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Aucune intervention n’a été possible sur le chalutier « Lucky » en feu au large du Calvados ce mardi 6 janvier, et ce malgré plusieurs tentatives des marins-pompiers de Cherbourg, le danger étant trop important pour les équipes de secours, indique la Préfecture maritime dans un communiqué publié ce mardi soir.

Vers 17h30, le chalutier a finalement sombré et l’Abeille Liberté procède en ce moment à la sécurisation de la zone en ramassant les débris laissés à la surface après le naufrage.

« Actuellement, aucune pollution n’est constatée et les services de la préfecture maritime traitent les opérations de renflouage avec l’armateur et l’assureur », assurent les autorités maritimes.

A Conflans-Sainte-Honorine, sur l’heure de midi, un individu se présentait en qualité de fonctionnaire de police au domicile d’une femme âgée de 87 ans, rue des Alouettes. Il exhibait une pseudo carte professionnelle de policier évoquant des vols par effraction dans le quartier et l’éventuelle présence d’objets dérobés.

Il se rendait alors dans le jardin de sa victime où étaient censés se trouver ces objets et en profitait pour contacter son complice qui arrivait à son tour avec une pochette contenant des effets de l’octogénaire. Comprenant la supercherie, la retraitée leur refusait l’accès au logement et les mettait en fuite sans rien dérober. 

A La Celle-Saint-Cloud, le scénario est un peu différent. Un premier individu se présentait au domicile des victimes, un couple originaire de Suisse, prétextant venir changer une barrière entre leur habitation et celle de leur voisin. Il quittait les lieux.

Quelques minutes après, deux inconnus vêtus de vestes bleues et de casquettes se présentaient comme policiers évoquant de nombreux cambriolages dans le secteur. Ils exhibaient une fausse carte professionnelle. Les personnes âgées (87 ans)  laissaient pénétrer les deux hommes qui s’emparaient de numéraire (préjudice en cours d’évaluation), avant de prendre la fuite.

Dans les deux cas, une enquête a été ouverte par les services de police qui ont diffusé le signalement des malfaiteurs.

Depuis ce mardi matin à 10 heures, des recherches sont entreprises sur la côte de Gravelines (Nord), pour tenter de localiser un pêcheur à pied qui serait porté disparu. Alerté par un témoin, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) de Gris-Nez coordonne cette opération de recherche pour disparition inquiétante.

De nombreux moyens sont actuellement déployés sur place notamment l’hélicoptère Dauphin de la Marine Nationale, les vedettes des sauteurs en mer de Gravelines et de Calais, la vedette de gendarmerie maritime « Escaut », la vedette de la brigade nautique de la Gendarmerie Nationale « Eulimene » la vedette des douanes ainsi le centre opérationnel d’incendie et de secours du Nord qui a engagé des moyens nautiques.

Le véhicule et des effets personnels du pêcheur présumé disparu ont été repérés sur place. Les recherches sont toujours en cours.

Un important dispositif de secours a été déclenché ce mardi en tout début d’après-midi au large de Ouistreham où un chalutier, le Lucky, a été victime d’un incendie dans la partie machinerie.

Les trois marins pêcheurs qui se trouvaient à bord du navire immatriculé au Havre et basé à Fécamp ont été récupérés sains et saufs  et sont à bord de la vedette de la gendarmerie maritime l’Esteron qui fait route vers le Havre.

Un hélicoptère EC225 de la Marine, un bateau des marins-pompiers et le patrouilleur Cormoran sont actuellement sur place, ainsi que la vedette des sauveteurs en mer (SNSM).

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La Préfecture maritime de Cherbourg a fait le point  en milieu d’après-midi de l’opération de secours engagée au large de Ouistreham, à la suite de l’incendie qui s’est déclaré à bord du chalutier Le Lucky. Voci le contenu de son communiqué publié peu après 16 heures.

