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Dominique Gambier : l’Austérité c’est bon !

Dans son journal politique Dominique Gambier, fait une analyse sur la situation en Grèce qui porte la patte de ce que pense les libéraux du PS .

Il aurait pu titrer son billet : Évitons la contagion ! Tant il craint que les concessions de Bruxelles à un gouvernement élu par le peuple soient un appel d’air pour les autres peuples d’Europe .

Cette phrase est significative : « Reste que la victoire de Syriza pèse sur le devenir de l’Europe tout entière. »

Il est clair qu’en utilisant ce verbe, Monsieur Gambier montre qu’il aurait préféré la victoire de la droite, que Pierre Moscovici était allé soutenir avant le 25 janvier (d’accord en tant de commissaire Européen!) . D’ailleurs il estime que la droite avait bien travaillé puisque : « la Grèce a progressé», la croissance repart, le déficit public représente 0,2% du PIB alors qu’il s’élevait à 15% il y a 5 ans . Une appréciation vu de France, à la longue vue, et que les Grecs ont eux-même jugé .

Mais ne tirant aucune leçon de l’expression du peuple Grec, Monsieur Gambier, veut les tenir en laisse : « Des concessions qui ne seraient pas encadrées par un accord de stabilisation signé avec l’UE mettraient en péril le programme d’assouplissement monétaire annoncé le 20 janvier par la BCE et créeraient des précédents, incitant d’autres pays membres à reporter leurs propres réformes. »

Oubliant au passage, que cette opération, annoncée quelques jours avant le scrutin, comme pour peser sur le résultat de celui-ci, n’était rien d’autre qu’une re-nationalisation des dettes, d’un montant du 1 140 Milliards d’euro garantie à 20 % seulement par la BCE .

On comprend bien dans ces écrits que Monsieur Gambier n’aime pas Alexis Tsipras, il lui prête un anti germanisme qui fait penser à l’inversion des rôles, comme si Madame Merkel depuis des mois, des années s’était comportée comme un ange vis à vis de la Grèce …..

Il profite de son billet pour distiller son venin de manière châtiée, pour faire moderne j’aurais pût écrire « light » ou « soft » faisant un parallèle inacceptable en ce qu’il nomme « l’extrême gauche radicale » et le fhaine, accusant Cécile Duflot, Jean-Luc Mélenchon et Pierre Laurent d’être les diviseurs de la gauche . Faisant semblant d’oublier que le pourvoyeur des soutiens à l’extrême droite et le principal facteur de division de la gauche, c’est la politique de droite que mène le PS .

L’auteur a cette phrase merveilleuse :

« Le « peuple » s’est exprimé et appelle de ses vœux un changement ; il incombe aux élus d’en tenir compte. »

Eh Oui ! Il me semble qu’il estle problème .

Il ne s’agit pas de créer de nouvelles illusions, mais de respecter les engagements pris devant le Peuple .

Patrick Fourrier

 

Dans son journal politique Dominique Gambier, fait une analyse sur la situation en Grèce qui porte la patte de ce que pense les libéraux du PS .

Il aurait pu titrer son billet : Évitons la contagion ! Tant il craint que les concessions de Bruxelles à un gouvernement élu par le peuple soient un appel d'air pour les autres peuples d'Europe .

Cette phrase est significative : « Reste que la victoire de Syriza pèse sur le devenir de l’Europe tout entière. »

Il est clair qu'en utilisant ce verbe, Monsieur Gambier montre qu'il aurait préféré la victoire de la droite, que Pierre Moscovici était allé soutenir avant le 25 janvier (d'accord en tant de commissaire Européen!) . D’ailleurs il estime que la droite avait bien travaillé puisque : « la Grèce a progressé», la croissance repart, le déficit public représente 0,2% du PIB alors qu’il s’élevait à 15% il y a 5 ans . Une appréciation vu de France, à la longue vue, et que les Grecs ont eux-même jugé .

Mais ne tirant aucune leçon de l'expression du peuple Grec, Monsieur Gambier, veut les tenir en laisse : « Des concessions qui ne seraient pas encadrées par un accord de stabilisation signé avec l’UE mettraient en péril le programme d’assouplissement monétaire annoncé le 20 janvier par la BCE et créeraient des précédents, incitant d’autres pays membres à reporter leurs propres réformes. »

Oubliant au passage, que cette opération, annoncée quelques jours avant le scrutin, comme pour peser sur le résultat de celui-ci, n'était rien d'autre qu'une re-nationalisation des dettes, d'un montant du 1 140 Milliards d'euro garantie à 20 % seulement par la BCE .

On comprend bien dans ces écrits que Monsieur Gambier n'aime pas Alexis Tsipras, il lui prête un anti germanisme qui fait penser à l'inversion des rôles, comme si Madame Merkel depuis des mois, des années s'était comportée comme un ange vis à vis de la Grèce …..

Il profite de son billet pour distiller son venin de manière châtiée, pour faire moderne j'aurais pût écrire « light » ou « soft » faisant un parallèle inacceptable en ce qu'il nomme « l'extrême gauche radicale » et le fhaine, accusant Cécile Duflot, Jean-Luc Mélenchon et Pierre Laurent d'être les diviseurs de la gauche . Faisant semblant d'oublier que le pourvoyeur des soutiens à l'extrême droite et le principal facteur de division de la gauche, c'est la politique de droite que mène le PS .

L'auteur a cette phrase merveilleuse :

« Le « peuple » s’est exprimé et appelle de ses vœux un changement ; il incombe aux élus d’en tenir compte. »

Eh Oui ! Il me semble qu'il estle problème .

Il ne s'agit pas de créer de nouvelles illusions, mais de respecter les engagements pris devant le Peuple .

Patrick Fourrier