseries » confie-t-il, « tout le reste a été réalisé par les adhérents, que ce soit en don de matériaux ou en termes de main-d’œuvre ». Fruit de cet accord gagnant-gagnant, le nouveau siège a donc été inauguré mardi en présence de José Stuart, consul honoraire du Portugal, de plusieurs conseillers départementaux et élus, réunis dans la salle au nom dévoilé par Frédéric Sanche : « salle du 1er mai ». Une occasion pour le premier édile de rappeler quelques notions sur le « vivre ensemble » et de souligner « que l’amitié reste le ciment de telles durabilités ». Dans ses locaux flambant neuf, l’association continuera de proposer toutes sortes d’activités liées à la culture lusitanienne au nombre desquelles des cours de Portugais, susceptibles de drainer les jeunes de la deuxième voire troisième génération.

    L’histoire de la caserne des pompiers…

    Construite en 1932-1933 sur des plans de l’architecte Pierre Rivar, ce bâtiment abritait matériel, vestiaires et véhicules d’intervention. A l’étage, un appartement avait été aménagé et une tour utilisée pour le séchage des tuyaux d’incendie construite. Il subsiste de cette époque d’activité la mention « service d’incendie » gravée sur le fronton de la caserne, influencé par l’art-déco de l’époque. En 2008, la caserne des pompiers cesse toute activité, les militaires étant regroupés au sein du Centre d’incendie et de secours de Grand-Quevilly.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Sans nier les difficultés du contexte économique, social et sécuritaire, Frédéric Sanchez a émis des vœux résolument optimistes.

    Croire ensemble.

    « La confiance c’est, étymologiquement parlant, croire ensemble ». Remettant, une nouvelle fois l’ouvrage sur le métier à l’occasion de la présentation des vœux 2016, le maire Frédéric Sanchez, entouré de la majorité de son conseil municipal, a distillé des messages d’espoir à la  population, nombreuse, qui avait fait le déplacement à l’Astrolabe. Justifiant la tenue d’une telle cérémonie, le premier édile a tenu à faire remarquer que « cette dépense publique (les petits fours…) se devait de perdurer car elle trouve tout son sens à l’échelle de la commune. C’est un rendez-vous lors duquel nous pouvons nous rencontrer, discuter, échanger. C’est ainsi que se construit, s’aménage notre ville. En confiance, en conformité avec la feuille de route pour laquelle nous avons été élus ». Evoquant l’horizon de cette nouvelle année, Frédéric Sanchez a abordé les grands chantiers qui vont voir la commune évoluer encore un peu plus. « Le réaménagement de l’entrée de ville du côté de la rue Jacques Prévert, celui de l’avenue Jean Jaurès, des barrières jusqu’au rond-point François Mitterrand, la construction du nouveau centre de loisirs sur le site de l’ancienne mini-ferme, sont autant de réalisation qui vont occuper notre vie quotidienne durant ces douze prochains mois ». L’accompagnement à l’emploi, la nouvelle ligne de bus T4 ou la poursuite de la réhabilitation de Petit-Quevilly Village font également partie des sujets dont les élus assureront le suivi. Voulant contrecarrer la morosité à laquelle il serait facile de succomber et « parce qu’il faut, de temps en temps cesser de tout aborder via le prisme du négatif », le maire y est allé de son petit proverbe Chinois : « Grain après grain, le sac se rempli… ». 

     
  • ROUEN. Certains exposants sont des habitués du salon Normand, d’autres ont franchis le pas pour la première fois.

    Les Puces, ça les démangeait.