 Ce mardi 6 janvier, vers 12H20, le chalutier l’Emigrant signale au CROSS Jobourg qu’un chalutier au nord de Ouistreham pour 10 milles nautiques est en feu. Le CROSS Jobourg a immédiatement coordonné une opération de sauvetage et mobilisé les moyens présents à proximité.

Les 3 marins pêcheurs du Lucky on pu être immédiatement récupérés dans leur radeau de survie par un autre navire de pêche, le petit Bambino, puis transférés sur la vedette de gendarmerie maritime Esteron (déjà en mer et très proche du lieu du sinistre) qui a fait route vers le Havre. L’un des trois marins souffre de brûlures superficielles. A la suite d’une conférence téléphonique avec le Centre de consultation médicale maritime de Toulouse, le SAMU de coordination médicale maritime du Havre a organisé un accueil à quai. Les rescapés ont été pris en charge par les services de secours au Havre vers 14h30.
 
Le CROSS Jobourg a par ailleurs engagé la SNSM 091 Sainte Anne des flots de Ouistreham et mobilisé les moyens déjà en mer suivant :  le patrouilleur de la Marine nationale Cormoran, le patrouilleur de Gendarmerie maritime Géranium.
 
Parallèlement, le préfet maritime a déployé des marins pompiers par hélicoptère (EC 225 Marine nationale basé à Cherbourg) et fait appareiller le remorqueur d’intervention, d’assistance et de sauvetage Abeille Liberté, pour éviter tout risque de dérive dans le rail d’accès au port du Havre si toutefois la situation devait durer.
 
Vers 15h15, les marins pompiers présents à proximité du chalutier ont signalé que les flammes avaient repris à bord. La plage et la cabine ont été totalement détruites. Pour l’heure la montée à bord des marins pompiers n’est pas envisagée compte tenu du danger trop important.

Les moyens d’intervention restent sur place jusqu’à nouvel ordre.

La brigade canine a dû recourir à son chien G’zine pour neutraliser un homme particulièrement agressif et violent, dans la soirée d’hier lundi à Notre-Dame-de-Bondeville, près de Rouen (Seine-Maritime).

Versd 22 h 50, le centre d’information et de commandement de l’hôtel de police est avisé sur le 17, le numéro de police-secours, qu’un individu se promenant torse nu et « pouvant être armé » d’un couteau « veut tout casser ». Une patrouille de la brigade canine et un équipage de police-secours interceptent le message diffusé sur les ondes et se rendent à l’adresse indiquée, rue des Longs Vallons, à Notre-Dame-de-Bondeville.

Neutralisé par le chien de la brigade canine

En arivant sur place, les forces de l’ordre sont informées par une femme âgée de 46 ans que la porte de son appartement a fait l’objet de dégradations dans la soirée, de la part d’un voisin. Alors que les policiers vont constater les dégâts, un homme surgit de la pénombre torse nu et le haut du crâne en sang.

L’air menaçant, il s’en prend aux gardiens de la paix. Ces derniers lâchent alors leur chien de défense, muselé, en direction de l’agresseur qui est percuté par l’animal et mis au sol. L’homme, en état d’ivresse, est à cet instant neutralisé et interpellé. Aucune arme n’est retrouvée sur lui. Il est formellement reconnu par la voisine comme étant celui qui a endommagé sa porte d’entrée (bris d’une vitre) et cassé sa boite aux lettres.

Placé en dégrisement et en garde à vue

Le mise en cause âgé de 24 ans et domicilié dans la rue des Longs vallons, a été placé en cellule de dégrisement avant d’être placé en garde à vue. Il a été remis en liberté à l’issue de son audition. Il s’est vu notifier une comparution en reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) à une date ultérieure.

L’enquête des policiers devra déterminer pourquoi cet homme, qui aurait eu un différend familial, s’en est pris ainsi à sa voisine.

