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Tous les articles par Patrimoine Normand

  • Trésors enluminés de Normandie – une (re)découverte

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    Trésors enluminés de Normandie


    DATE :
    Jusqu’au 19 mars 2017
    LOCALISATION : 
    Rouen

    Trésors enluminés de Normandie
    une (re)découverte


    L’exposition Trésors enluminés de Normandie, une (re)découverte présentée au musée des Antiquités fait découvrir une facette méconnue des collections médiévales et Renaissance des musées et collections normandes.
    Manuscrits et feuillets enluminés souffrent d’un grand éparpillement, et si en France la majorité d’entre eux sont conservés par les bibliothèques publiques ou les centres d’archives, les pièces des musées sont le plus souvent peu documentées. Elles n’en constituent pas moins de précieux témoignages de l’art de l’enluminure. En 2004, l’Institut National d’Histoire de l’Art a lancé une vaste campagne d’inventaire systématique destinée à identifier ces pièces. Ce premier travail de recherche fut ensuite complété par le travail de terrain du musée des Antiquités, qui fera état des découvertes réalisées en Normandie.
    L’exposition s’attache aux grandes évolutions stylistiques de l’enluminure, de la simple somptuosité de la lettre ornée à la véritable peinture de manuscrit, ainsi qu’aux différents usages du livre et de l’illustration.

     

    INFORMATIONS PRATIQUES :
     

    – Le matin de 10h à 12h15,
    – L’après-midi du mardi au samedi de 13h30 à 17h30 et le dimanche de 14h à 18h. 
    Les groupes en visite ou en atelier avec conférencier peuvent être accueillis le matin de 10h à 12h. Pendant les vacances scolaires et lors d’expositions temporaires, le musée est également ouvert le matin, de 10h à 12h15.
    Fermé le lundi et les jours fériés suivants : 1er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre, 25 décembre.
    Tarif : 4 € tarif unique.
    Renseignements : 02 35 98 55 10
    publics1@musees-rouen-normandie.fr

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  • Château et Tapisserie de Pirou (Manche)

    Château de Pirou

    Château de Pirou (© SWG).

    Château et Tapisserie de Pirou (Manche)


      Extrait hors-série Normandie Médiévale
    Par Stéphane William Gondoin

    D’après une très ancienne légende, il existait déjà une forteresse à Pirou dès le IXe siècle. Une horde de Vikings qui ravageait alors le secteur s’en vint l’assiéger. Pour lui échapper, le propriétaire des lieux et ses proches se transformèrent en oies grâce aux formules magiques contenues dans un grimoire et ils s’envolèrent ainsi au-dessus des remparts. Lorsque les Scandinaves pénétrèrent dans la place, ils la trouvèrent déserte. Seul demeurait là un vieillard qui leur expliqua ce qui s’était passé contre la promesse de la vie sauve. Dans leur fureur, les Vikings dévastèrent tout. Lorsque les volatiles métamorphosés regagnèrent Pirou, ils ne retrouvèrent plus rien du grimoire et ne purent jamais reprendre leur forme humaine. Comme les oies du Capitole, les oies de Pirou passèrent à la postérité. Pirou, aujourd’hui, est un merveilleux petit château du XIIe siècle posé sur ses douves en eaux, « beau comme un heaume de pierre » selon une formule poétique de la journaliste Colette Gouvion. La Tapisserie de Pirou (en fait une broderie), réalisée entre 1976 et 1992 au point de Bayeux par la brodeuse Thérèse Ozenne, sur un texte de l’abbé Marcel Lelégard, raconte l’épopée des Normands en Italie méridionale, particulièrement celle des frères Hauteville, originaires du Cotentin. Une Telle du Conquest, petite sœur de la Tapisserie de Bayeux, en version méditerranéenne donc ! La visite du château de Pirou doit impérativement se coupler avec celle de l’abbaye prémontrée de la Lucerne-d’Outremer. Les deux monuments sont les propriétés de la même fondation.

    Tapisserie de Pirou
     

    La Tapisserie du Château fort de Pirou relate une période très dense de l’histoire normande, de l’arrivée des Vikings sur les côtes du Cotentin jusqu’à la conquête de la Sicile (© Château fort de Pirou).

    Château fort de Pirou par Sylvain Corbin.

    A LIRE :
    Château de fort de Pirou, par Georges Bernage – Patrimoine Normand n°02
    Les Normands d’Italie, par Stéphane William Gondoin – Normandie Médiévale HS n°02.

     

     

    Château de Pirou
    50770 Pirou

    Ouvert tous les jours sauf le mardi – Du 26 mars au 02 octobre, de 10h à 12h et de 14h à 18h30 / Du 20 octobre au 02 novembre, de 10h à 12h et de 14h à 17h / Du 17 au 31 décembre 2016, de 10h à 12h et de 14h à 17h. Plein tarif 6 €.
    Tél. : + 33 (0)2 33 46 34 71 – www.chateau-pirou.org

    Normandie Médiévale


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie Médiévale (2016).


     

     
     
  • Dieppe : le pont Colbert ne sera pas détruit !

    Le pont Colbert

    Le pont Colbert (© P. Diolden).

    Dieppe : le pont Colbert ne sera pas détruit !


    La commission régionale du patrimoine et des sites réunie mardi à Rouen a donné un avis favorable à l’inscription du pont Colbert de Dieppe à l’inventaire des monuments historiques.
     

    Le cabinet de la ministre de la Culture a donné son accord pour une inscription immédiate et un classement à intervenir cette année. Contemporain de la Tour Eiffel (1889), le pont Colbert en fer est le dernier plus grand pont tournant d’Europe encore en fonction dans sa configuration d’origine. Il enjambe le chenal de 40 mètres.
    Une association se bat pour le sauver de la destruction envisagée par l’ancien conseil régional de l’ex-Haute-Normandie.
    Sébastien Jumel, maire de Dieppe, se félicite « d’une très bonne nouvelle pour la préservation de cet outil portuaire emblématique, patrimoine matériel et immatériel du port, avec le savoir-faire des personnels qui concourent à son entretien et le manœuvrent plusieurs fois par jour ».

     


    L’association

    Comité de Sauvegarde du Pont Colbert de Dieppe
    www.pontcolbert.fr
     


     
  • Le carnaval de Granville inscrit au patrimoine immatériel de l’Unesco

    Un immense succès populaire : plus de 100 000 personnes se ruent chaque année au Carnaval de Granville (© Comité carnaval).

    Le carnaval de Granville
    inscrit au patrimoine immatériel de l’Unesco


    Le carnaval de Granville a été inscrit mercredi sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, a annoncé l’Unesco dans un communiqué.

    « Attirant 100 000 spectateurs chaque année, le carnaval de Granville contribue à l’unité de la communauté et confère un sentiment d’appartenance. Les connaissances se transmettent au sein des familles et des comités d’organisation », explique l’agence des Nations unies dans un communiqué.
    La prochaine édition est prévue du 5 au 9 février 2017.
     


