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Dimanche 25 décembre, à 11h40, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour circonsrire un incendie qui s’est déclaré dans une habitation mitoyenne rue de Beauvais, à Meulan-en-Yvelines. Les deux occupants de la maison ont été évacués à l’arrivée des secours qui ont rapidement maîtrisé le feu.

Selon les premières constatations, le sinistre serait d’origine électrique. Les résidents seront relogés dans leur famille.

Accident ? Suicide ? Le corps sans vie d’un homme, blessé au niveau du crâne, a été retrouvé hier matin, dimanche 25 décembre, le long des voies ferrées à proximité du pont du Val d’Eauplet à Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime).

 C’est le conducteur d’un train circulant à vide en direction de la gare de Rouen qui a remarqué, peu avant 8 heures 45, la présence d’un corps en bordure de la voie. Il a arrêté son convoi et a constaté que l’homme était décédé depuis quelques heures apparemment. Les policiers ont pour leur part constaté la présence de blessures au niveau du crâne qui pourraient correspondre à un choc avec un train.

La victime était âgée de 55 ans et originaire de Rouen.

Le parquet de Rouen devrait ordonner une autopsie afin de déterminer précisément les causes et l’heure de la mort. L’enquête a été confiée au quart judiciaire. 

 

Une enquête a été ouverte par le quart judiciaire de Rouen après la découvcerte du corps d’un homme partiellement brûlé dans sa voiture. La victime, âgée de 26 ans, avait été signalée disparue la veille par sa soeur. Le jeune homme, domicilié à Grand-Couronne, était parti au volant de sa Peugeot 106 et n’avait plus donné de nouvelles.

Des recherches ont été engagées notamment par le groupe de sécurité de proximité (GSP). Au cours de celles-ci, les policiers ont repéré aux abords de la route forestière de Beauval, à Moulineaux, un véhicule correspondant au signalement de celui signalé. A l’intérieur, ils ont constaté la présence d’un homme sans vie dont les vêtements étaient partiellement calcinés. Au sol dans la voiture, un bidon ayant contenu de l’essence est également découvert. 

Les premières investigations laissent à penser que l’homme, dépressif, a mis fin à ses jours. Il faudra attendre les résultats des examens médico-légaux pour connaître précisément la cause du décès. 

Des cambrioleurs ont profité de l’absence des propiétaires dimanche jour de Noël pour s’introduire dans leur pavillon rue de l’Abreuvoir, à Chanteloup-les-Vignes. 

C’est une habitante du quartier qui a remarqué, vers 13 heures, la présence de trois inconnus au comportement suspect à proximité d’un pavillon voisin. Elle a immédiatement composé le 17 et une patrouille de police est arrivée rapidement sur place. Les individus avaient alors disparu, mais les recherches engagées ont permis de les retrouver et de les interpeller.

Les trois jeunes gens, âgés de 15, 16 et 17 ans, tous originaires de Chanteloup-les-Vignes ont été formellement reconnus par le témoin. Ils ont été placés en garde 

Lors des vérifications, les policiers ont constaté que la demeure avait été entièrement fouillée et qu’une fenêtre portait des traces d’effraction.

Une fillette de 7 ans a été grièvement blessée dans un accident de la route dans la soirée de ce samedi 24 décembre, sur la RN 10 à Coignières (Yvelines). 

Vers 22 heures, deux véhicules sont entrés en collision à une intersection dans des circonstances que l’enquête de police devra déterminer. A l’intérieur d’un des véhicules, les secours ont pris en charge un père et ses deux enfants. Le père et son fils ont été blessés légèrement et transportés par les sapeurs pompiers au Centre hospitalier André Mignot au Chesnay.

Le second enfant, une fillette de 7 ans, se plaingnait de douleur au ventre. Elle a reçu les premiers soins sur place par le SAMU avant d’être transportée à l’hôpital Necker à Paris XVe, avec un pronostic vital engagé.

Le conducteur du second véhicule a été conduit au poste de police pour audition. La circulation sur la RN 10 a été coupée dans un sens afin de permettre aux agents de la direction des routes d’intervenir (balisage et nettoyage de chaussée).

Un motard de 26 ans a trouvé la mort dans un accident de la route, ce dimanche en fin de matinée, à Anquetierville, une commune située entre Caudebec-en-Caux et Lillebonne (Seine-Maritime).