Les cellules de dégrisement n’ont pas désempli cette nuit de lundi à mardi à l’hôtel de police de Rouen. En quelques heures, deux conducteurs et une conductrice ont été contrôlés avec des taux d’alcoolémie bien supérieurs à celui autorisé.

1,80 gramme

Vers 0h45, un équipage de la brigade anti-criminalité (Bac) remarque à l’intersection de la rue Saint-Eloi et du quai du Havre, à Rouen, un véhicule Nissan qui franchit un feu rouge. La patrouille actionne gyrophare et avertisseur sonore et se lance à la poursuite du contrevenant, qui file vers la rue Saint-Jacques. Se voyant poursuivi, l’automobiliste s’arrête un peu plus loin : il est interpellé au momment où il descend du véhicule. Il titube et a bien du mal à s’exprimer. Il souffle dans l’éthylotest qui affiche un taux de 1,80 gramme par litre de sang. Ses deux passagers sont dans le même état. 

Les trois hommes âgés de 26 ans (conducteur), 26 ans et 23 ans et domiciliés respectivement à Fresles, Bois l’Evêque et Bois d’Hennebourg, en Seine-Maritime, sont ramenés à l’hôtel de police où ils sont placés en dégrisement. Le conducteur a fait l’objet d’une rétention de permis immédiate et d’un retrait de six points.

1,48 gramme

Un peu après, vers 1h30, une patrouille de police-secours croise sur son chemin quai de Paris un véhicule Nissan Micra circulant tous feux éteints en direction de la place Saint-Paul. Les policiers font demi-tour et rattrapent la voiture suspecte qui est conduite par une femme. Cette dernière confirme d’emblée qu’elle a bu « trois verres de vin ». L’éthylotest affichera un taux de 1,48 gramme d’alcool par litre de sang. Le conductrice âgée de 44 ans et demeurant à Darnétal a fait l’objet d’une procédure pour conduite en état d’alcoolémie. Son permis lui a été retiré immédiatement. 

2,22 grammes

Cinq minutes plus tard, à 1h35, un autre équipage de police-secours est amené à intervenir rue Cuvier, à Rouen, pour un « trouble de voisinage ». En arrivant sur place, il découvre un homme au volant de sa Peugeot 406 arrêtée qui ne semble pas au mieux de sa forme. Le conducteur titube et tient des propos incohérents. Le dépistage à l’éthylotest confirme que l’automboliste, un rouennais de 46 ans, a 2,22 grammes d’alcool dans le sang. Ramené à l’hôtel de police, il a été placé en dégrisement avant de pouvoir être auditionné.

Les sapeurs-pompiers sont intervenus hier lundi vers 18h15 rue Bazin, à Versailles (Yvelines) pour un incendie qui s’est déclaré dans le parking souterrain d’une résidence de trois immeubles, appartenant à la ville de Versailles.

Deux personnes incommodées

Des locataires – une cinquantaine environ – dont certains handicapés, sont descendus d’eux-mêmes par mesure de sécurité. Ils ont été hébergés provisoirement dans un gymnase, situé dans la même rue.
Deux personnes ont été légèrement incommodées par les fumées mais leur état n’a pas nécessité leur transport à l’hôpital.

Le feu, dont l’origine est inconnue dans l’immédiat, se serait déclaré dans une alvéole réservée aux encombrants. Une porte de garage a été calcinée et des plafonds noircis dans l’incendie.

Les locataires ont pu réintégrer leurs logements vers 21 heures.

Une enquête a été ouverte par les services de police.

Un balisage de sécurité a été mis en place sur l’autoroute A15 en raison d’un affaissement de la chaussée sur la partie droite de la bretelle d’entrée N 4, à hauteur de Montigny-lès-Cormeilles (Val-d’Oise) en direction de Paris.

La circulation s’effectue sur la voie de gauche pour une durée indéterminée.