    250 brocanteurs en provenance de la France entière mais aussi de Belgique et des Pays Bas se sont donné rendez-vous ce week-end pour la 35e édition des « Puces Rouennaises » organisées par Rouen Expo Evènements. Dans les 5 halls soit plus de 14 000 m2, les amateurs de meubles anciens, de vaisselle en porcelaine ou d’arts de la table en argent ont pu apprécier la qualité des marchandises présentées qui a fait la belle réputation de ces rencontres entre passionnés. Eve et Eric Joanin ont délaissé leur Sud-Ouest natal pour, durant 3 jours, exposer pour la première fois à Rouen. « Des amis professionnels nous ont vanté les mérites des Puces Rouennaises. Les gens sont accueillant, ce sont des connaisseurs et puis on y vend bien, nous ont-ils dit. Alors on a voulu voir ». Et dès l’entrée dans le salon, impossible de manquer leur stand. Il est inondé de lumière, brille de mille feux en provenance des articles d’orfèvrerie exposés et du sourire engageant d’Eve en personne. Soupières, argilières, égoïstes mais aussi légumiers, services à thé ou café et plateaux sont agencés avec goût sur les tables nappées de blancs, surmontés de candélabres en étain. « L’orfèvrerie ancienne, c’est une passion » reconnaît Eve. Il y a très longtemps… j’ai rencontré Eric qui était lui-même orfèvre. Il avait une boutique. J’ai commencé à travailler avec lui et nous ne nous sommes plus quittés. Puis nous avons vendu la boutique et avons commencé à sillonner la France, faire des salons, plus d’une vingtaine par an. Quand nous n’exposons pas nous chinons. La recherche de l’objet rare, du coup de cœur, nous obsède. Nous avons maintenant un réseau de clients avec qui nous commerçons. On achète, on revend, toujours avec ce soucis de proposer à notre clientèle des pièces non seulement belles et abordables financièrement mais qui ne se détérioreront pas après leur acquisition. Nous avons en outre un rôle de conseil. C’est cet aspect que nous privilégions : le contact! ».  Quant aux prix, c’est la loi de l’offre et de la demande qui le régit après détermination de la qualité, ancienneté et rareté de l’objet ». Joanin Antiquités : 06.07.95.8178.

     
  • SOTTEVILLE-LES-ROUEN. Dans le cadre d’un partenariat avec le rectorat, les experts-comptables et commissaires aux comptes normands partent à la rencontre des lycéens et étudiants de la région.

    Les experts comptables recrutent.

    Dans le cadre de l’opération d’information et de sensibilisation « Parce que votre avenir compte », les experts-comptables et commissaires aux comptes normands partent à la rencontre des lycéens et étudiants de la région pour leur présenter leur métier et ses différentes filières. Récemment, ils sont intervenus au lycée les Bruyères à Sotteville-lès-Rouen, rencontrant des élèves de classes de 1ère et Terminale Economie gestion comptabilité (EGC). S’appuyant sur des supports originaux, David Quennehen s’est efforcé de présenter et faire connaître les différentes fonctions et les perspectives d’avenir de ces métiers parfois méconnus. « Environ 3 000 collaborateurs et 200 jeunes experts-comptables seront embauchés dans les 5 prochaines années en Normandie, ce qui en fait une profession peu touchée par le chômage ». Du côté des jeunes, si de prime abord, le sujet ne leur semble pas évident, quelques-uns se sont tout de même aventurés à se renseigner. « Ca consiste en quoi expert-comptable? ». « C’est une personne travaillant en profession libérale. Il contrôle la comptabilité de ses clients, les conseille. Il est le partenaire du chef d’entreprise » explique David Quennehen. « Quelle est la durée des études? » aura été la demande la plus formulée. « 8 années après le Bac. 5 ans d’études théoriques en cycle universitaire et 3 ans de stage pratique rémunéré ». De plus en plus intéressés, les jeunes actifs de demain n’ont pu résister à l’ultime question. Celle qui, à l’heure actuelle, semble déterminer beaucoup de choix : « Quelle rémunération ? ». Sourire de l’intervenant qui s’y attendait. Mais la réponse est alléchante : « Durant ses 3 ans de stage professionnel, l’Expert-comptable junior est rémunéré. A partir de la 2ème année, son salaire atteint en moyenne 32.000 Euros par an… ». S’ils s’engagent dans cette voie, ces élèves doivent également savoir que, pour un expert-comptable confirmé, la rémunération nationale moyenne constatée actuellement est entre 70.000 et 100.000 Euros par an …

     
  • ROUEN. Micro-trottoir voies TEOR vs Cyclistes.

