Aller au contenu

La consommation des ménages français en baisse en 2014
La consommation des ménages français en baisse en 2014

La consommation, en biens, des ménages français a baissé en 2014 de 0,2 %, après avoir déjà reculé de 0,3 % en 2013, a annoncé l’Insee le 28 janvier.

Cette baisse est intervenue « malgré le redressement de la consommation en produits manufacturés (+0,7 % en 2014 après -0,6 %) » en 2013, a précisé l’Institut national de la statistique et des études économiques.

Il y a néanmoins eu un sursaut de consommation en décembre de 1,5 % en volume, corrigé des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables, après + 0,2 % en novembre (chiffre révisé), conséquence d’un net rebond de la consommation d’énergie (+ 6,9 %). Mais sur l’ensemble du quatrième trimestre, les dépenses de consommation en biens sont restées quasi stables (+ 0,1 %), selon l’Insee.

Dans le détail, selon l’Insee, « les dépenses en biens durables diminuent en décembre (-0,5%) après une quasi-stabilité en novembre (+0,1%)« , explique l’Insee, relevant un repli dans l’acquisition en équipement du logement (-0,9%) et un recul des achats automobiles (-0,3% après -1,5% en novembre).

La consommation en produits alimentaires a augmenté de 0,7 % en décembre, après deux mois de quasi-stabilité, soit une hausse de 0,7% sur l’ensemble du quatrième trimestre.

Après trois mois consécutifs de baisse enfin, la consommation en énergie rebondit vivement en décembre (+6,9%), notamment du fait des dépenses en fuel et en carburant. « Elle diminue en revanche sur l’ensemble du quatrième trimestre (-2,3% après +1,2% au troisième trimestre)« , précise l’Insee, en raison de « températures plus élevées que les normales saisonnières » en octobre.

En quelque sorte c’est toujours l’atonie du coté de l’économie, ce qui n’est pas bon signe pour l’emploi. Mais comment en serait-il autrement, lorsque les salaires stagnent, et que le chômage continue de croître.

La consommation des ménages français en baisse en 2014

La consommation, en biens, des ménages français a baissé en 2014 de 0,2 %, après avoir déjà reculé de 0,3 % en 2013, a annoncé l'Insee le 28 janvier.

Cette baisse est intervenue « malgré le redressement de la consommation en produits manufacturés (+0,7 % en 2014 après -0,6 %) » en 2013, a précisé l'Institut national de la statistique et des études économiques.

Il y a néanmoins eu un sursaut de consommation en décembre de 1,5 % en volume, corrigé des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables, après + 0,2 % en novembre (chiffre révisé), conséquence d'un net rebond de la consommation d'énergie (+ 6,9 %). Mais sur l'ensemble du quatrième trimestre, les dépenses de consommation en biens sont restées quasi stables (+ 0,1 %), selon l'Insee.

Dans le détail, selon l'Insee, "les dépenses en biens durables diminuent en décembre (-0,5%) après une quasi-stabilité en novembre (+0,1%)", explique l'Insee, relevant un repli dans l'acquisition en équipement du logement (-0,9%) et un recul des achats automobiles (-0,3% après -1,5% en novembre).

La consommation en produits alimentaires a augmenté de 0,7 % en décembre, après deux mois de quasi-stabilité, soit une hausse de 0,7% sur l'ensemble du quatrième trimestre.

Après trois mois consécutifs de baisse enfin, la consommation en énergie rebondit vivement en décembre (+6,9%), notamment du fait des dépenses en fuel et en carburant. "Elle diminue en revanche sur l'ensemble du quatrième trimestre (-2,3% après +1,2% au troisième trimestre)", précise l'Insee, en raison de "températures plus élevées que les normales saisonnières" en octobre.

En quelque sorte c'est toujours l'atonie du coté de l'économie, ce qui n'est pas bon signe pour l'emploi. Mais comment en serait-il autrement, lorsque les salaires stagnent, et que le chômage continue de croître.