L’auteur présumé d’un vol à l’arraché, de vols à la roulotte et d’un vol de voiture a été incarcéré ce lundi 5 janvier à la maison d’arrêt de Rouen. Déféré dans la matinée au palais de justice, il devait être jugé en comparution immédiate. Mais comme le permet les dispositions de la loi, il a demandé un délai afin de pouvoir préparer sa défense.

Le tribunal correctionnel a donc décidé de renvoyer son procès au 27 janvier prochain. En attendant, le prévenu a fait l’objet dun placement en détention provisoire.

Vol d’un sac à main à Bosc-Roger-en-Roumois

Samedi 3 janvier, vers 12 heures, un équipage de la brigade anti-criminalité repère une Renault 19 stationnée rue du Morvan, à Saint-Etienne-du-Rouvray. Ce véhicule, de couleur verte, est activement recherché depuis quelques heures. En particulier, après un vol à l’arraché d’un main à main commis la veille vers 17 heures, sur le parking du magasin Simply Market à Bosc-Roger-en-Roumois (Eure).

Des témoins ont vu l’agresseur de la femme s’engouffrer dans une Renault 19 verte. Les policiers mettent alors en place une discrète surveillance autour du véhicule suspect rue du Morvan. Leur patience est vite récompensée : à 14 h 40, un individu se dirige vers la Renault puis s’installe au volant et démarre.

Il prend la fuite en marche arrière…

Il ne va pas très loin : les policiers barrent la sortie de la résidence pavillonnaire. Le suspect ne se démonte pas, il enclenche la marche arrière, monte sur le trottoir et se retrouve rue Ambroise Broizat. Au passage, alors qu’il recule, la Renault percute une Clio qui passe à ce moment là : les deux femmes âgées de 67 et 79 ans qui sont à l’intérieur sont très choquée. Il heurte également une Peugeot 205 garée un peu plus loin.

Alors qu’il s’apprête à s’enfuir, il est intercepté et interpellé par les policiers. Dans la voiture, qui porte les stigmates d’un véhicule volé (porte forcée, démarreur arraché et fils reliés entre eux), le sac à main volé dans l’Eure est retrouvé. L’homme est immédiatement placé en garde à vue.

La Renault 19 volée à Oissel

Les investigations policières permettent d’établir que la Renault 19 a été volée le 31 décembre à Oissel. Elle a été signalée à plusieurs endroits, en particulier sur le parking de l’enseigne Métro, un grossiste en produits pour les commerçants, où plusieurs vols ont été constatés dans des véhicules.

Le mis en cause n’a pas nié les faits lors de son interrogatoire par les enquêteurs du quart judiciaire.
 

Une enquête a été ouverte après l’accident mortel qui s’est produit hier dimanche vers 23 heures sur la D 20, à Doudeville, dans le Pays de Caux. La victime est un homme âgé de 30 ans qui a été fauché par un monospace 807, alors qu’il marchait sur le bas-côté de la route.

Le piéton, qui marchait à contresens de la circulation, comme le recommande le code de la route, se trouvait dans une zone éclairée à hauteur du hameau Vautuit lorsqu’il a été percuté dans des circonstances qui restent à établir. Le choc a été violent. L’homme, projeté sur la chaussée, a été très grièvement blessé.

Pronostic vital engagé

A leur arrivée, les secours lui ont prodigué les soins d’urgence et le médecin du SAMU l’a placé dans un coma artificiel, avant d’être évacué par l’ambulance des sapeurs-pompiers vers le CHU de Rouen. Son pronostic vital était engagé. La victime n’a pas survécu à ses blessures, elle est décédée à l’hôpital.

Le conducteur du monospace, qui était accompagné de son épouse et de ses deux enfants, regagnait son domicilie à Yvetot. Il a été auditionné ce matin par les gendarmes qui tentent de déterminer dans quelles circonstances le drame s’est produit.

La victime, originaire de Routes, un village situé à 2,5 km environ du lieu de l’accident, allait rendre visite à un ami qui demeure un peu plus loin.

L’enquête a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades de Yerville et à ceux de Doudeville.