    Dossier consacré au carnaval de Granville :

    Granville, un carnaval en quête de reconnaissance !
    Par Thierry Georges Leprévost
    Patrimoine Normand n°76

     


     
  • Site de la pointe du Hoc

    Guide général des musées et mémoriaux 
    du Débarquement et de la Bataille de Normandie


    Pointe du Hoc

    Site de la pointe du Hoc 
    Cricqueville-en-Bessin (14)


      Extrait Hors-Série Normandie 44
    Par Stéphane William Gondoin

    Voilà l’un des sites les plus fameux du Jour J : 30 mètres de roche escarpée à l’assaut desquels se lancèrent le lieutenant colonel James Rudder et ses Rangers, pour écrire l’une des pages les plus héroïques du 6 juin. Les innombrables cratères d’obus qui constellent le plateau donnent une idée de la violence du pilonnage subi par la position. On ressort de cet impressionnant lieu de mémoire aussi bouleversé que le terrain…

    A LIRE :
    Omaha Beach, quand l’ombre de la défaite plane sur l’opération Overlord – Par Marc Laurenceau.
    Il faut sauver la pointe du Hoc – Par Thierry Georges Leprévost.

     

    La pointe du Hoc
    Site accessible librement toute l’année, hormis le poste de commandement et le centre des visiteurs. Ce dernier est ouvert gratuitement de 9 h à 18 h (17 h en basse saison). Projection d’un film et visites guidées possibles.
    www.isigny-grandcamp-intercom.fr – Tél : + 33 (0)2 31 51 90 70

    Seconde Guerre mondiale en Normandie


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie 44.


     

     
  • Château de Crèvecœur-en-Auge (Calvados)

    Château de Crèvecur-en-Auge (Calvados)

    Château de Crèvecœur-en-Auge (© SWG).

    Château de Crèvecœur-en-Auge (Calvados)


      Extrait hors-série Normandie Médiévale
    Par Stéphane William Gondoin

    Crevecuire apparaît dans la documentation vers la fin du XIe siècle. La fondation du château remonte peut-être à cette époque : les troubles qui suivirent la mort de Guillaume le Conquérant en 1087, favorisèrent en effet la multiplication anarchique des forteresses rurales. Il est même possible de songer – pourquoi pas ? – à la minorité de ce même Conquérant, avec toutes les réserves d’usage cependant. 

    La grande originalité de Crèvecœur-en-Auge, pour l’époque qui nous intéresse, c’est de nous offrir le plan fossilisé de l’un de ces fameux châteaux de terre et de bois à motte et basse-cour, qui plus est avec des douves en eau. La basse-cour était sans doute à l’origine cernée d’un talus avec palissade en rondins et la motte castrale possédait peut-être une tour en bois à son sommet, ultime refuge en cas d’attaque ennemie. Au cours du XIIe siècle, cette motte fut couronnée d’une enceinte en pierre formant une haute cour noble à usage défensif et résidentiel, selon un procédé que les spécialistes anglais des systèmes fortifiés nomment « shell keep » (donjon coquille).

    En dehors de ces considérations purement castrales, Crèvecœur est un ravissement, une sorte de petite ferme seigneuriale fossilisée des XVe et XVIe siècles, avec ses anciens bâtiments agricoles à pans de bois, son pigeonnier et ses jeux de miroir d’eau. La chapelle en son état actuel remonte au XIIe siècle. Un lieu reposant et envoûtant.

     

    Château de Crèvecœur
    14340 Crèvecœur-en-Auge

    Ouvert en 2016 en juin et septembre tous les jours de 11h à 18h – En Juillet et en août, tous les jours de 11h à 19h – En Octobre, uniquement les dimanches de 14h à 18h et tous les jours de 14h à 18h pendant les vacances de la Toussaint.
    Plein tarif 7 €
    Tél. : + 33 (0)2 31 63 02 45 – www.chateau-de-crevecoeur.com

    Normandie Médiévale


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie Médiévale (2016).


     

     
     
  • Noël à Patrimoine Normand ! Des offres spéciales fêtes pour un abonnement

    Nous vous avons concocté trois offres spéciales d’abonnement à PATRIMOINE NORMAND pour vos cadeaux de fin d’année, pour vous ou pour vos proches.
     

    Abonnement SPECIAL Noël – 1 an

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    Abonnement de 1 an pour 4 numéros de PATRIMOINE NORMAND.
    L’abonnement débutera avec le n°100 (janvier 2017) jusqu’au n°103.

     

     

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    L’abonnement débutera avec le n°100 (janvier 2017) jusqu’au n°103.
     

     

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    ou
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    45€ au lieu de 85,50€ – 48% de réduction

    Abonnement de 2 ans pour 4 numéros de PATRIMOINE NORMAND.
    L’abonnement débutera avec le n°100 (janvier 2017) jusqu’au n°107.
    + l’autocollant du blason de la Normandie ou 1 entrée pour Arromanches 360

    Nous vous souhaitons de très belles fêtes et une nouvelle année 2017 heureuse et apaisée ! 


    OFFRES VALABLES UNIQUEMENT EN FRANCE METROPOLITAINE
    Frais de port inclus


     
  • Mémorial de Bruneval – Saint-Jouin-de-Bruneval (76)

    Guide général des musées et mémoriaux 
    du Débarquement et de la Bataille de Normandie


    Mémorial de Bruneval - Saint-Jouin-de-Brun76)

    Mémorial de Bruneval
    Saint-Jouin-de-Bruneval


      Extrait Hors-Série Normandie 44
    Par Stéphane William Gondoin

    Dans la nuit du 27 au 28 février 1942, les commandos britanniques effectuèrent un raid sur une station radar située à Bruneval. Cette opération fut un succès total et eut un retentissement sur toute la planète. Pour commémorer cet exploit, on éleva un premier monument ici dès 1947, en présence du général de Gaulle, qui y prononça un discours resté fameux. En 2012, pour les 70 ans du raid, un nouveau mémorial a été inauguré : textes explicatifs, nombreuses photos, le tout dans le cadre grandiose des falaises du pays de Caux.

    A LIRE :
    – 1942, la Normandie déjà, par Stéphane William Gondoin.

     

    Mémorial de Bruneval
    1 Place du Major Général John Frost,
    76280 Saint-Jouin-Bruneval

    Site naturel de plein air – Ouvert gratuitement toute l’année.

    Seconde Guerre mondiale en Normandie


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie 44.


     

     
  • Animations à Montivilliers

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    Paris Benarès


    DATE :
    Du 9 au 11 décembre 2016
    LOCALISATION : 
    Montivilliers

    Animations à Montivilliers


    Le marché de Montivilliers célèbre cette année sa vingtième édition avec allégresse ! 

    Pour fêter dignement l’événement la patinoire reprend ses quartiers. Les 3 danseuses « zylluminées » scintilleront le samedi et apporteront la touche féérique.
    La Compagnie Paris Bénarès et son « Chamôh » géant échappé tout droit du « Bombay Circus of the Soleil » invitent à un étonnant voyage dans les rues de la ville le dimanche. Et tout ce joyeux monde dansera au rythme du Magic Fingers Band vendredi et samedi. Le Père Noël sera lui aussi de la fête et viendra relever son courrier le vendredi à 18h et les samedi et dimanche à 17h30.