    Après une journée de jeudi durant laquelle, à la demande du CHSCT de la Tcar, les chauffeurs avaient dévié leurs bus sur les quais de la rive droite, la situation semblait apaisée et revenue à la normale en ce vendredi après-midi. La cause de cette grogne ? La présence de cyclistes sur le site propre réservé aux Lignes T1, T2 et T3, occasionnant, selon certains responsables syndicaux de l’entreprise, trop de danger pour circuler normalement. De fait, en y regardant bien, il y a, de temps à autres, des cyclistes qui empruntent ces voies réservées, obligeant les conducteurs à actionner la « cloche » de leur véhicule, tout en prenant garde de ne pas percuter ces imprudents. Ludovic, au volant de son bus ne peux « qu’approuver cette mise en garde des professionnels ». « Certes, il est plus sympa pour les cyclistes de circuler sur nos voies qui ne sont pas encombrées. Mais cela nous oblige, nous conducteurs, à faire attention à eux alors que nous avons déjà la responsabilité de nos passagers ». Parmi les cyclistes indécrottables, les arguments tiennent néanmoins la route… Ainsi, Philippe, 61 ans, qui, même si de prime abord, se défend « d’emprunter régulièrement les voies TEOR », reconnait que « ce n’est pas normal que la circulation des cyclistes y soit interdite. Nous sommes en centre-ville, c’est le parcours logique pour se rendre d’un point à un autre, le plus direct! Emprunter les pistes cyclables des quais rive droite oblige à faire un détour et ne dessert pas les centres d’intérêt où l’on est susceptibles de se rendre ». Alain Loquet pour sa part comprend très bien les inquiétudes des conducteurs. « J’ai 66 ans, plusieurs dizaines d’années de vélo derrière moi (9200 kilomètres en 2015) et je pense que la survie d’un cycliste en milieu urbain dépend de sa propension à respecter les règles. Les voies TEOR sont interdites ? Je ne les emprunte pas. Un point c’est tout. J’emprunte les piste du quai rive droite qui, soit dit en passant, sont très bien conçues et devraient être prise en exemple pour tout le réseau métropolitain. Quand on enfreint les règles on risque, au mieux, de se faire verbaliser, au pire, de se faire écraser… ».  Pour ce qui est de la répression, si la ville s’est engagée à veiller plus drastiquement au respect des règles, il n’y avait, vendredi après-midi, pas l’ombre d’un képi de police municipale aux abords des itinéraires concernés.

     
  • ROUEN. La troisième mi-temps de "La grande mêlée".

    Essai transformé pour dix lecteurs assidus qui, non contents d’avoir participé au jeu « La Grande Mêlée 2015», le concours de quizz et de pronostics organisé par notre journal durant la dernière coupe du monde de rugby en octobre 2015, ont été reçus, jeudi soir dans les locaux de la rédaction locale de Paris-Normandie, afin d’y recevoir les cadeaux gagnés grâce à leurs connaissance du ballon ovale et, d’un peu de chance en ce qui concerne les pronostics! Sylvain Castro, le responsable organisateur du concours, accompagné de Céline Rodrigo, chargée de projet, ont salué l’engouement des quelques 6000 participants, de toute la France, « qui ont consacré du temps à ce rendez-vous divertissant », avant de remettre Télévisions, barre de sons et home-cinéma à Francis Ligny, Isabelle Eden, Tony Levesque et Hélène Rouault, les quatre premiers de l’épreuve.

     
  • SAINT-PIERRE-DE-MANNEVILLE. La municipalité veut toujours faire plus en direction de ses administrés.

    Que Marianne reste jolie.

    Tel est le vœu que la sénatrice maire Nelly Tocqueville a émis lors de la traditionnelle cérémonie des vœux de son équipe aux habitants et aux corps constitués. Revenant immanquablement sur les graves évènements parisiens du mois de novembre, elle a souhaité « une vigilance particulière envers les discours populistes qui pourraient gagner nos petites communes ». Prônant un « vivre ensemble » indispensable au sein de notre société actuelle, elle en a profité pour signaler que son équipe agissait en ce sens. « Toujours plus de services en direction de la population, nous sommes là pour cela ». Et les projets pour 2016 ne manquent pas. « 33 logements sociaux vont sortir de terre, propres à favoriser la mixité sociale, construction d’une conciergerie prévoyant commerce, café, logements sociaux et services. Adhésion de la commune au CLIC du Cailly (Centre Local d’Information et de Coordination), lieu d’accueil, d’écoute, d’information, d’orientation et de coordination à destination des personnes âgées et de leurs proches, soutien financier aux associations qui assurent le dynamisme de la commune… ». Tous les projets envisagés en 2015 ont été réalisés et ceux de 2016 en prennent la voie. Ce qui explique peut-être que Saint-Pierre-de-Manneville attire. Pour preuve, la population qui était de 726 habitants en 2001 est passée à 887 au dernier recensement. Il fait donc bon y vivre!

     
  • HAUTOT-SUR-SEINE. Le maire Jean-Bernard Seilles profite de la cérémonie des vœux pour faire la promotion du château.

    Escale touristique.