Un automobiliste a terminé la nuit de dimanche à lundi en cellule de dégrisement à l’hôtel de police de Rouen.

Vers 23 heures, il a été interpellé par un équipage de police-secours qui avait suivi sa 307 Peugeot à la trace. Les policiers qui effectuaient une surveillance boulevard des Belges remarquaient des débris de voiture sur la chaussée à hauteur de la rue de Crosne.

Poursuivant leur patrouille,  ils remarquaient aussi des traces d’accident sur un ilot central puis découvraient un peu plus loin un pneu à moitié déchiqueté u milieu de la chaussée. Arrivés rue Saint-Gervais, l’attention des gardiens de la paix était enfin attirée par une voiture arrêtée au milieu de la route feux de détresse allumés. A côté, accoudé au toit, un homme, vêtu d’un gilet jaune, semblait s’agiter. 

Propos incohérents

Aux policiers, ce dernier, âgé de 51 ans et demeurant à Déville-lès-Rouen, déclare être le conducteur de la 307 dont la porte avant gauche est enfoncée. Il explique avoir crevé mais se dit incapable d’expliquer ce qui s’est passé. L’homme tibube et tient des propos incohérents : soumis à un dépistage d’alcoolémie, l’éthylotest révèle un taux de 3,18 grammes par litre de sang. 

Le quinquagénaire a été placé en dégrisement avant de pouvoir être auditionné dans la matinée de ce lundi. Il a fait l’objet d’une procédure pour défaut de maîtrise et conduite sous l’empire d’un état alcoolique. Il s’est vu d’ores et déjà notifier une rétention administrative de son permis et le retrait de six points. 

Une maison d’habitation a été entièrement détruite par un incendie dont l’origine semble accidentel dans la nuit de dimanche à aujourd’hui lundi, à Beaumontel, près de Beaumont-le-Roger (Eure).

Les sapeurs-pompiers ont été alertés peu avant 4 heures, ce matin par les propriétaires de la demeure en feu. Lorsqu’ils sont arrivés sur place,  12, rue du Parc Parissot, la maison était déjà embrasée. Les occupants n’ont pas été blessé. Ils seront relogés par leurs enfants.

Selon les premières constatations, l’incendie se serait déclaré au niveau d’une cuve à fioul entreprosée dans une dépendance de la maison. Les flammes se seraient ensuite propagées à la demeure.

Sous l’effet de la chaleur, des câbles EDF ont été sectionnés, privant d’électricité quelques maisons de la zone résidentielle du Parc Parissot.

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Brionne.

Les vacances de Noël sont prolongées d’une petite journée pour les élèves du lycée polyvalent Michel Anguier de Eu, en Seine-Maritime.
En raison d’une panne générale de chauffage, les cours de ce lundi 5 janvier ne seront pas assurés et l’internat de l’établissement n’accueillera pas les élèves ce jour-là.

Les cours reprendront le mardi 6 janvier, indique le lycée sur son site internet sans autre explication.

Le lycée Anguier accueille un millier d’élèves et étudiants de la 3e de découverte au BTS. 

Le pilote d’une moto a trouvé la mort dans un accident de la circulation sur la D110 ce dimanche 4 janvier vers 18 heures à Val-de-Reuil (Eure). Le deux-roues venait de procéder au dépassement d’un tracteur agricole lorsqu’il a percuté de plein fouet une voiture qui arrivait en sens inverse. Le face à face, qui a impliqué quatre personnes, a été d’une extrême violence et a coûté la vie au motard, un jeune homme d’une vingtaine d’années. 

La route a été coupée dans les deux sens le temps de l’intervention des sapeurs-pompiers de Louviers qui ont mobilisé trois engins de secours sur les lieux.

Une enquête a été ouverte afin de déterminer précisément les circonstances de l’accident.

C’est le premier accident mortel enregistré dans l’Eure depuis le 1er janvier.