Les secours sont intervenus à 11 heures 45, sur la route départementale 982 où le drame s’est produit. Ils ont constaté à leur arrivée le décès du pilote de la moto. La conductrice du véhicule, une femme âgée de 73 ans, a dû être désincarcérée par les sapeurs-pompiers. Grièvement blessée, elle a été transportée au centre hospitalier Jacques Monod à Montivilliers, près de Havre.

Dix-neuf sapeurs-pompiers et cinq véhicules de secours routiers ont été mobilisés sur les lieux de l’accident. 

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie. Elle devra déterminer les circonstances de la collision.

Quatre personnes ont été blessées, dont deux grièvement, dans des accidents de la route au cours de la nuit du réveillon de Noël, en Seine-Maritime et dans l’Eure.

Pour une raison que l’enquête de police devra déterminer, un automobiliste de 21 ans a perdu le contrôle de sa voiture alors qu’il circulait sur la route départementale 43, à hauteur de la Vaupalière, entre Rouen et Barentin. Le véhicule est sorti de la route et a percuté violemment un poteau. Grièvement blessé, et coincé dans l’habitacle, le jeune conducteur a été désincarcéré par les sapeurs-pompiers avant d’être pris en charge par le SMUR et conduit aux urgences de l’hôpital Charles-Nicolle à Rouen.

Face-à-face à Val-de-Reuil

Vers 2 heures du matin, un  autre accident grave s’est produit dans l’Eure, cette fois, à Val-de-Reuil. Deux véhicules se sont percutés de face sur la route départementale 110. L’accident se serait produit au moment où l’un des véhicules procédait à un dépassement. Le conducteur de ce dernier, âgé de 39 ans, a été grièvement blessé. Il a été transporté dans un état jugé critique à l’hôpital Charles-Nicolle à Rouen.

Dans le second véhicule, les secours ont pris en charge deux personnes légèrement blessées, un père et sa fille, qui ont été admises à l’hôpital des Feugrais à Saint-Aubin-lès-Elbeuf.

 

Trois véhicules se sont percutés ce samedi en milieu d’après-midi avenue de la Porte des Champs à Rouen. La collision, dont les circonstances sont ignorées, a fait trois blessés légers qui ont été conduits aux centre hospitalier universitaire Charles Nicolle à Rouen, par les sapeurs-pompiers. La circulation a été neutralisée sur une seule voie.

 

Le corps sans vie d’un homme âgé de 40 ans a été découvert devant sa porte à l’extérieur de l’habitation, ce samedi 24 décembre en fin de matinée, à Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime). La mort pourrait remonter à quelques heures.

Aucune trace suspecte n’a été relevée sur le corps qui a fait l’objet d’un examen clinique par un médecin légiste.  Une autopsie devrait être ordonnée par le parquet de Dieppe, afin de déterminer les causes exactes du décès. Elle sera pratiquée en début de semaine à l’institut médico-légal de Rouen.

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Neufchâtel-en-Bray.

L’astronaute normand Thomas Pesquet fête Noël à 400 kilomètres d’altitude ! Le jeune ingénieur de bord de l’expédition 50 a adressé   depuis la station spatiale internationale (ISS) un joyeux Noël à la terre entière qu’il va scruter pendant six mois. Un message de paix et d’amour aussi.

Dans une vidéo transmise via Youtube, le Rouennais, dixième français à voler dans l’espace, détaille le menu de réveillon bien français qu’il va partager avec les cinq autres membres d’équipage de la station : langue de boeuf Lucullus au foie gras truffé en entrée, suprême de volaille au vin jaune du Jura et morilles en plat principal et pressé de pain d’épices aux pommes au dessert.

L’enquête ouverte par la gendarmerie après la découverte du corps d’une femme âgée de 30 ans dans une voiture calcinée à Saint-Hellier (Seine-Maritime) a d’ores et déjà permis d’écarter la piste criminelle.

Mercredi 21 décembre, vers 20 h 30,  les sapeurs-pompiers avaient été appelés à intervenir pour un accident de la route sur la départementale 154. A leur arrivée sur les lieux, les secours avaient constaté que le véhicule, seul en cause, s’était enflammé après avoir percuté un arbre. 