     

    Vendredi 9 décembre de 14h à 20h

    Samedi 10 décembre de 10h à 20h

    Dimanche 11 décembre de 10h à 18h

     

    Cour Saint Philibert,

    Cloître de l’abbaye

     

    Entrée libre

     

    abbaye de Montivilliers

    L’abbaye de Montivilliers
     
    Située au nord de la Seine, à mi-chemin entre Honfleur et Etretat, l’abbaye de Montivilliers fait partie des plus belles et des plus prestigieuses abbayes de Normandie.
    Entièrement restaurée, l’abbaye de Montivilliers se distingue par son parcours scénographique audio guidé: « CŒUR D’ABBAYES ». Unique en Normandie, il permet à tous de découvrir le destin mouvementée de « la cité des abbesses » dans la Normandie médiévale.
    La scénographie témoigne également du rôle majeur des abbayes dans l’histoire régionale et de leur formidable évolution architecturale.
    Carrefour touristique et culturel, le site propose en outre un ensemble de visites, conférences et d’animations thématiques ainsi que d’expositions temporaires à découvrir tout au long de l’année.

    Pour compléter la visite :
    LA PROMENADE DE L’ABBAYE, circuit piétonnier audio-guidé dans la vieille ville de Montivilliers retrace la vie à l’époque médiévale à travers le riche patrimoine montivillon : hallettes, Hôtel-Dieu et l’ancien charnier du XVème siècle – connu sous le nom d’aître de Brisgaret – entre autres.

    LES DIMANCHES DE L’ABBAYE proposent chaque 1er dimanche du mois une visite guidée thématique ou une animation originale: architectures religieuses et civiles, univers monastique, vie quotidienne au Moyen Age… autant de sujets abordés sous des angles insolites à partager en famille.

    Prochain rendez-vous : dimanche 5 mars 2017 à 15h

     

    INFORMATIONS PRATIQUES :

    Abbaye de Montivilliers
    Jardin de l’abbaye
    76290 MONTIVILLIERS
    www.abbaye-montivilliers.fr

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  • Le chevalier Énoé, un conte de Noël à la cour

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    Le chevalier noé,  un conte de Noël à la cour


    DATE :
    Du 11 novembre 2016 au 02 janvier 2017
    LOCALISATION : 
    Falaise

    Le chevalier Énoé,
    un conte de Noël à la cour


    Dans le cadre des Hivernales de Falaise, le Château Guillaume-Le-Conquérant propose un conte de Noël. Avec des totems de lecture, projections vidéos, décors et ambiances sonores vous plongent dans l’univers des récits médiévaux. Visites contées pour les scolaires et les familles à 15h le week-end et 15h et 16h30 pendant les vacances scolaires.
     
    Venez suivre les aventures d’Enoé dans cette exposition contée où les décors grandeur nature, les atmosphères sonores, les effets de lumières ainsi que les projections vidéo créent une atmosphère unique propre à l’enchantement de toute la famille !
    Pour la troisième et dernière année, l’équipe du château Guillaume-le-Conquérant fait renaître ce conte d’hiver, écrit de nos jours mais créé à l’aide des éléments narratifs et fantastiques des contes du XIIe siècle. Il a été composé par Sylvie Robe, auteure et comédienne, à partir de sources littéraires contemporaines des donjons du château : Marie de France, Chrétien de Troyes, Béroul… Ces contes médiévaux mêlent le quotidien et le fantastique, l’héroïque et le drolatique, et enchantent les publics éclairés de la période, suspendus aux lèvres des bardes et des troubadours qui donnaient vie à ces aventures.
    Ainsi, lorsqu’approchent les longs mois d’hiver, quand la lumière faiblit et que le froid gagne les pièces du château, on s’installe près de la cheminée et on se laisse porter par le rythme du conteur.
    C’est Patrick Dallanegra, illustrateur historique, qui a conçu les personnages et les décors de l’exposition, également à partir de sources à la fois historiques et légendaires du XIIe siècle. Au milieu de ces décors installés au fil des pièces des donjons, où ces histoires étaient racontées il y a presque mille ans, les guides deviennent eux-aussi conteurs et invitent les petits et grands à suivre les traces de ce jeune chevalier à la destinée bien singulière.
    Une exposition grandeur nature pour toute la famille,

     

    INFORMATIONS PRATIQUES :

    Renseignements et réservations
    au 02 31 41 61 44
    ou chateau.reservations@falaise.fr

    Château Guillaume le Conquérant
    Place Guillaume le Conquérant
    14700 Falaise

    www.chateau-guillaume-leconquerant.fr

    CONSULTER L’AGENDA CULTUREL


     

    BD Guillaume le Conquérant

    BD Guillaume – Bâtard et conquérant
    Bande dessinée de BORCH & MINIAC – Editions OREP – 80 pages

     
    COMMANDER CET OUVRAGE

     

     
  • Abbaye du Bec-Hellouin (Eure)

    Abbaye du Bec-Hellouin

    Abbaye du Bec-Hellouin (Eure)


      Extrait hors-série Normandie Médiévale
    Par Stéphane William Gondoin

    La fondation de l’abbaye du Bec remonte à la charnière des principats de Robert le Libéral et de Guillaume le Bâtard. Un certain Hellouin, chevalier de son état, décida alors d’abandonner le siècle pour s’en aller mener une existence de prière avec une poignée de compagnons, sur un plateau aride dominant la vallée de la Risle. Quelques temps plus tard, la petite communauté reçut d’autres terres, au fond de la vallée cette fois, traversées par un généreux filet d’eau appelé Rau de Bec (du norrois bekkr signifiant cours d’eau). Le Bec-Hellouin était né.

    Bien vite l’établissement s’agrandit. L’arrivée de Lanfranc de Pavie, intellectuel de renom, permit la création d’une école appelée à rayonner sur l’Occident : « La très grande réputation de cet homme fit bientôt connaître par toute la terre le monastère du Bec », écrit un contemporain. Lanfranc sera un jour archevêque de Canterbury. Plusieurs autres moines ou abbés du Bec deviendront par la suite évêques, archevêques ou abbés en Angleterre. Quant à Hellouin il s’éteindra octogénaire – un exploit pour l’époque – en l’an 1078.

    Il ne demeure plus aucun vestige significatif de l’époque ducale au Bec. L’ancienne abbatiale a été détruite après la Révolution et les bâtiments conventuels et le cloître datent d’après la réforme mauriste, aux XVIIe et XVIIIe siècles. Le corps d’Hellouin repose dans un sarcophage de pierre, visible dans le chœur de l’actuelle église abbatiale, installée sous les voûtes de ce qui était autrefois un réfectoire. Une communauté de moines olivétains s’est installée au Bec depuis 1948.