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Cinq occupants de deux véhicules qui sont entrés en collision dans la nuit de samedi à dimanche, vers 1 heure du matin, à Conches-en-Ouche (Eure) ont été blessés et pris en charge par les sapeurs-pompiers pour être transportés à l’hôpital  d’Evreux. Parmi les victimes, deux sont plus grièvement atteintes. L’une d’elles, prisonnier dans l’habitacle, a dû être désincarcérée.

L’accident s’est produit dans le centre de Conches, dans des circonstances que la gendarmerie locale, chargée de l’enquête, devra établir. 

Grosse frayeur ce dimanche matin pour les passagers d’un autobus qui a failli tomber dans la Seine, à hauteur du pont Jeanne-d’Arc, à Rouen.

Il était un peu plus de 7h30, quai bas de la Bourse, sur la rive droite. Un bus de la société Aerial s’était positionné au plus près du bateau de croisière, le Viking River Cruises, amarré à cet endroit, pour embarquer une vingtaine de touristes de nationalité russe qui devaient regagner par la route l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle.

En équilibre en bordure du quai

Le chauffeur avait reculé au maximum mais il ne s’était pas rendu compte semble-t-il de la présence d’un petit escalier permettant d’accéder à la Seine. Alors que les croisiéristes étaient montés à bord avec leurs bagages et que le bus s’apprêtait à repartir, dans une fausse manoeuvre la roue arrière droite du véhicule s’est retrouvée dans le vide et la roue avant gauche s’est brutalement relevée. Le bus s’est ainsi retrouvé en équilibre prêt à basculer dans le fleuve.

L’intervention des sapeurs-pompiers a permis de sécuriser le véhicule et d’évacuer les passagers qui en ont pour une grosse frayeur matinale.

Tout s’est bien terminé. Les touristes russes ont été pris en charge par un bus d’une autre société. Quant au bus, il a été sorti de sa fâcheuse posture par une entreprise de dépannage spécialisée.
 

Un appel à témoins a été lancé hier saledi par les services de police après le décès accidentel d’une femme de 92 ans, percutée par une voiture alors qu’elle traversait la rue sur un passage protégé. 

Le drame s’est produit vendredi vers 16 heures, à l’intersection des rues Rouget de l’Isle et Joseph Madec, dans le quartier Sainte-Cécile au Havre. Dans des circonstances qui restent à établir, une Renault Clio conduite par une jeune femme de 19 ans a fauché la piétonne qui était engagée sur la chaussée.

Pronostic vital engagé

Le choc a été violent. La victime a été prise en charge par les secours qui lui ont prodigué sur place les premiers soins avant de la transporter au centre hospitalier Jacques Monod, à Montivilliers. Admise au service des urgences, avec un pronostic vital était engagé, la nonagénaire a succombé à ses blessures. 

La conductrice de la Clio, jeune permis, a été auditionnée par les enquêteurs de la brigade des accidents et des délits routiers (BADR). Ella a déclaré n’avoir pas vu la veille dame.

Toute personne ayant été témoin de l’accident est invitée à prendre contact avec les services de police au 02 32 74 39 15.

Un incendie a fortement endommagé une habitation située au 348, rue Gravetel à Saint-Pierre-lès-Elbeuf (Seine-Maritime). Les sapeurs-pompiers ont été appelés un peu avant 19h20, ce samedi 3 janvier. A leur arrivée, le feu s’était déjà propagé à l’ensemble de la demeure.

L’occupante des lieux, une personne âgée, n’a pas été blessée. Elle sera relogée provisoirement par des proches. Une voisine choquée par l’incendie a, quant à elle, été prise en charge par les secours.

Selon les premières constatations, le feu dont l’origine est ignorée se serait déclaré dans la véranda de la maison. 

Les trois marins pêcheurs qui se trouvaient à bord du Saint Antoine de Padoue, ce samedi 3 janvier, ont été récupérés sains et saufs au large de Port en Bessin (Calvados), annonce la préfecture maritime de Cherbourg sur son compte Twitter.