Les investigations des gendarmes se poursuivent. La conductrice a-t-elle été tuée après avoir perdu le contrôle de sa voiture qui a alors percuté l’arbre avant de prendre feu ? Les constatations de police technique et l’audition des proches de la victime permettront de comprendre ce qui s’est réellement passé. Une autopsie devrait être également ordonnée par la parquet de Dieppe.

Le patron du Bistrot d’Arthur, rue Cauchoise à Rouen, a dû faire appel aux services de police jeudi 22 décembre vers 23 heures pour filouterie alimentaire. En clair, trois hommes qui étaient attablés sont partis à la fin du repas sans régler la note. Une note qui s’élevait à 144,60€.

L’un des trois clients indélicats partis en courant a été rattrapé par un témoin de la scène, lui même client de l’établissement. Il a plaqué le fuyard au sol puis l’a ramené manu militari au restaurant où il a été retenu jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre.

Du cannabis dans sa poche

Invité à s’expliquer, l’individu s’est d’abord plaint de douleurs à l’épaule et présente une plaie au poignet droit, conséquences selon lui du placage au sol musclé dont a été victime.

Examiné à l’hôpital, il a été ensuite placé en garde à vue à l’hôtel de police. En Etat d’ivresse, il a refusé de se soumettre au contrôle d’alcoolémie. Il a également refusé de coopérer avec les enquêteurs qui l’ont invité à téléphoner aux deux hommes qui l’accompagnaient au restaurant pour payer l’addition.

Lors de la palpation de sécurité, les policiers ont retrouvé sur lui un morceau de résine de cannabis.

Un automobiliste a été intercepté jeudi 22 décembre à 16 h 45 lors d’un contrôle de vitesse mis en place sur le pont Guillaume Le Conquérant à Rouen, dans le sens rive droite – rive gauche. Le véhicule qu’il conduisait, une Citroën C3, circulait à 77 km/h au lieu de 50.

Lors des vérifications, les policiers ont constaté que le conducteur n’avait pas de permis (il est en vérité sous le coup d’une procédure d’annulation) et que le certificat d’assurance était périmé depuis le mois de février. La carte grise était quant à elle toujours au nom de l’ancien propriétaire, un garage du Tremblay-en-France (Val d’Oise). 

Le dépistage d’alcoolémie s’est avéré négatif, en revanche le test salivaire aux stupéfiants s’est révélé positif au cannabis. L’automobiliste, un Rouennais  de 23 ans, a reconnu avoir fumé un joint la veille au soir. Il a été placé en garde à vue dans les locaux de la brigade des accidents et délits routiers (BADR) à l’hôtel de police de Rouen.

Trois gendarmes sont décédés dans un accident de la route ce vendredi soir entre Auneuil et Berneuil-en-Bray, au sud de Beauvais (Oise). Le véhicule de gendarmerie est entré en collision avec une camionnette à l’intersection de deux routes départementales, le CD 2 et le CD 35. Les circonstances de l’accident sont dans l’immédiat ignorées.

En dépit des soins qui leur ont été prodigués, les  trois gendarmes ont succombé à leurs blessures. Les victimes étaient âgées  de 18 à 26 ans et appartenaient au peloton de surveillance et d’intervention (Psig) de la compagnie de Méru. Les trois occupants de la camionnette « sont dans un état jugé très sérieux et ont été transportés au centre hospitalier régional d’Amiens », a indiqué ce soir la préfecture de l’Oise.  

Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux, qui s’est rendu sur les lieux du drame, présente aux familles ses plus sincères condoléances et rappelle que « les représentants des forces de l’ordre prennent tous les jours des risques pour assurer la sécurité de tous ».

📌@BrunoLeRoux fait part de sa très vive émotion après le décès en service, ce soir, de quatre militaires de la @Gendarmerie Nationale pic.twitter.com/3xEBYK3AS7
— Ministère Intérieur (@Place_Beauvau) 23 décembre 2016

Six personnes ont été légèrement intoxiquées au monoxyde de carbone ce vendredi matin dans une boulangerie à Sotteville-lès-Rouen. Les victimes ont été transportées aux urgences du CHU de Rouen.