    Quoi de plus naturel pour faire l’article d’un lieu que d’inviter les personnalités politiques et institutionnelles à s’y réunir ? Ce fut le cas pour la traditionnelle cérémonie consistant en la présentation des vœux du maire et de son conseil municipal aux corps constitués et aux administrés. Ainsi, revenant sur les réalisations effectuées en 2015 et celles projetées pour 2016, le maire Jean-Bernard Seilles a-t-il mis l’accent sur l’attrait touristique de sa commune. « Hautot-sur-Seine s’installe comme une étape importante de promenade si l’on en juge par les milliers de personnes qui la traversent. La piste verte construite en bord de Seine y est certainement pour beaucoup, de même que l’ouverture du restaurant « chez Tonton », seul commerce de la commune, ainsi que l’attirance pour les activités qui se déroulent au château. En effet, séminaires, cérémonies privées, salons et expositions se succèdent dans cet endroit que nous nous devons de garder en état, voire d’améliorer ». Le maire en a également profité pour rappeler l’importance de plus en plus probante de la Métropole Rouen Normandie dans la vie des petites communes, émettant toutefois quelques réserves. « Prenons garde de ne pas aller vers plus de bureaucratie pour des gains budgétaires qui restent à démontrer! ». Ce à quoi, Guillaume Bachelay, député présent, a utilisé une métaphore sportive pour répondre à ces inquiétudes. « Les communes de l’agglo sont comme dans le foot. Elles fonctionnent avec des fondamentaux, vous les avez! Mais pour avancer, il faut des partenaires comme une équipe à besoin de tous ses joueurs. La Métropole est l’un d’eux ».

     
  • SAHURS. La commune accentue ses offres au service d’une population rurale mais vivant avec son temps.

    Une mécanique bien huilée.

    Une bonne partie des quelques 1300 habitants du village du bord de Seine se sont réunis samedi pour assister à la traditionnelle cérémonie des vœux de leur maire Thierry Jouenne, entouré de nombreuses personnalités politiques du canton. Selon un schéma désormais bien huilé, l’adjointe au maire Dominique Mérieult à fait le bilan des actions entreprises par les élus en 2015 et maintenant réalisées ou en phase de l’être. Thierry Jouenne a ensuite dressé la liste des prochains chantiers, approuvés en conseil municipal, non sans avoir rappelé que la commune, comme toutes celles de France, devant composer avec l’état d’urgence,  a pris toutes les dispositions utiles quant à la protection des lieux accueillant du public. Dans la foulée, il a annoncé, parmi les nouveautés 2016, « l’adhésion de Sahurs au Centre Local d’Information et de Coordination (CLIC) du Cailly. Ce dispositif répond gratuitement aux questions concernant les services et les aspects de la vie quotidienne des personnes de plus de 60 ans. C’est aussi un lieu d’échanges et de réflexion avec différents intervenants professionnels et bénévoles ». Afin de coller au plus près aux besoins des administrés, une maison des services, la première en Seine-Maritime, va voir le jour dans les locaux de la Poste. Accueillant dans un premier temps des institutions comme Pôle Emploi ou la Mutualité sociale agricole (MSA), cet espace a vocation à rendre service aux habitants sans qu’ils doivent se déplacer sur Rouen. Enfin, car vivre à la campagne c’est aussi se nourrir, un nouveau commerce, une boucherie, ouvrira ses portes le mois prochain, sous la houlette de son propriétaire, Eric Chalumeau.

     
  • ROUEN. De nombreux collégiens et lycéens se sont arrêtés sur les stands de la Défense lors du salon de l’Etudiant.

    Aux armes … mais pas que !