Le chalutier se trouvait à environ 13 milles (24 km environ) au large de la côte normande lorsqu’il a fait naufrage vers 18h15, dans des circonstances qui restent à déterminer. Les marins ont pu se réfugier sur un radeau de sauvetage avant d’être hélitreuillés à bord d’un hélicoptère dans le cadre du plan de secours déployé par les autorités maritimes.

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Depuis 12h20, ce samedi, un accident de la circulation est signalé sur la N4 en direction de Paris. Il met en cause un poids-lourd sur la commune de Vaudoy-en-Brie (Seine et Marne).

A 13h30, la route a été coupée vers Paris avec mise en place d’une déviation pour une durée indéterminée par la D231 (PK 41,5) pour rejoindre la N4 à Fontenay-Trésigny via Pézarches et Lumigny.

Mélanie, 16 ans, qui avait disparu du domicile familial à Emanville, près de Pavilly, mardi 30 décembre, a été retrouvée en bonne santé hier soir vendredi, vers 22 heures. L’adolescente était chez un ami à Bolbec. Elle a été récupérée par les gendarmes de Pavilly, qui l’ont d’abord auditionnée avant de la remettre à ses parents. C’est un témoin, sensibilisé par l’appel à témoin, qui a prévenu la gendarmerie dans la soirée de l’endroit où se trouvait la jeune fugueuse. 

La gendarmerie de Seine-Maritime avait lancé ce vendredi en fin d’après-midi un appel à témoin sur sa page Facebook  à la suite de la disparition de Mélanie, âgée de 16 ans. L’adolescente avait disparu mardi 30 décembre à 14 heures du domicile familial à Emanville, une commune du canton de Pavilly. Elle était partie sans son téléphone portable.

Ce sont les parents de la lycéenne (elle est scolarisée au Tréport) qui ont alerté la gendarmerie. Des recherches ont été immédiatement entreprises par les gendarmes avec le malinois, un chien pisteur, de la compagnie de Dieppe. Ce vendredi après-midi, elles ont repris cette fois avec un chien Saint-Hubert, de la gendarmerie du Calvados.

Les deux chiens avaient perdu la trace de Mélanie à un carrefour, dans Emanville. La jeune fille etait-elle montée dans un véhicule à cet endroit ? Pour aller où ? C’est la question que se posaient les enquêteurs.

Un témoin avait indiqué l’avoir aperçue dans le centre ville de Yerville, mercredi 31 décembre dans le courant de l’après-midi. Les recherches devaient donc se concentrer dans ce secteur. 
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LIRE AUSSI : Disparition de Mélanie, 16 ans : la gendarmerie de Seine-Maritime lance un appel à témoin

Un homme de 19 ans a été placé en garde à vue hier vendredi en début d’après midi pour violation de domicile et détention de stupéfiants.

Il a été arrêté par les policiers après avoir été mis en fuite par les occupantes de deux habitations où il s’était introduit, rue des Landes à Chatou (Yvelines).

Lors de son interpellation, le suspect, originaire de Chatou, a été trouvé en possession de deux téléphones portables et de deux appareils photo numériques d’origine douteuse. Il avait également sur lui un gramme de résine de cannabis.

Une enquête a été ouverte afin de déterminer, notamment, la provenance de ces objets.

L’auteur d’un vol de téléphone portable commis hier vendredi vers 11 heures dans la gare de Versailles-Porchefontaine est activement recherché. L’individu est parvenu a prendre la fuite vers les voies ferrées après avoir arraché le smartphone des mains de sa victime qui n’a pas été blessée.

Par précaution, les trains ont été ralentis dans le secteur (il s’agit de la ligne C qui dessert Juvisy), provoquant des retards estimés à 20 minutes.

Les policiers ont retrouvé le téléphone portable de l’agresseur qu’il a perdu dans sa fuite.
Une enquête a été ouverte.