C’est autour de 8 heures 30 que le centre opérationnel d’incendie et de secours (Codis76) a reçu un appel téléphonique lui indiquant que six personnes – quatre employés, une cliente et un livreur –  étaient victimes de malaises dans une boulangerie,17 rue de Stalingrad à Sotteville. Dès leur arrivée sur les lieux, les sapeurs-pompiers ont constaté qu’il s’agissait d’une légère intoxication au monoxyde de carbone, probablement dûe à un dysfonctionnement à des appareils professionnels.

Les secours ont pris d’abord en charge les victimes, qui ont été transportées aux urgences de l’hôpital Charles Nicolle, et ont veillé à mettre en sécurité les installations. Il ont alors constaté un dysfonctionnement sur deux fours à gaz et sur une chaudière. Les sapeurs-pompiers ont ensuite procédé à la ventilsation des locaux, ce qui a permis à la boulangerie de rouvrir ses portes à 15 heures.

Un homme âgé de 53 ans a été placé en garde à vue pour tentative d’homicide. Sans raison, il a poignardé un passager qui se trouvait, comme lui, dans un bus.

Les faits qui lui sont reprochés se sont déroulés aujourd »hui vendredi peu avant 15 h 30, dans un bus de la ligne n°6 de la société TVO assurant la liaison entre les gares routières d’Argenteuil (Val-d’Oise) et de Houilles (Yvelines).

Sans raison, selon les premiers éléments recueillis par les policiers, cet individu domicilié à Carrières-sur-Seine a planté son couteau dans le thorax d’un pasager, le blessant grièvement. L’auteur du coup de couteau a été immédiatement interpellé par des voyageurs, témoins de la scène.

A l’arrivée des secours, la victime était consciente. Le médecin du SAMU, sur place, a diagnostiqué une forte hémorragie. Le blessé a été transporté à l’hôpital Bichat à Paris 18e. Son pronostic vital n’était pas alors engagé. 

L’individu était toutjours en garde à vue ce soir au commissariat de Sartrouville.
 

Un homme âgé de 69 ans a été arrêté cette nuit de vendredi alors qu’il avait tenté, à trois reprises, d’incendier des commerces du centre-ville d’Elbeuf, par vengeance. Surveillé par la brigade anti-criminalité, le sexagénaire a été surpris la boite d’allumettes à la main. 

Vers minuit et demi, police-secours est avisée qu’un feu de poubelles s’est déclaré devant une cave à vin, 2, rue des Martyrs à Elbeuf. Sur place, les policiers constatent la présence des sapeurs-pompiers qui éteignent le feu à des conteneurs et sacs poubelles entreposés devant la devanture du commerce. Les murs et la vitrine du magasin ont été endommagés par les flammes et la fumée.

Une demi-heure plus tard, un autre feu de poubelles est signalé à proximité du Underground Café, 62, rue du Neubourg, toujours à Elbeuf. Plusieurs conteneurs sont la proie des flammes. L’incendie est rapidement maîtrisé. Manifestement, les conteneurs ont été sciemment et délibérément entreposés contre la façade du café.

L’origine de ces deux incendies semble bien suspect aux policiers. Dès lors, la brigade anti-criminalité (BAC) décide de mettre en place une surveillance rapprochée. Un équipage de gardiens de la paix en civil sillonne le centre-ville à pied, à la recherche d’un éventuel incendiaire.

Il avait un contentieux avec les victimes

C’est alors qu’il remarque, un peu plus tard dans la nuit, un homme qui traîne un conteneur poubelle rue des Martyrs. Les policiers prennent discrètement l’individu en filature. Ils le voient alors rassembler plusieurs conteneurs devant le bar à vins Le Lupin. Le suspect prend soin d’entasser quelques autre sacs de déchets tout autour, formant une sorte de pyramide recouvrant la vitrine de l’établissement. Puis, instant fatidique, l’homme sort une boite d’allumettes de sa poche et enflamme les sacs poubelles à divers endroits, avant de quitter les lieux tranquillement.

A cet instant, les policiers se lancent à sa poursuite et l’interpellent rue Muller, une rue voisine. L’incendiaire est âgé de 69 ans et demeure à Elbeuf. La boite d’allumettes est retrouvée sur lui. Le sexagénaire, alcoolisé, ne fait aucune difficulté à reconnaître qu’il est bien l’auteur des trois incendies. Il affirme avoir agi ainsi en raison d’un contentieux qui l’oppose aux propriétaires de ces trois commerces. Il a été placé en garde à vue.  