    Armée de l’Air, Marine nationale, Police Nationale, Gendarmerie nationale … Ces entités seraient-elles devenues des entreprises comme les autres à tel point que l’on retrouve, devant leurs stands, des grappes de jeunes, désireux de se renseigner sur les débouchés offerts et les carrières à envisager ? Il semblerait en effet que l’attrait pour les métiers de la défense nationale ait le vent en poupe. Au salon de l’Etudiant qui s’est tenu ce week-end au parc expo de Rouen, nombreuses ont été les questions posées aux différents recruteurs de ces armes, préparés, eut égard au contexte ambiant, à un afflux de cet ordre. Pour autant, et même si le gouvernement, depuis janvier 2015 a décidé de redynamiser sa politique de recrutement, de l’aveu même des agents recruteurs, « les jeunes ne viennent pas nous voir uniquement par réaction patriote ». « Je m’attendais même à plus de public prêt à s’engager coûte que coûte pour défendre la patrie… » confie Margareth Potier, policière à l’Antenne Promotion Recrutement de l’école nationale de Police de Rouen-Oissel. « Or, ce sont plutôt des adolescents réfléchis que je reçois. Même si le côté défenseur de la veuve et de l’orphelin n’est pas très loin, ces collégiens et lycéens paraissent considérer nos métiers comme une carrière à faire, au même titre que boulanger ou autre! Ce qui compte pour eux c’est la spécificité de nos 150 métiers, la rémunération et les possibilités d’évolution ». Même son de cloches auprès de la Maréchale des Logis Chef Emilie Lemercier, agent recruteur de la Gendarmerie de (Haute) Normandie. « Certes, les demandes sont allées croissantes depuis le début 2015. Au niveau des sous-officiers par exemple, ce sont 30.000 candidatures nationales qui ont été reçues alors que 5 000 seulement seront concrétisées. Les jeunes que je vois ne semblent pas être des  va-t-en-guerre! Sous la houlette de leurs parents, ils posent des questions précises et soulèvent des points essentiels sur les spécificités de nos activités. On est loin de l’esprit guerrier mais plutôt un désir de s’engager dans une voie professionnelle tout en servant le pays ». Et ce n’est pas Tom Pinaud, 17 ans, lycéen à Barentin qui dira le contraire. « Je suis attiré par l’aéronautique et je pense en faire mon métier. Je viens me renseigner auprès de la Marine Nationale comme je le ferais chez Airbus… Le côté utile à la nation ne me déplaît pas non plus ». Samantha, 19 ans, venue de Pont-Audemer, « rêvasse sur les bancs de l’université de Rouen. La police et la gendarmerie offrent une palette d’avenirs intéressants. Leur communication est attirante car précise, sans fioriture. C’est ce qui m’a poussée à venir les consulter ». Un nouvel état d’esprit donc qui joint le concret à l’idéal.

     
  • VAL DE LA HAYE. Une belle brochette de personnalités est venue assister aux vœux d’Etienne Hébert.

    Des agents municipaux toujours présents.

    Entre fleuve et falaises, le village du Val de La Haye qui déroule son histoire depuis des siècles à travers ses ruelles, peut se targuer d’être une des rares communes de France de quelques centaines d’habitants à accueillir pour la traditionnelle cérémonie des vœux, autant de personnages importants des collectivités et des institutions. Un ministre des affaires étrangères (Laurent Fabius), une sénatrice (Nelly Tocqueville), un député (Guillaume Bachelay), deux conseillers départementaux (David Lamiray, Brigitte Manzanarès) et un président de la Métropole Rouen Normandie (Frédéric Sanchez)… Entourés de plusieurs maires d’autres communes du canton, ceux-ci ont écouté attentivement le premier édile, Etienne Hébert, faire le point sur les actions menées en 2015 et celles prévues en 2016. Vente de l’épicerie, rénovation des bâtiments techniques, travaux de voiries, classes informatisées… autant de réalisations rendues possibles par l’intercommunalité, l’aide parlementaire et, surtout, par le travail au jour le jour des agents municipaux, auxquels Etienne Hébert a rendu un bel hommage. « Les élus ne sont que de passage alors que les agents des services publics sont la colonne vertébrale de l’action communale! ». Autre hommage, national celui-là, fait en souvenir des victimes des attentats de l’année écoulée avec, pour l’illustrer, la Une de Charlie Hebdo, « un an après », accroché au pupitre des discours.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Les personnels municipaux et les élus se sont échangé leurs vœux.

    La présence rassurante des services publics.