La route départementale 27A à Touques, près de Deauville (Calvados) a été coupée dans les deux sens ce samedi matin en raison d’un accident mortel impliquant deux véhicules.

Les secours sont toujours sur place. Il est conseillé d’éviter ce secteur jusqu’à nouvel ordre.

La gendarmerie de Seine-Maritime vient de lancer un appel à témoin sur sa page Facebook à la suite de la disparition de Mélanie Gaillon, âgée de 16 ans. L’adolescente a disparu mardi 30 décembre à 14 heures du domicile familial à Emanville, une commune du canton de Pavilly. Son téléphone portable a été retrouvé au domicile de ses parents.

Ce sont les parents de la lycéenne (elle est scolarisée au Tréport) qui ont alerté la gendarmerie. Des recherches ont été immédiatement entreprises par les gendarmes avec le malinois, un chien pisteur, de la compagnie de Dieppe. Ce vendredi après-midi, elles ont repris cette fois avec un chien Saint-Hubert, de la gendarmerie du Calvados.

Selon nos informations, les deux chiens perdent la trace de Mélanie à un carrefour, dans Emanville. La jeune fille est-elle montée dans un véhicule à cet endroit ? Pour aller où ?

Un témoin affirme l’avoir aperçue dans le centre ville de Yerville, mercredi 31 décembre dans le courant de l’après-midi. Les recherches vont donc se concentrer dans ce secteur. 

Son signalement : elle mesure 1m75, elle est vêtue d’un pantalon en jean bleu, d’une veste en jean noire, d’un tee-shirt blanc avec un cache-cœur marron et 2 écharpes, une grise et l’autre fuchsia en grosse laine. 

Toute personne qui viendrait à rencontrer ou à apercevoir la jeune fille est invitée à appeler la gendarmerie de Pavilly au 02-35-91-20-19.

Un homme de 32 ans a été interpellé par une jeune femme âgée de 25 ans alors qu’il venait de se masturber et d’éjaculer sur son manteau. Les faits se sont déroulés ce jeudi 1er janvier vers 12h45 à la gare SNCF de Plaisir (Yvelines). La victime, une parisienne de 25 ans, a retenu de force l’exhibitionniste jusqu’à l’arrivée des policiers. L’homme originaire de Saint-Cyr-l’Ecole, a été ramené au commissariat pour être placé en garde à vue.

Le préfet de Seine-Maritime avait prévenu que les forces de l’ordre seraient sur le terrain la nuit de la Saint-Sylvestre.  Ce n’est pas une surprise si un partout dans le département les automobilistes et autres usagers de la route ont rencontré sur leur chemin des contrôles de police ou de gendarmerie.

A l’exemple de la compagnie de gendarmerie d’Yvetot qui a déployé vingt-quatre militaires et le peloton motorisé d’Ecalles-Alix sur un large secteur du Pays de Caux, autour d’Yvetot (Ecalles-Alix, Grémonville et Motteville). Entre 3 h et 7 h, 700 véhicules ont ainsi été interceptés afin de soumettre les conducteurs à des dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants.

Neuf d’entre eux ont fait l’objet d’une procédure pour conduite sous l’empire d’un état alcoolique. Cinq ont dû laisser leur permis de conduire aux gendarmes qui a leur ont notifié une rétention administrative immédiate et le retrait de six points. Quatre autres, dont le taux d’alcoolémie était inférieur à 0,80 g par litre de sang, devront s’acquitter d’une contrevention par timbre amende.

Lors des contrôles, dont le plus important a été mis en place au rond-point d’Ecalles-Alix (à proximité de la discothèque l’Exaclibur), un adolescent de 16 ans a été trouvé en possession de quelques grammes de résine de cannabis et un conducteur a été verbalisé pour conduite d’un véhicule avec un permis non prorogé. 

Le chien anti-drogue de la gendarmerie a également été mobilisé lors de cette opération.