A la demande de la Ville de Vernon, l’association CHAM (Chantier Histoire et Architecture) organise un chantier-école qui porte sur la restauration et la conservation du Pont des Tourelles, sur la rive droite de la Seine à Vernonnet.

Une dizaine de jeunes, recrutés par le biais du service civique dans le cadre d’une mission d’insertion professionnelle et sociale, sont déjà à pied d’œuvre depuis le mois de novembre pour réaliser un travail de conservation sur l’ancien quai avant d’attaquer la restauration des arches et la voûte de l’ancien pont sur lequel est construit le Vieux Moulin.

Cette opération, dont la durée prévisionnelle est de trois ans, devrait représenter un coût total de 243 000 €. Elle est financée par la Ville de Vernon, la Communauté d’agglomération des Portes de l’Eure (Cape), l’État, la Fondation du patrimoine, la Région et le conseil départemental de l’Eure par le biais d’une subvention de fonctionnement de 40 000 € pour les 3 années de l’opération (2016-2019).

Les villes de Vernon et de Saint-Marcel, dans l’Eure, ont entrepris un travail de recomposition urbaine sur la route départementale 6015 (plus connue sous le nom d’avenue de Rouen) et aussi dans une moindre mesure sur la départementale 528 (avenue Foch) avec la création d’un nouveau giratoire au carrefour dit Fieschi.

Il s’agit de changer le visage de ces axes départementaux dans une optique plus urbaine avec notamment la création de nouveaux stationnements, de trottoirs, de voies réservées aux circulations douces ou encore la mise en œuvre d’un éclairage spécifique.

Ce chantier, estimé à 12,6 millions d’euros, sera piloté à la fois par les villes de Vernon et de Saint-Marcel.

De 2017 à 2022

La participation financière du Département de l’Eure pour l’opération, récemment validée par la commission permanente, se monte à 1,9 M€ (400 000 € pour le giratoire Fieschi situé à Vernon, 1,2 M€ pour la partie de la RD 6015 située sur la ville de Vernon et 300 000 € pour la partie RD 6015 située sur la ville de Saint Marcel).

« L’opération sera réalisée en six phases, s’étendant de 2017 à 2022 », indique-t-on au Conseil départemental.

Parmi les quelque 90 dossiers examinés récemment par la commission permanente du conseil départemental de l’Eure, il en est une qui intéresse au plus haut point les habitants de Serquigny. Il s’agit en effet du financement d’une maison de santé dans leur commune.

Face à une crise sans précédent de la démographie médicale dans l’Eure, les maisons de santé, « sans être le remède miracle », reconnaît le Département, sont une des solutions pour fixer, notamment dans les territoires ruraux, des professionnels de santé.

Trois médecins, cinq infirmières

A Serquigny, dans le canton de Bernay, la maison de santé pluridisciplinaire devrait sortir de terre en 2018 et pourrait accueillir, dès son démarrage, trois médecins, cinq infirmières et un kinésithérapeute, fonctionnant sur un principe de réseau. Dans le cadre du dispositif d’aide en faveur des éléments patrimoniaux des communes, le Département vient donc de valider un soutien à hauteur de 100 000 € à ce projet.

Les forces de l’ordre sont intervenues hier soir (jeudi) en début de soirée à Andrésy après avoir été informées par des riverains de la présence avenue des Robaresses d’un groupe de perturbateurs.

A leur arrivée, les policiers ont procédé au contrôle d’une quinzaine d’individus. Lors cette intervention, ils ont été la cible de jets de pierres qui ont endommagé l’un de leurs véhicules. L’auteur du caillassage, âgé de 16 ans et originaire de Montigny-les-Cormeilles (Val d’Oise) a été interpellé pour violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique avec arme par destination.

Les policiers ont dû faire usage par ailleurs d’une grenade de desencerclement pour disperser le groupe d’individus qui cherchaient à s’opposer à l’interpellation du trublion.

Le service de déminage de Versailles est intervenu cette nuit de jeudi à vendredi vers minuit et demi à la grande mosquée de Mantes-la-Jolie, rue Denis Papin, suite à la découverte d’une bonbonne de gaz suspecte placée à proximité. Un périmètre de sécurité avait été établi préalablement par les services de police aux abords de l’édifice religieux.