    Comme il est de tradition au Petit-Quevilly, personnels municipaux et élus se sont échangé leurs vœux au cours d’une cérémonie à l’Astrolabe illustrée d’une exposition photographique figeant, pour la postérité, les locaux historiques du centre technique municipal qui, voué à la démolition, laissera place, à terme, à un vaste programme de logements dans le cadre de la réhabilitation du quartier « Petit-Quevilly Village ». Si, au cours de cette manifestation, le directeur général des services, Gautier Poupon, est revenu sur les objectifs fixés début 2015 et en a fait le bilan, il a, en présentant ses vœux de bonne année, salué ses agents en déclarant : « Nous évoluons dans un environnement dynamique et chaque agent est amené, à un moment ou un autre, à s’y investir ». Recevant ce discours, le maire Frédéric Sanchez a, quant à lui, souhaité faire prévaloir la chance de notre pays de posséder des institutions telles que les nôtres. « En cette période troublée où nous nous interrogeons tous face aux divers évènements qui surviennent,  il est bon de savoir que nous pouvons compter sur nos services publics. Ceux-ci, en fonctionnant comme ils le doivent, sont propres à soulager les habitants d’un peu de leurs craintes ». Cette cérémonie a également été l’occasion d’honorer 13 personnels ayant fait valoir leurs droits à la retraite ainsi que de récompenser 8 agents de la médaille du travail. Il s’agit de Bernard Coinon (Or), Thierry Defalque (Argent), José Lemonnier (Vermeil), Alain Motte (Or), Maurice Vasselin (Vermeil), Martine Dauvillaire (Vermeil), Karine Richard (Argent) et Corinne Védier (Vermeil).

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. A 57 ans et après en avoir passé 35 au service de son entreprise, Véronique ne fait pas son deuil de la fermeture du Transformateur.

    Lettre à mon usine.

    « Je ne dors plus ou presque. Mes nuits sont parsemées de rêves. Toujours sur le même thème : j’y vois des gens qui travaillent dans les ateliers. Ce sont mes collègues. J’évolue en lévitation parmi eux, dans le brouhaha de l’activité qui y régnait encore, il y a quelques mois … ». Mais depuis, le PSE (Plan de sauvegarde pour l’emploi…) est passé par là pour les 91 survivants de l’entreprise Transformateur SAS (TPQ). Mutation sur le site du Vaudreuil, en Pologne ou … Pôle Emploi. Trois alternatives parmi lesquelles Véronique Quibel a dû choisir. Pour autant, elle ne se résout pas à tirer un trait sur ces jours heureux passés à « bobiner », croyant que son métier était le plus beau du monde. Véronique Quibel ne se sent pas bien. Elle que l’on avait vue pleine d’espoir et de verve sur les « barricades » de pneus brûlés au plus fort du conflit, navigue à présent entre colère, dégoût et nostalgie. « TPQ, qu’es-tu devenu? Toi la vieille dame de 95 ans qui a nourri nos familles, de générations en générations! Dans le passé tu as eu ton heure de gloire. Mais d’années en années tu t’affaiblissais. Et le mal t’a rattrapée comme le Cancer qui attend son heure pour se propager jusqu’à la phase terminale. Ce mal que l’on nomme « technologie, bénéfice et délocalisation ». Tu t’es éteinte sans trop de bruit mais dans la dignité. Comment ne pas se souvenir de toi qui t’es battu jusqu’à la fin ? De tout cela, il ne reste que des locaux vides où règne le silence. Repose en paix tu l’as bien mérité. Car c’est à toi que l’on doit ce symbole… « Transformateur » ». Cette lettre, vestige d’une vie professionnelle, Valérie Quibel a voulu la montrer comme pour exorciser ce qu’il est communément appelé « accident de la vie ». Les fêtes de Noël et du Nouvel An ont eu un goût amer pour cette travailleuse du fil de cuivre. « Je n’ai pas décoré ma maison, le cœur n’y était pas. Avant de passer à autre chose j’ai besoin de faire mon deuil. L’épreuve est dure et je sais que des milliers de personnes qui sont passées par là se reconnaîtront dans cette situation. Bien sûr la vie continue et le temps atténuera les choses. Ce n’est pas une raison pour ne pas en parler ».

    Sur le grillage devant l’usine, débarrassé des vestiges de la lutte, un seul témoignage reste accroché : la médaille du travail de Valérie Quibel pour 35 ans de bons et loyaux services, qu’elle a reçue… mardi dernier !

     
  • ROUEN. Pensionnaire de 1ère série Matin, le club sera présent pour le 6ème tour de la Coupe de Normandie, une première pour une équipe de ce niveau.

    Le petit Poucet de la coupe.