     

    Abbaye Notre-Dame du Bec
    27800 Le Bec-Hellouin

     Possibilité de visiter l’abbaye
    Tél. : + 33 (0)2 32 43 72 60 – www.abbayedubec.com

    Normandie Médiévale


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie Médiévale (2016).


     

     
     
     
  • Ville forte et château de Domfront (Orne)

    Ville forte et château de Domfront (Orne)

    Ville forte et château de Domfront (Orne)


      Extrait hors-série Normandie Médiévale
    Par Stéphane William Gondoin

    La région de Domfront, que l’on appelle le Passais, n’appartenait pas encore à la Normandie après les trois concessions de 911, 924 et 933. C’est Guillaume le Bâtard qui s’empara en 1051 de cette forteresse, fondée par la famille de Bellême autour de l’an mil, et très disputée au milieu du XIe siècle entre le comté d’Anjou et le duché de Normandie. Par cette première extension territoriale, il commença à se tailler une réputation d’invincibilité et à gagner son surnom de « Conquérant ».

    Domfront est maintenant une paisible cité, perchée au-dessus du bocage en occupant tout le sommet d’une vaste barre rocheuse. Disséminés dans la ville, l’observateur attentif pourra repérer les fragments de l’ancienne enceinte urbaine. À l’extrémité du promontoire rocheux trônent les vestiges du château fort, aménagés en un agréable parc public. Deux pans de murs subsistent de l’ancien donjon, construit par Henri Beauclerc, fils de Guillaume le Conquérant, dans les environs de l’an 1100. À noter également la mise au jour, au cours de ces trente dernières années, des substructions de la chapelle castrale Saint-Symphorien (vers 1100) et d’une grande salle seigneuriale de 17 × 5 m divisée en deux nefs, remontant aux années 1080/1100.

    Au pied de la forteresse, l’église Notre-Dame-sur-l’Eau est posée à proximité d’un ancien gué sur la Varenne. Il s’agissait à l’origine du sanctuaire de la paroisse de Domfront. Ce joyau de l’art roman, où Henri II Plantagenêt fit baptiser sa fille Aliénor d’Angleterre en 1162, date probablement de la seconde moitié du XIe siècle.

     

    Domfront
    Office de tourisme 

    12, place de la Roirie 61700 Domfront

    Tél. : + 33 (0)2 33 38 53 97  – www.ot-domfront.com

    Normandie Médiévale


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie Médiévale (2016).


     

     
     
     
  • Centre Juno Beach – Courseulles-sur-Mer (Calvados)

    Guide général des musées et mémoriaux 
    du Débarquement et de la Bataille de Normandie


    Centre Juno Beach - Courseulles-sur-Mer (14)

    Centre Juno Beach – Courseulles-sur-Mer (14)


      Extrait Hors-Série Normandie 44
    Par Stéphane William Gondoin

    Juno, c’est bien évidemment la plage de débarquement dédiée aux soldats canadiens, coincée entre les secteurs britanniques Sword et Gold. C’est pour rappeler le sacrifice de nos cousins d’outre-Atlantique qu’a été ouvert ce nouvel espace, le 6 juin 2013. L’exposition permanente présente l’effort de guerre civil et militaire de toute la population canadienne sur les différents fronts, durant la Seconde Guerre mondiale jusqu’à nos jours. À l’occasion des 70 ans du Débarquement, le centre Juno Beach propose à ses visiteurs une exposition temporaire intitulée “ Mamie, c’était comment pendant la guerre ? La vie des Normands et des Canadiens de l’Occupation à la Libération. ”  La visite s’achève par la projection du film Dans leurs pas.

     

    CENTRE JUNO BEACH
    Voie des Français Libres,
    14470 Courseulles-sur-Mer

    Ouvert d’avril à fin septembre, de 9 h 30 à 19 h ; en mars et octobre, de 10 h à 18 h ; en février, novembre et décembre, de 10 h à 17 h ; fermé le 25 décembre et au mois de janvier. Tarifs : adultes 7 € ; réduit 5,50 €.
    www.junobeach.org – Tél : + 33 (0)2 31 37 32 17

    Seconde Guerre mondiale en Normandie


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie 44.


     

     
  • Centenaire de la fin de la bataille de Verdun

    Centenaire de la bataille de Verdun

    Centenaire de la fin de la bataille de Verdun


      Extrait Patrimoine Normand N°99
    Par Stéphane William Gondoin


    Le 21 février 1916, à 8 heures du matin heure de Berlin, l’artillerie allemande déclenche un déluge de feu sur les lignes françaises dans le secteur de Verdun. C’est le coup d’envoi d’une immense déflagration qui durera près de dix mois, coûtera la vie à plus de 300 000 hommes (tués ou disparus) des deux camps et fera plus de 400 000 blessés. Par le niveau des pertes enregistré, ramené à la relative exiguïté du champ de bataille, Verdun demeurera à jamais dans la mémoire nationale comme le symbole absolu de la folie meurtrière déchaînée au cours de la Première Guerre mondiale.

    Verdun est certes bien loin des côtes de la Manche, mais de nombreux Normands et presque tous les régiments stationnés en Normandie participent aux hostilités. Le 129e régiment d’infanterie basé au Havre, le 39e RI de Rouen, le 103e RI 3e bataillon d’Alençon, le 36e RI de Caen montent à un moment ou à un autre sur le front. À titre d’exemple, les 36e et 129e RI sont engagés simultanément à la fin du mois de mai 1916 dans les opérations visant à reprendre le fort de Douaumont. Entre le 18 et le 24 mai, le 36e RI compte 8 officiers tués, 24 blessés et 1 disparu ; pour les hommes de troupe, le bilan s’élève à 167 tués, 458 disparus et 646 blessés. Pour la seule journée du 23 mai, le 129e RI enregistre 36 tués, 136 disparus et 204 blessés. Un passage du Journal de marche du 129e RI daté de ce 23 mai funeste résume à lui seul l’âpreté des combats : « La situation est grave. Les mitrailleuses ennemies nous font subir de lourdes pertes. De toutes parts, on signale des effectifs réduits à des poignées d’hommes. Les officiers font défaut. » La bataille de Verdun s’achève le 18 décembre 1916, lorsque les Français reprennent aux Allemands la ferme des Chambrettes. Il y a exactement cent ans.

    A LIRE : 

     


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
    (n° 99, Octobre-Novembre-Décembre 2016)


     

     
  • Château d’Ivry-la-Bataille (Eure)

    Château d`Ivry-la-Bataille

    Château d’Ivry-la-Bataille (Eure)


      Extrait hors-série Normandie Médiévale
    Par Stéphane William Gondoin

    La forteresse occupe le sommet d’une éminence naturelle dominant la vallée de l’Eure. On l’implanta ici pour veiller sur une frontière, aux confins de la Normandie, de l’Île-de-France et du Chartrain. Elle fut concédée à Raoul d’Ivry, frère utérin du duc Richard Ier, qui y construisit avant l’an mil une « tour célèbre, énorme et très fortifiée ». Une légende raconte que son architecte, l’infortuné Lanfred, fut exécuté sommairement après l’achèvement du chantier, pour éviter qu’il n’aille en bâtir d’autres du même type ailleurs. Une version assez sauvage de la préservation du « secret défense » donc.