Après inspection et sécurisation par les démineurs, il s’est avéré que la bonbonne ne présentait aucun danger. Celle-ci a été prise en charge par la police municipale qui a procédé à son évacuation.

La Caisse d’Epargne du Val Fourré, située sur la dalle du centre commercial 2 à Mantes-la-Jolie, a été victime d’un vol à main armée aujourd’hui jeudi vers 11 heures 30. Un malfaiteur a fait irruption dans l’établissement bancaire et a menacé avec une arme de poing l’employée qui se trouvait à l’accueil en lui posant le canon de son arme sur la tempe. L’individu se rendant compte qu’il n’y avait pas d’argent au guichet a finalement pris la fuite après avoir arraché le bracelet de l’employée.

Les policiers sont arrivés très vite sur les lieux, alertés par le déclenchement de la télésurveillance. Le malfaiteur avait déjà disparu. Le plan de recherches mis en place immédiatement n’a pas permis de le retrouver.

L’enquête été confiée au Service régional de police judiciaire de Versailles.

Un immeuble de trois étages a été avacué aujourd’hui jeudi, en début d’après-midi au 17, rue du Maréchal Foch, une rue commerçante du centre-ville de Meulan-en-Yvelines. La cause est due à un incendie qui s’est déclaré accidentellement dans le fumoir d’un charcutier-traiteur. Les fumées se sont répandues dans les parties communes et l’escalier de l’immeuble.

Les sapeurs-pompiers ont pris en charge cinq personnes incommodées par les fumées qui ont été accueillies dans le hall de la mairie toute proche. Un enfant de 7 ans légèrement intoxiqué a été transporté au centre hospitalier de Poissy. Deux policiers, présents sur les lieux pour coordonner l’évacuation, ont été quant à eux, pour les mêmes raisons, été évacués sur les urgences de l’hôpital de Meulan.

Les autres locataires ont pu regagner leurs appartements dès la fin de l’intervention des secours et après ventilation de l’immeuble.

Noël Caru, maire de Caudebec-lès-Elbeuf de 1995 à 2014, est décédé aujourd’hui jeudi, à l’âge de 67 ans. 

Elu à Elbeuf, puis dans l’opposition à Caudebec-lès-Elbeuf il avait pris les rênes de la mairie en 1995 et avait été constamment réélu jusqu’en 2014.  

Laurent Bonnaterre, qui lui avait succédé à la mairie de Caudebec-lès-Elbeuf il y a deux ans, lui a rendu immédiatement hommage, dans un communiqué, en ces termes : « il aura marqué la scène politique elbeuvienne durant plus de 30 ans. Je n’oublie pas que j’ai été son Adjoint durant un peu moins de 2 ans et que j’ai appris à ses côtés, en positif comme en négatif. J’ai appris notamment sur Caudebec. Dans son opposition durant 4 ans, cela n’a pas été toujours facile. Cela m’a également construit. Je salue aujourd’hui la mémoire d’un Maire bâtisseur notamment dans le secteur de la jeunesse. A sa femme Pascale et à ses enfants, j’adresse mes condoléances et celles de l’ensemble de la Municipalité ».

Mercredi en fin d’après-midi, trois agents de sécurité du Centre commercial Leclerc à Rambouillet ont intercepté l’auteur du vol à l’étalage de quatre téléphones portables d’une valeur de 500€ environ. L’homme a tenté de se soustraire en exhibant un couteau mais a quand même été maitrisé par les vigiles.

A l’arrivée des policiers, qui lui ont signifié son interpellation, l’individu, un SDF de 36 ans, était toujours particulièrement virulent. Il a été placé en garde à vue pour vol et violences volontaires avec arme blanche.

Deux Rouennais de 21 et 26 ans ont été interpellés hier mercredi, pour une tentative de vol à l’étalage au magasin de la FNAC, à Rouen. Ils venaient de franchir les caisses avec chacun une tablette numérique Galaxy Samsung planquée sous leur veste. Les deux voleurs avaient été repérés par les agents de sécurité du magasin qui ont attendu leur sortie pour les intercepter. Les tablettes, d’une valeur totale de 700€, avaient été extraites de leur emballage protégé par un système anti-vol.