    A sa création en 1994, l’Association Rouennaise de Football se voulait un club familial. Parents, enfants et amis de tous âges et de tous milieux se retrouvaient autour du ballon rond, dans une ambiance toujours conviviale mais aussi dans la recherche du challenge sportif. Vingt ans plus tard, la plupart des joueurs sont toujours présents ou sont revenus au club. D’autres sont arrivés pour grossir  les rangs. Mais l’état d’esprit reste le même et les résultats se sont matérialisés avec, chaque année un bon parcours en Coupe et en championnat (toujours sur le podium ces 3 dernières années) de l’équipe fanion. Et cette année pourrait bien être celle de ce petit club qui est en train de déjouer tous les pronostics en coupe de Normandie. « Au mois d’octobre, notre équipe est allée s’imposer à Saint-Martin de Boscherville » raconte fièrement Anthony Trolet, président fondateur, « ce qui va nous amener à rencontrer le GCO Bihorel qui évolue en Division honneur régional (5 divisions d’écart) pour le compte du 6e tour de la coupe de Normandie. Jamais une équipe de niveau Seniors Matin (3ème plus petit échelon départemental) n’avait atteint ce niveau de la compétition ». Mais au-delà de l’aspect sportif, la Rouennaise de football incarne la problématique de survie d’un petit club de quartier sans subventions et presque sans domicile fixe. Les 80 licenciés s’entraînent actuellement sur les terrains du champ de courses, promis à un réaménagement. « Les travaux de réfection de « l’hippodrome » devraient débuter cette année » note Pierre-Yves Orlianges, le secrétaire du club, « cela nous laissera donc sans infrastructures pour une durée indéterminée. Le service des Sports de la Ville de Rouen recherche toujours une solution mais de nombreuses équipes sont déjà en quête de terrains sur l’espace de la Métropole. Il n’y en aura donc pas pour tout le monde! ». Ce contexte difficile, la Rouennaise de football le vit en faisant bloc, poursuivant dans une ambiance conviviale ses entrainements et ses matchs du dimanche. Alors, pour les soutenir demain, dimanche 24 janvier à 14 h 30, tous au stade Maréchal Leclerc, rue de Verdun, 76420 Bihorel.

     
  • ROUEN. Pensionnaire de 1ère série Matin, le club sera présent pour le 6ème tour de la Coupe de Normandie, une première pour une équipe de ce niveau.

    Le petit Poucet de la coupe.

    A sa création en 1994, l’Association Rouennaise de Football se voulait un club familial. Parents, enfants et amis de tous âges et de tous milieux se retrouvaient autour du ballon rond, dans une ambiance toujours conviviale mais aussi dans la recherche du challenge sportif. Vingt ans plus tard, la plupart des joueurs sont toujours présents ou sont revenus au club. D’autres sont arrivés pour grossir  les rangs. Mais l’état d’esprit reste le même et les résultats se sont matérialisés avec, chaque année un bon parcours en Coupe et en championnat (toujours sur le podium ces 3 dernières années) de l’équipe fanion. Et cette année pourrait bien être celle de ce petit club qui est en train de déjouer tous les pronostics en coupe de Normandie. « Au mois d’octobre, notre équipe est allée s’imposer à Saint-Martin de Boscherville » raconte fièrement Anthony Trolet, président fondateur, « ce qui va nous amener à rencontrer le GCO Bihorel qui évolue en Division honneur régional (5 divisions d’écart) pour le compte du 6e tour de la coupe de Normandie. Jamais une équipe de niveau Seniors Matin (3ème plus petit échelon départemental) n’avait atteint ce niveau de la compétition ». Mais au-delà de l’aspect sportif, la Rouennaise de football incarne la problématique de survie d’un petit club de quartier sans subventions et presque sans domicile fixe. Les 80 licenciés s’entraînent actuellement sur les terrains du champ de courses, promis à un réaménagement. « Les travaux de réfection de « l’hippodrome » devraient débuter cette année » note Pierre-Yves Orlianges, le secrétaire du club, « cela nous laissera donc sans infrastructures pour une durée indéterminée. Le service des Sports de la Ville de Rouen recherche toujours une solution mais de nombreuses équipes sont déjà en quête de terrains sur l’espace de la Métropole. Il n’y en aura donc pas pour tout le monde! ». Ce contexte difficile, la Rouennaise de football le vit en faisant bloc, poursuivant dans une ambiance conviviale ses entrainements et ses matchs du dimanche. Alors, pour les soutenir demain, dimanche 24 janvier à 14 h 30, tous au stade Maréchal Leclerc, rue de Verdun, 76420 Bihorel.

     
  • ROUEN. Appréciée des fashion victimes mais pas de toutes les marques, la période des soldes d’hiver vient de débuter.

    Cachez donc ces soldes que je ne saurais voir.

