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ROUEN. Avec une deuxième édition réussie, le mini-festival Bulle de Panorama semble avoir trouvé son public.
En lien direct avec les artistes.

La première édition de Bulle de Panorama l’an dernier s’était révélée être un succès, une bonne raison pour renouveler l’opération une deuxième fois. Et les fans de bandes dessinées ne s’y sont pas trompés, se pressant en nombre dès l’ouverture de ce mini-festival. « C’est un rendez-vous que je ne voulais pas manquer » confie Romain, livres en main en vue de les faire dédicacer. « C’est une occasion rare de pouvoir rencontrer, voire discuter avec ces talents rouennais dont on parle de plus en plus souvent. Mon préféré ? Djony avec son album « Les Normands ont de la gueule ». Ce gars-là est plein d’humour, autodidacte et un coup d’œil et de crayon hors du commun ». Dans le hall des dédicaces, de petites files d’attente se forment pour obtenir le précieux paraphe mais les artistes ne se pressent pas pour autant, prenant soin de récompenser, délicatement et souvent par des dessins uniques, leurs fans enthousiastes. Mais avant d’arriver à leur niveau, certains visiteurs ont voulu en savoir plus sur ce « don » de la reprographie. « A la maison, les seuls livres que l’on ouvre sont des bandes dessinées » reconnait Thierry qui a amené ses deux fils, Jordan et Kévin. « En voyant qu’il  avait des cours de dessin on a décidé de s’inscrire ». Ils n’ont pas été les seuls à avoir cette idée. En effet, la première des quatre master-class programmées dans l’après-midi accueillait une vingtaine de personnes, des enfants mais également des adultes. Sous la direction de l’artiste Steve Bakerde, le secret a été levé sur la confection d’un scénario ou d’un story-board  ainsi que sur les techniques utilisées pour la mise en page ou la fluidité d’une bande dessinée. « C’est vrai que lorsqu’on lit une BD, tout semble couler de source alors qu’en amont il y a tout un travail préparatoire. Un peu comme au cinéma finalement » constate Thierry. De retour dans le hall, certains n’hésiteront pas à essayer leurs nouvelles connaissances sur « le cube », une installation imaginée par Gaétan Perreau, l’organisateur, où artistes et publics pouvaient se laisser aller à des esquisses, croquis et dessins tous plus farfelus les uns que les autres. « C’est un concept qui devrait être adopté par les divers salons BD de l’agglo » estime Thierry, « Le festival BD de Darnétal, le salon du livre jeunesse »… Rouen est déjà bien présent dans ce monde du dessin avec une vingtaine de librairies mais plus il y a de prétextes pour aborder cet art, mieux cela sera ».

En lien direct avec les artistes.

La première édition de Bulle de Panorama l’an dernier s’était révélée être un succès, une bonne raison pour renouveler l’opération une deuxième fois. Et les fans de bandes dessinées ne s’y sont pas trompés, se pressant en nombre dès l’ouverture de ce mini-festival. « C’est un rendez-vous que je ne voulais pas manquer » confie Romain, livres en main en vue de les faire dédicacer. « C’est une occasion rare de pouvoir rencontrer, voire discuter avec ces talents rouennais dont on parle de plus en plus souvent. Mon préféré ? Djony avec son album « Les Normands ont de la gueule ». Ce gars-là est plein d’humour, autodidacte et un coup d’œil et de crayon hors du commun ». Dans le hall des dédicaces, de petites files d’attente se forment pour obtenir le précieux paraphe mais les artistes ne se pressent pas pour autant, prenant soin de récompenser, délicatement et souvent par des dessins uniques, leurs fans enthousiastes. Mais avant d’arriver à leur niveau, certains visiteurs ont voulu en savoir plus sur ce « don » de la reprographie. « A la maison, les seuls livres que l’on ouvre sont des bandes dessinées » reconnait Thierry qui a amené ses deux fils, Jordan et Kévin. « En voyant qu’il  avait des cours de dessin on a décidé de s’inscrire ». Ils n’ont pas été les seuls à avoir cette idée. En effet, la première des quatre master-class programmées dans l’après-midi accueillait une vingtaine de personnes, des enfants mais également des adultes. Sous la direction de l’artiste Steve Bakerde, le secret a été levé sur la confection d’un scénario ou d’un story-board  ainsi que sur les techniques utilisées pour la mise en page ou la fluidité d’une bande dessinée. « C’est vrai que lorsqu’on lit une BD, tout semble couler de source alors qu’en amont il y a tout un travail préparatoire. Un peu comme au cinéma finalement » constate Thierry. De retour dans le hall, certains n’hésiteront pas à essayer leurs nouvelles connaissances sur « le cube », une installation imaginée par Gaétan Perreau, l’organisateur, où artistes et publics pouvaient se laisser aller à des esquisses, croquis et dessins tous plus farfelus les uns que les autres. « C’est un concept qui devrait être adopté par les divers salons BD de l’agglo » estime Thierry, « Le festival BD de Darnétal, le salon du livre jeunesse »… Rouen est déjà bien présent dans ce monde du dessin avec une vingtaine de librairies mais plus il y a de prétextes pour aborder cet art, mieux cela sera ».