    Les vestiges de cette tour, conservés sur plusieurs mètres, ont effectivement été mis au jour par une impressionnante série de campagnes de fouilles, lancées à compter de 1968 à l’initiative de Robert Baudet, un passionné d’histoire locale. Bien plus, il semble que ladite tour ait servi de modèle à la fameuse tour de Londres, édifiée par Guillaume le Conquérant pour surveiller et contrôler la capitale anglaise.

    Les autres vestiges exhumés montrent que le site castral d’Ivry fut occupé et amélioré jusqu’à la guerre de Cent Ans. Il subit encore un siège en 1419, pendant la conquête de la Normandie par le roi d’Angleterre Henry V. Le surnom de « la Bataille » est dû à l’affrontement qui se déroula dans le secteur le 14 mars 1590, entre les troupes royalistes d’Henri IV et les Ligueurs commandés par le duc de Mayenne.

     

    Château d’Ivry-la-Bataille

    27540 IVRY LA BATAILLE

    Le site est accessible à pied depuis l’église. Ouvert et gratuit toute l’année.

    Normandie Médiévale


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie Médiévale (2016).


     

     
     
     
  • Mémorial de Montormel (Orne)

    Guide général des musées et mémoriaux 
    du Débarquement et de la Bataille de Normandie


    Mémorial de Montormel

    Mont-Ormel :
    Mémorial de Montormel (61)


      Extrait Hors-Série Normandie 44
    Par Stéphane William Gondoin

    En août 1944, les Alliés parvenaient à enfermer le gros des forces allemandes dans la poche de Falaise, faisant environ 50 000 prisonniers. Entre Chambois et Vimoutiers, le mémorial de Coudehard – Montormel est au cœur de cette poche de Falaise. Là s’effondra la puissante machine de guerre allemande en Normandie. Le general britannique Montgomery devait alors parler du « commencement de la fin de la guerre ». Le Mémorial vous propose une plongée inoubliable dans l’enfer de cette bataille.
     

    MÉMORIAL DE MONTORMEL
    Les Hayettes,
    61160 Coudehard

    Ouvert du 1er au 30 avril, tous les jours de 10 h à 17 h ; du 1er mai au 30 septembre, tous les jours de 9 h 30 à 18 h ; du 1er octobre au 31 mars, le mercredi, le samedi et le dimanche, de 10 h à 17 h. Tarifs : adultes 5,50 € ; enfants 2,50 €.
    Tél : + 33 (0)2 33 67 38 61 – 
    www.memorial-montormel.org

    Seconde Guerre mondiale en Normandie


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie 44.


     

     
  • Abbaye de Saint-Wandrille (Seine-Maritime)

    Abbaye de Saint-Wandrille (Seine-Maritime)

    Abbaye de Saint-Wandrille (Seine-Maritime)


      Extrait hors-série Normandie Médiévale
    Par Stéphane William Gondoin

    Autrefois appelée Fontenelle, du nom de la petite rivière qui coule au fond du vallon verdoyant où elle s’est nichée, Saint-Wandrille est l’une des rares abbayes normandes toujours occupée par une communauté monastique. Il y eut certes une longue éclipse entre l’expulsion des religieux en 1790 et leur retour en deux temps, de 1894 à 1901 d’abord, à partir de 1931 ensuite. Mais les moines y suivent depuis lors la règle de saint Benoît et y célèbrent les offices en grégorien, comme leurs prédécesseurs le faisaient à l’époque ducale.

    Fondée en 649 par saint Wandrille, Fontenelle connut une trajectoire assez similaire à celle de Jumièges, sa voisine. Vendue elle aussi au titre des biens nationaux, elle fut acquise par un marchand d’Yvetot, Cyprien Lenoir, qui s’empressa de lancer la destruction de l’église abbatiale. Victor Hugo qualifia Saint-Wandrille « d’auge magnifique où s’ébat un hideux pourceau dévastateur nommé Lenoir. » Mais les déprédations furent ici moindres qu’à Jumièges et il reste encore de nos jours l’essentiel des bâtiments conventuels des XVIIe et XVIIIe siècles, avec un réfectoire des XIe, XIIe et XIVe siècles et un splendide cloître, dont la galerie la plus ancienne remonte au XIVe siècle. Au-dessus de l’abbaye enfin, veille depuis les alentours de l’an mil la minuscule chapelle Saint-Saturnin.

    Abbaye de Saint-Wandrille par nos confrères de la chaîne KTO

     

    Abbaye de Saint-Wandrille

    2, rue Saint-Jacques
    76490 Saint-Wandrille-Rançon

    Vestiges de l’abbatiale et église actuelle ouvertes dès 5h15 le matin (pour permettre aux fidèles d’assister à l’office de Vigiles) jusqu’à 13h, et de 14h à 21h15 (après la fin de l’office de Complies). Possibilité de visite de certaines parties de l’abbaye et aussi d’effectuer une retraite. Boutique bien garnie de différents produits monastiques.
    Tél. : + 33 (0)2 35 96 23 11
    www.st-wandrille.com

    Normandie Médiévale


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie Médiévale (2016).


     

     
     
     
  • Exposition « Guillaume le Conquérant en BD : la Fabuleuse Epopée »

    ‹ Retour à l’agenda

    Guillaume le Conquérant en BD : la Fabuleuse Epopée


    DATE :
    Jusqu’au 30 décembre 2016
    LOCALISATION : 
    Bayeux

    Exposition « Guillaume le Conquérant en BD :
    la Fabuleuse Epopée »


    La Tapisserie de Bayeux est le théâtre d’une mise en scène de l’épopée de Guillaume Le Conquérant, racontée en bande dessinée. Cette exposition s’articule autour des dessins extraits de « Guillaume » par Borja Peña (alias Borch) et Jean-François Miniac, paru en 2014 aux éditions OREP. Ce rendez-vous avec l’histoire retrace de façon originale et ludique, le destin à la fois unique et épique, de celui qui, avant d’être reconnu comme « Le Conquérant », fût un jeune bâtard, luttant pour sa propre survie et la reconnaissance de son héritage.

     

    INFORMATIONS PRATIQUES :

    De 09h30 à 12h30 et de 14h00 à 18h00
    Tarif étudiant : 4 € 
    Tarif de base : 9 € 

    Tél. : 02 31 51 25 50
    13 bis rue de Nesmond
    14400 BAYEUX

     

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    BD Guillaume le Conquérant

    BD Guillaume – Bâtard et conquérant
    Bande dessinée de BORCH & MINIAC – Editions OREP – 80 pages

     
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  • Musée du Mur de l’Atlantique – Ouistreham (Calvados)

    Guide général des musées et mémoriaux 
    du Débarquement et de la Bataille de Normandie


    Musée du Mur de l`Atlantique

    Musée du Mur de l’Atlantique
    Le Grand Bunker – Ouistreham (14)


      Extrait Hors-Série Normandie 44
    Par Stéphane William Gondoin

    Ce géant de 17 m avait pour fonction de diriger le tir des batteries du Mur de l’Atlantique. Du haut de cette tour de six niveaux, le regard embrase depuis la baie de Seine jusqu’au Cotentin. Le matin du 6 juin 1944, le spectacle depuis le sommet de la plate-forme dut être stupéfiant. Le Grand Bunker fut pris le 9 juin et ses 50 occupants faits prisonniers. Les salles y sont restituées dans leur état à la veille du Débarquement. À lui seul, il constitue un véritable concentré du Mur de l’Atlantique.
     