    La période des soldes d’hiver vient de débuter. Une occasion pour les commerçants d’espérer compenser certains moments de l’année un peu plus moroses en termes de ventes. Si, comme partout en France, les affiches indiquant remises et bonnes affaires ont fleuri sur les vitrines des magasins rouennais, toutes les boutiques ne sont pas logées à la même enseigne… Dans les magasins dits « haut de gamme » voire même de luxe, cette phase est abordée de différentes manières. Chez Lacoste par exemple, Joëlle, la directrice, confie être très attentive à « ne pas transformer son établissement en bazar ». Devanture sobre, articles repérables facilement… « Nous pratiquons les soldes depuis 1997 sur les collections saisonnières mais pas sur les basiques. De toute façon, la marque veille à ce qu’il n’y ait aucune dérive en terme de marketing trop voyant ».  Même son de cloches chez Manfield  rue des Carmes où Coralie Perica veille au respect d’une tradition où l’élégance, la qualité et la perfection sont l’apanage de la marque de chaussures, mode et habillement depuis plus d’un siècle. « Oui nous soldons car il faut écouler le stock pour présenter les nouvelles collections. Cela permet non seulement de recevoir nos habitués mais aussi de faire découvrir nos produits à de nouveaux clients. Toutefois nous restons simples dans l’approche car nous sommes tout de même dans le haut de gamme. Il n’est pas question d’apposer des affiches fluo sur les vitrines au risque de faire un peu « cheap »… ». Un peu plus loin, les employés de Marionnaud sont tout à leur ouvrage, plus important en ce premier jour de remises mais reconnaissent que « certaines marques de produits que nous vendons interdisent la pratique des soldes ». Last but not least, trônant fièrement au pied de la cathédrale Notre-Dame de Rouen, la boutique Hermès, célèbre marque à la calèche, reçoit ses clients dans une ambiance feutrée. « Non monsieur, Hermès ne fait pas de soldes » confie la responsable. Fermez le ban! Un jeune couple dont les yeux brillaient d’envie en dévorant la vitrine en sera pour ses frais. « Je me serais bien vue revêtir ce joli foulard » reconnaît Magaly, « mais là, le prix n’est pas dans mes moyens » déplore-t-elle alors que son compagnon soupire de soulagement en pensant à sa carte de crédit épargnée…  Qu’on se le dise, il y a stratégie de luxe et stratégie de mode. La mode est éphémère alors que dans le luxe, la valeur est intemporelle et durable. Elle ne dépend pas d’un mois donné dans l’année.

     
  • ROUEN. Nicole Klein, la nouvelle préfète de la région Normandie, préfète de Seine-Maritime, est officiellement entrée en fonction.

    Nicole Klein, a officiellement pris ses fonctions en remplacement de Pierre-Henry Maccioni, admis à la retraite. Une cérémonie de dépôt de gerbe au monument aux morts de la place Carnot lui a donné l’occasion, hier matin, de rencontrer une majorité de représentants des Corps constitués. Cette haute fonctionnaire de 63 ans, énarque, est passée par la Documentation française,  a été directrice du cabinet du commissaire de la République du Gard, chef de cabinet de Catherine Tasca, ministre de la communication, chargée de mission au cabinet du Premier ministre, Michel Rocard, chef du département de la diffusion et de l’insertion professionnelle à la Direction de la musique et de la danse. Un temps détachée à la Banque mondiale, à Washington, elle revient en France en 1995 comme sous-préfète à Carpentras puis adjointe au directeur général de l’urbanisme, préfète déléguée à l’égalité des chances auprès du préfet du Nord-Pas-de-Calais avant d’être nommée préfète des Hautes-Alpes et, plus tard, directrice de l’agence régionale de santé d’Aquitaine. Préfète de Seine-et-Marne puis de Picardie, elle a été nommée en conseil des ministres du 16 décembre dernier, préfète de la région Normandie, préfète de Seine-Maritime.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Les enfants des centres de loisirs ont eu droit à un bal rock.

    L’année 2015 s’est terminée en apothéose pour les enfants des centres de loisirs de la commune. Réunis à l’Astrolabe, la centaines de gamins a pu se déhancher, danse, crier et faire du bruit, en compagnie du groupe musical Amulette, spécialement convié pour la circonstance. Le jeune public, mais aussi les agents municipaux encadrant ont participé pleinement à cette débauche d’énergie qui, sous couvert festif, ne manque pas d’aborder des thèmes plus sérieux comme l’écologie, la différence ou la tolérance.