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LE PETIT-QUEVILLY. Maurice et Germaine ont fait la démonstration que ceux qui ne sont pas centenaires, c’est qu’ils sont morts avant.
Deux siècles et alors ?

Des yeux embués, des sourires pour dissimuler l’émotion, des embrassades et des félicitations. Le repas convivial organisé par Jean-Pierre Desombres, le président du club de loisirs Flaubert s’est transformé samedi-après-midi en jardin de la confraternité, du souvenir et du sentiment de se sentir vivant. Vivant comme Maurice Lecouturier, centenaire, lui qui, en 2010 se demandait « si le Bon Dieu ne l’avait pas oublié »! Tant mieux car le bonhomme n’en a pas fini avec cette vie qu’il a su dérouler avec le courage de ceux qui ont connu l’enfer des camps de prisonniers, d’un métier physique, sans jamais rechigner, se plaindre ou accuser. « C’est la vie et c’est comme ça! La vie tu l’aimes ou tu la quittes… ». Peu disert sur son passé car, comme il le précise « c’est du passé » et qu’il préfère s’occuper du temps présent, on sait seulement, par sa fille Danielle, qu’il veille sur sa compagne Micheline et que, quand il le peut, se rend au club Flaubert, « histoire de voir les copains et les copines… ». Quelle joie également de le voir accueillir, en gentleman, son aînée, d’un an, Germaine Traub, adhérente du même club et au caractère bien trempé, comme lui. Pétulante centenaire et pleine d’humour, la doyenne de 5 générations de petits-enfants déjeune tous les jours au restaurant Pasteur où elle a ses habitudes et ses amis. Parties de dominos, chorale, petit goûter, Germaine  profite de la vie qu’elle considère « plus douce qu’avant ». La journée fut joyeuse, le repas copieux et le gâteau … géant ! En effet, le président, Jean-Pierre, fêtait également son anniversaire. Soixante-et-onze ans seulement …

Deux siècles et alors ?
Des yeux embués, des sourires pour dissimuler l’émotion, des embrassades et des félicitations. Le repas convivial organisé par Jean-Pierre Desombres, le président du club de loisirs Flaubert s’est transformé samedi-après-midi en jardin de la confraternité, du souvenir et du sentiment de se sentir vivant. Vivant comme Maurice Lecouturier, centenaire, lui qui, en 2010 se demandait « si le Bon Dieu ne l’avait pas oublié »! Tant mieux car le bonhomme n’en a pas fini avec cette vie qu’il a su dérouler avec le courage de ceux qui ont connu l’enfer des camps de prisonniers, d’un métier physique, sans jamais rechigner, se plaindre ou accuser. « C’est la vie et c’est comme ça! La vie tu l’aimes ou tu la quittes… ». Peu disert sur son passé car, comme il le précise « c’est du passé » et qu’il préfère s’occuper du temps présent, on sait seulement, par sa fille Danielle, qu’il veille sur sa compagne Micheline et que, quand il le peut, se rend au club Flaubert, « histoire de voir les copains et les copines… ». Quelle joie également de le voir accueillir, en gentleman, son aînée, d’un an, Germaine Traub, adhérente du même club et au caractère bien trempé, comme lui. Pétulante centenaire et pleine d’humour, la doyenne de 5 générations de petits-enfants déjeune tous les jours au restaurant Pasteur où elle a ses habitudes et ses amis. Parties de dominos, chorale, petit goûter, Germaine  profite de la vie qu’elle considère « plus douce qu’avant ». La journée fut joyeuse, le repas copieux et le gâteau … géant ! En effet, le président, Jean-Pierre, fêtait également son anniversaire. Soixante-et-onze ans seulement …