    MUSEE DU MUR DE L’ATLANTIQUE
    Avenue du 6 Juin
    14150, Ouistreham

    Ouvert du 1er février au 31 décembre, de 10 h à 18 h ; du 1er avril au 30 septembre, de 9 h à 19 h. Tarifs : adultes 7 € ; enfants 5 €.
    www.museedugrandbunker.com – Tél : + 33 (0)2 31 97 28 69

    Seconde Guerre mondiale en Normandie


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie 44.


     

     
  • Musée du Mur de l’Atlantique – Ouistreham (14)

    Guide général des musées et mémoriaux 
    du Débarquement et de la Bataille de Normandie


    Musée du Mur de l`Atlantique

    Musée du Mur de l’Atlantique
    Le Grand Bunker – Ouistreham (14)


      Extrait Hors-Série Normandie 44
    Par Stéphane William Gondoin

    Ce géant de 17 m avait pour fonction de diriger le tir des batteries du Mur de l’Atlantique. Du haut de cette tour de six niveaux, le regard embrase depuis la baie de Seine jusqu’au Cotentin. Le matin du 6 juin 1944, le spectacle depuis le sommet de la plate-forme dut être stupéfiant. Le Grand Bunker fut pris le 9 juin et ses 50 occupants faits prisonniers. Les salles y sont restituées dans leur état à la veille du Débarquement. À lui seul, il constitue un véritable concentré du Mur de l’Atlantique.
     

    MUSEE DU MUR DE L’ATLANTIQUE
    Avenue du 6 Juin
    14150, Ouistreham

    Ouvert du 1er février au 31 décembre, de 10 h à 18 h ; du 1er avril au 30 septembre, de 9 h à 19 h. Tarifs : adultes 7 € ; enfants 5 €.
    www.museedugrandbunker.com – Tél : + 33 (0)2 31 97 28 69

    Seconde Guerre mondiale en Normandie


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  • Tapisserie de Bayeux et cathédrale Notre-Dame (Calvados)

    Tapisserie de Bayeux

    Tapisserie de Bayeux et cathédrale Notre-Dame (Calvados)


      Extrait hors-série Normandie Médiévale
    Par Stéphane William Gondoin

    Cet incroyable chef d’œuvre, jaillissant comme par miracle du fond des âges et que nous avons pris l’habitude d’appeler Tapisserie de Bayeux, est en fait une broderie. Quelque part, peu importent les questions de sémantique : ce qui compte réellement, c’est de voir de ses propres yeux le témoignage le plus vivant relatif à la conquête de l’Angleterre par les Normands. En un enchaînement d’événements inéluctables, au milieu d’un chatoiement de couleurs semées sur une fine toile de lin, le roi Édouard le Confesseur envoie Harold de Wessex vers Guillaume, ce même Harold monte sur le trône alors que brille dans le ciel la comète de Halley, le duc de Normandie prépare son expédition et les cavaliers chargent le mur de boucliers saxons sur la colline de Senlac…

    Cette « Tapisserie » fut sans doute commandée par l’évêque Odon de Conteville, demi-frère du Conquérant, pour orner sa cathédrale. Et quelle cathédrale ! La nef, avec ses grandes arcades romanes remontant au XIIe siècle et ses niveaux supérieurs de style français, est d’une légèreté remarquable. Les éléments les plus anciens sont les deux tours du massif occidental et la crypte. Cette dernière pourrait remonter à l’épiscopat d’Hugues d’Ivry (1011/1015-1049), prédécesseur d’Odon, qui initia le chantier d’un nouveau sanctuaire.

    Crypte de la cathédrale de Bayeux ( SWG).

     

    Tapisserie de Bayeux

    13 bis, rue de Nesmond
    14400 Bayeux
    Tél. : + 33 (0)2 31 51 25 50
     

    La Tapisserie de Bayeux est ouverte tous les jours, sauf fermeture annuelle du 24 décembre après-midi au 26 décembre matin inclus, du 31 décembre après-midi au 2 janvier matin inclus, du 4 au 29 janvier inclus – Du 1er mars au 31 octobre, de 9h à 18h30 (jusqu’à 19h de mai à août) – Du 1er novembre au 28 février, de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h

    Plein tarif 9 €

    www.bayeuxmuseum.com

    Normandie Médiévale


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Normandie Médiévale (2016).


     

     
     
     
  • Comment faire rayonner la Normandie

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    Forum Attractivite Normandie


    DATE :
    Mercredi 2 novembre 2016
    LOCALISATION : 
    Caen

    1er Forum Attractivité Normandie 
    Comment faire rayonner la Normandie ?


    Venez participer au 1er Forum Attractivité Normandie, mercredi 2 novembre, au Pôle de Formation et de Recherche en Santé (PFRS) de Caen ! Le thème de ce 1er Forum sera  » Comment faire rayonner la Normandie ? « , vous serez invité à donner votre avis à ce sujet.
     

    INFORMATIONS PRATIQUES :

    Inscription obligatoire

    Gratuit et ouvert à tous

    Rendez-vous à 19h au Pôle de Formation et de Recherche en Santé (PFRS) Université de Caen Normandie, Campus 5
    2, rue des Rochambelles (accès via rond-point du CITIS).
     

    Remplissez le questionnaire
     

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  • Cinquième centenaire de la fondation du Havre

    Cinquième centenaire de la fondation du Havre

    Cinquième centenaire de la fondation du Havre


      Extrait Patrimoine Normand N°99
    Par Stéphane William Gondoin


    francois-Ier-fondateur-du-havre

    Le 7 février 1517, le roi François Ier remet une commission à l’amiral Bonnivet afin de créer au lieu-dit « de Grâce », un havre « pour tenir en sûreté les navires et vaisseaux de nous et nos sujets naviguant sur la mer océane. » Le 8 octobre suivant, ce même souverain signe une charte autorisant la fondation d’une ville « afin que les marchands y fréquentant puissent être logés et secourus en leur nécessité. » En deux traits de plume, Le Havre jaillit du néant.