Remis aux policiers, les deux hommes ont été placés en garde à vue.

 

Un homme d’une soixantaine d’années a été tué, écrasé par un train sur la ligne Paris – Caen. Le drame s’est produit ce mercredi vers 16 heures 15 au passage à niveau (rue Alfred de Vigny) à Breuilpont, près de Pacy-sur-Eure (Eure).  Le sexagénaire était à vélo et traversait les voies, alors que les barrières étaient baissées, lorsqu’il a été happé par le train de voyageurs qui circulait à 160 km/h. Lancé à pleine vitesse, le convoi, avec 600 passagers à bord, s’est arrêté 1 kilomètre plus loin. 

Le trafic ferroviaire a été immédiatement interrompu dans les deux sens de circulation, pendant deux bonnes heures, provoquant de fortes perturbations sur la ligne entre Paris-Saint-Lazare et Cherbourg. Un train à destination de Paris a été stoppé en amont de l’accident. Le trafic a repris peu après 18 heures.

Accident ou suicide ?

La compagnie de gendarmerie de Louviers, sous les ordres du capitaine Bruno Tessal, commandant en second, a mobilisé d’importants moyens pour épauler la brigade de Pacy-sur-Eure, en charge des constatations et de l’enquête. La brigade de recherches (BR) de Louviers et la cellule d’identification criminelle (CIC) d’Evreux ont été sollicitées pour procéder aux investigations habituelles lorsqu’il s’agit d’un « accident de personne » dans le langage de la SNCF. 

La victime n’avait pas été formellement identifiée ce soir. L’enquête devra déterminer s’il s’agit d’un accident ou d’un suicide, les deux hypothèses étant pour l’instant privilégiées.
 

Un voyageur, victime d’un malaise alors qu’il se trouvait dans le train Caen – Paris, a été pris en charge par les sapeurs-pompiers à la gare de Bernay (Eure) lundi 19 décembre, vers 18 heures. L’homme, âgé de 26 ans et domicilié dans la Manche, a été conduit à l’hôpital local pour des examens.  

Ce sont des agents de la sûreté ferroviaire (Suge) qui ont alerté les secours. La gendarmerie s’est également déplacée et a constaté que l’usager, en état d’ivresse, avait beaucoup de difficulté à s’exprimer. Lors du contrôle, trois morceaux de résine de cannabis (8 grammes environ) ont été découverts sur lui. Le jeune homme a alors reconnu être un consommateur de cannabis.

Placé en garde à vue le lendemain matin, à sa sortie de l’hôpital, il a reconnu avoir consommé à la fois de l’alcool et des stupéfiants. Il est ressorti de la brigade de Bernay avec une convocation devant le tribunal correctionnel d’Evreux, dans les prochaines semaines.

Trois habitants de Bernay (Eure) ont été arrêtés mardi 20 décembre. Ils étaient dans le collimateur des gendarmes de Bernay qui enquêtaient depuis le mois d’avril dernier sur un trafic de stupéfiants.

Il y a huit mois, les gendarmes recueillent un renseignement les mettant sur la piste d’un éventuel trafic de drogue. Des investigations sont lancées sur la base d’éléments à la disposition des enquêteurs, ainsi que de recoupements.

Des consommateurs auditionnés

Des consommateurs de stupéfiants sont auditionnés et leurs déclarations permettent aux gendarmes de se faire une conviction. Les noms de deux jeunes gens, un homme de 25 ans et une femme de 24 ans vivant en couple à Bernay, reviennent régulièrement. Une troisième personne, un homme de 31 ans, est également désigné comme étant un fournisseur de drogue.

Les trois suspects sont interpellés au petit matin de mardi lors d’une opération judiciaire qui mobilise 18 gendarmes de la brigade de recherches (BR) et du peloton de surveillance et d’intervention (PSIG) de la compagnie de Bernay ainsi que le chien anti-drogue d’Évreux.

Remis en liberté

Lors des perquisitions à leur domicile, les gendarmes découvrent quelques grammes de résine de cannabis, une balance électronique et des couteaux dont la lame est noircie. Ils sont placés en garde à vue.

Les trois mis en cause ont été remis en liberté sur instruction du parquet. Ils devront se présenter à la barre du tribunal correctionnel d’Évreux dans les prochaines semaines.