    La cité de la pointe de Caux s’apprête donc à souffler l’année prochaine ses cinq cents bougies et elle entend mettre les petits plats dans les grands pour mieux marquer l’événement et frapper les esprits. Le programme détaillé a été communiqué et est maintenant connu dans les grandes lignes. Quatre mois d’animations baptisés Un été 2017 sont prévus du 27 mai au 8 octobre : concert géant, expositions de plein air ou d’intérieur, parade… La ville accueillera du 31 août au 3 septembre l’arrivée de l’ultime étape de la Tall ship race, une course de voiliers géants qui sillonnera l’Atlantique nord dans tous les sens, de l’Angleterre au Portugal, des Bermudes au Canada. À noter également le retour de la troupe nantaise de théâtre de rue Royal de Luxe, célèbre pour ses colossales créatures animées, du 6 au 9 juillet. Le tableau de Claude Monet Impression, soleil levant, qui a donné son nom au courant impressionniste, reviendra lui aussi au Havre et sera exposé au MuMa (musée d’Art moderne André-Malraux) à partir du 9 septembre et pour un mois seulement, à quelques mètres de l’endroit exact où il fut peint. Le 8 octobre enfin, un immense feu d’artifice sera tiré à l’aube pour marquer la fin des commémorations. Une programmation riche dans une ville dont le centre reconstruit est, on le rappelle, classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO.

     


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
    (n° 99, Octobre-Novembre-Décembre 2016)


     

     
  • Jeux et sports normands

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    sports régionaux Normands

    JEUX ET SPORTS NORMANDS

    JEUX ET SPORTS NORMANDS

    Depuis 2001 des passionnés de culture Normande ont répertorié les jeux et sports Normands et les ont réhabilités. En 2005 la première association voyait le jour et en 2011 c’était au tour d’une fédération de naître. A présent 15 jeux et sports sont inscrit au patrimoine immatériel français (dont la Carambole, la choule à la crosse, les boules cauchoises…) et on compte 100 journées d’animations par an. L’association TEC NOR et la FJSN éditent un livret répertoriant une grande partie des jeux et sports (mais aussi des jeux scandinaves pratiqués en Normandie) afin d’en démultiplier la promotion. Vous y trouverez également les adresses des fabricants de jeux, des clubs de choule et des animateurs. Pour 15 euros vous avez enfin accès à un patrimoine original à développer !

    120 pages – 15 € (TEC NOR Éditions).
    Plus d’informations : jeuxtradinormandie.fr

    Présentation de Jean-Phillippe Joly.

     

     
  • Mamie, c’était comment pendant la guerre ?

    ‹ Retour à l’agenda

    Mamie, c`était comment pendant la guerre ?


    DATE :
    Jusqu’au 31 décembre 2016
    LOCALISATION : 
    Courseulles-sur-Mer

    Exposition centre Juno Beach : Mamie, c`etait comment pendant la guerre ?Mamie,
    c’était comment pendant la guerre ?


    Cette exposition conçue et réalisée par le Centre Juno Beach spécialement pour le 70e anniversaire du Débarquement raconte la vie des civils normands et canadiens, particulièrement celle des enfants, de 1940 à 1944. Cette exposition se veut un outil de dialogue « inter-générationnel. » A travers 5 zones évoquant des univers emblématiques (une salle de classe, une cuisine familiale, un coin de salon, une scène de ruines) ces petits univers scénographiés permettent d’aborder les préoccupations majeures de cette époque trouble. Coté normand : la pénurie, le STO, le travail en Allemagne, la peur, le marché noir, les couvre-feux… Coté canadien : la crainte, l’écoute de la radio, les journaux, la propagande, le rationnement, le recyclage, l’absence, l’attente…
     

    INFORMATIONS PRATIQUES :

    Ouvert de 10 h à 17 h.

    Centre Juno Beach
    Voie des Français Libres,
    BP 104  – 14470 Courseulles-sur-Mer
    Tél. : (+33) (0)2.31.37.32.17
    junobeach.org
     

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  • Le sous-marin Vendémiaire retrouvé au large de la Hague

    Découverte du sous-marin vendémiaire

    Le Vendémiaire retrouvé


      Extrait Patrimoine Normand N°99
    Par Stéphane William Gondoin


    Le vendémiaire et son équipage (coll. SWG).

    Dans nos numéros 87 et 88 (1), nous avions largement évoqué l’arsenal de Cherbourg et sa spécialisation dans la construction de submersibles. Nous avions par ailleurs expliqué en détail les circonstances tragiques de la perte du Vendémiaire, un sous-marin éperonné par le cuirassé Saint-Louis et instantanément coulé le 8 juin 1912, pendant des manœuvres navales organisées au large du cap de la Hague. Depuis 104 ans, personne n’avait été en mesure de localiser l’épave, transformée en tombeau pour les 24 hommes d’équipage à bord au moment du drame.
    Le 10 août dernier, quatre plongeurs du club d’Omonville-la-Rogue, Matthias Dufour, Nicolas Hick, Nicolas Giffaut et Karl Villain, réussissent ce tour de force. Le Vendémiaire gît par 70 mètres de fond, à environ 8 kilomètres des côtes. Les forts courants l’ont, semble-t-il, emmené à la dérive bien loin du point d’impact initial.

    Première plongée sur le Vendémiaire par nico50110

    L’examen de la coque a révélé que le sous-marin ne s’était pas coupé en deux, comme le laissaient supposer  des témoignages contemporains et comme nous l’avions indiqué nous-mêmes, mais qu’il y a une large brèche devant le kiosque. Une preuve de plus que l’on doit toujours, en matière de recherche historique, faire preuve de la plus grande humilité et admettre que ce que l’on croyait juste auparavant peut se trouver balayé à la lumière d’investigations nouvelles. Bravo donc à ces inventeurs d’épaves, qui ont permis de découvrir le sarcophage de tant de malheureux en faisant progresser nos connaissances.
     

    une carte interactive permettant de localiser la plupart des navires coulés au nord-ouest du Cotentin.

    Plus d’informations sur leur site internet http://epavesdugrizzly.org/, avec notamment une carte interactive permettant de localiser la plupart des navires coulés au nord-ouest du Cotentin.
     


    (1) – Du Nautilus au Vendémiaire. La conquête des fonds marins et la Normandie Patrimoine Normand n°87.
    –  Du Nautilus au Vendémiaire. Le temps des catastrophes (seconde partie) – Patrimoine Normand n°88.
     


    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
    (n° 99, Octobre-Novembre-Décembre 2016)


     

     
  • Patrimoine Normand au château de Caen pour les journées du Patrimoine

    Journées Patrimoine 2016 Caen

    Patrimoine Normand au château de Caen
    pour les journées du Patrimoine


      Extrait Patrimoine Normand N°99
    Par Stéphane William Gondoin

    Michel de Decker - Laurent Corbin - Joël Bruneau

    Du 16 au 18 septembre dernier, Patrimoine Normand était présent au château de Caen à l’occasion des journées européennes du Patrimoine. Laurent Corbin, notre rédacteur en chef, en a profité pour serrer la main de notre ami Michel de Decker, que l’on ne vous présente plus. Mais cette manifestation a aussi été pour nous l’opportunité de rencontrer certains parmi nos lecteurs, ainsi que des acteurs œuvrant à la préservation de notre patrimoine. Ont été mis à l’honneur pendant cette manifestation les métiers du bâtiment, et particulièrement ceux de la restauration, sans lesquels nos chers monuments perdraient beaucoup de leur superbe. Réunis à l’appel de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) et de l’association Esprit d’art et patrimoine, de nombreux artisans ont ainsi pu expliquer leur métier au grand public et démontrer l’étendue de leur savoir-faire : couvreurs, menuisiers, maçons, plâtriers, tailleurs de pierre, charpentiers… Autant de secteurs d’activité où les jeunes, notamment par le biais de l’apprentissage et du compagnonnage, peuvent recevoir de véritables formations. Les filières sont de plus en recherche permanente de main d’œuvre qualifiée et recrutent régulièrement, ce qui offre une certaine assurance d’obtenir un emploi stable et valorisant. Quoi de plus noble en effet, que de contribuer à perpétuer à travers les siècles l’héritage que nous ont légué nos ancêtres ?
     

    Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
    (n° 99, Octobre-Novembre-Décembre 2016)


     

     
  • La Fête de la Pomme 2016

    ‹ Retour à l’agenda

    La Fête de la Pomme, du Cidre et du Fromage


    DATE :
    Dimanche 30 octobre 2016
    LOCALISATION : 
    Conches-en-Ouche

    La Fête de la Pomme, du Cidre et du FromageLa Fête de la Pomme, du Cidre et du Fromage


    Située dans l’arboretum de Conches, la Fête de la Pomme, du Cidre et du Fromage est devenue le rendez-vous incontournable de la Normandie. Cet évènement majeur, valorise le terroir normand à travers le marché de producteurs et artisans locaux, les dégustations gastronomiques, les démonstrations de savoir-faire, les expositions d’animaux de la ferme, les groupes folkloriques, les concours régionaux de cidre, miel, pain d’épices, les déambulations amusantes et pédagogiques, les jeux traditionnels normands, la restauration avec spécialités normandes… Rendez-vous le dernier dimanche d’octobre dans l’arboretum de Conches.

    La Fête de la Pomme de Conches :
    UN CONCENTRÉ DE NORMANDIE !

    D’année en année, la Fête de la Pomme a vu croître son nombre d’exposants, de participants et de visiteurs (près de 30.000 en 2015 !). En famille, entre amis, la Fête de la Pomme est l’occasion de découvrir ou redécouvrir des artisans, des producteurs, des métiers, des saveurs d’autrefois, du folklore… en bref de découvrir la Normandie. Un arboretum, un conservatoire de pommiers, un musée du terroir, un pressoir… Conches est l’endroit idéal pour accueillir une telle manifestation. L’animal en vedette cette année est l’âne.
    Découvrir, regarder, déguster, participer… la Fête de la Pomme, du Cidre et du Fromage se divise en plusieurs quartiers :
    – le quartier invité en 2016 : l’âne
    – le quartier des producteurs
    – le quartiers des artisans
    – le quartier des enfants
    – le quartier des jardins
    – le quartier de la restauration
    – le quartier de la pomme
     

    INFORMATIONS PRATIQUES :

    De 9 h à 18 h.

    Arboretum
    Rue Paul Guilbaud
    (près du Musée du Pays de Conches)
    27190 CONCHES-EN-OUCHE

    Tél. : 02 32 30 20 41
    www.conches-en-ouche.fr

     

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  • La bataille de Val Ès Dunes

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    La bataille de Val Ès Dunes

    LA BATAILLE DE VAL S DUNES

    An de grâce 1046. L’autorité du jeune duc Guillaume est contestée et certains nobles fomentent une rébellion pour le renverser. L’année suivante, avec l’aide du roi de France Henri Ier, Guillaume vainc tous ces seigneurs coalisés au Val-ès-Dunes, à l’est de l’actuelle ville de Caen. Avec précision, Jean-Paul Hauguel revient sur tous les détails de ces événements cruciaux qui ont conditionné l’avenir de la Normandie. On appréciera particulièrement les précieuses cartes et documents, permettant de se repérer sur le terrain de nos jours. Un éclairage complet sur le sujet.

    Par Jean-Paul Hauguel – 48 pages (OREP Éditions).

    Présentation de Stéphane William Gondoin (Extrait Partrimoine Normand N°99).

     

     
  • Vol au-dessus de la grande baie du Mont-Saint-Michel

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    Vol au-dessus de la grande baie du Mont-Saint-Michel


    DATE :
    Du 8 juillet 2016 au 6 novembre 2016
    LOCALISATION : 
    Le Mont-Saint-Michel

    Vol au-dessus de la grande baie du Mont-Saint-Michel.Vol au-dessus
    de la grande baie du Mont-Saint-Michel.


    Achevé en 2015, après vingt ans d’études et de travaux, le rétablissement du caractère maritime de la baie du Mont-Saint-Michel augmente considérablement l’aura du rocher, épuré de tout ce qui pouvait entraver la vue. Le rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel restaure profondément et préserve pour longtemps le paysage maritime du Mont et de sa baie, tous deux inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. Opération unique et réponse collective, ce projet renouvelle l’accès au site par une fine passerelle tendue entre le continent et le rocher, dans l’esprit des traversées de la baie par les pèlerins et de manière respectueuse de l’environnement. Désormais, la mer, comme arrivée de nulle part, circule librement jusqu’à entourer la Merveille de ses bras protecteurs. Grâce à l’action conjuguée des hommes, la renaissance d’une île invite à un rendez-vous atemporel et alchimique. Le photographe Jérôme Houyvet ne pouvait évidemment pas passer à côté de ce sublime spectacle. Mais pour le photographe, le Mont-Saint-Michel ne serait pas ce qu’il est sans cette grande baie qui l’entoure. Vue du ciel, cette baie délivre des tableaux d’une beauté époustouflante : Chausey et ses lagons turquoise, Avranches et ses brumes matinales, Granville et la valse de ses voiliers, les herbus et le graphisme des polders de la baie, Cancale et les premières côtes escarpées de Bretagne, Saint-Malo et ses remparts rompus aux assauts de la mer… Autant de sources d’inspiration et d’invitations au voyage pour ce photographe volant, libre comme l’air à bord de son paramoteur, qui nous offre, au travers de cette exposition, une vision aérienne inédite du nouveau visage de la « Grande baie » du Mont-Saint-Michel. L’aménagement du Mont-Saint-Michel redonne un équilibre entre préservation patrimoniale et gestion de la fréquentation touristique.

    Vol au-dessus de la grande baie du Mont-Saint-Michel

    Cette exposition présentée en extérieur, se compose de 25 modules grand format.
    Sur chaque module sont disposés 2 grandes images 120 x 180 cm (format paysage).
    Au total 50 photographies composent cette exposition.
    Chaque photographie est accompagnée d’une légende (bilingue français anglais) mettant en relief le site et sa singularité.

    Envie de voler au-dessus du Mont-Saint-Michel ? C’est ici…

     

    INFORMATIONS PRATIQUES :

    Gratuit, en extérieur
    Le Mont-Saint-Michel / La Caserne
    Au départ de Centre d’Information Touristique

     

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