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Voeux présidentiels

Dans ses vœux pour 2015, le chef de l’Etat, François Hollande, s’est fait hier soir le chantre de la réforme, de l' »audace » et de la « confiance » face aux conservatismes et aux populismes, se gardant toutefois de toute promesse ou annonce majeure après une année 2014 qualifiée de « rude ». « Nous avons toutes les raisons d’avoir confiance en nous mais à une condition : avancer, faire preuve d’audace, refuser le statu quo, écarter la régression », a-t-il lancé. « J’ai tenu bon et suivi fermement le cap que je m’étais fixé », a-t-il martelé, prônant la « persévérance », la « constance » et le « travail dans la durée », une manière aussi de rester dans la course pour la présidentielle de 2017.

Reparti à la conquête de l’opinion, François Hollande, dont la cote a connu un léger rebond en décembre, a tenté ainsi de refermer sur une note d’espoir une année 2014 qui, de son propre aveu, a été « rude et jalonnée d’épreuves de toutes sortes ». A l’orée d’une année qui verra les Français voter aux élections départementales en mars et régionales en décembre, le chef de l’Etat socialiste a dit son intention de mener « jusqu’au bout » le combat « contre les conservatismes et les populismes ».

Dans ses vœux pour 2015, le chef de l'Etat, François Hollande, s'est fait hier soir le chantre de la réforme, de l'"audace" et de la "confiance" face aux conservatismes et aux populismes, se gardant toutefois de toute promesse ou annonce majeure après une année 2014 qualifiée de "rude". "Nous avons toutes les raisons d'avoir confiance en nous mais à une condition : avancer, faire preuve d'audace, refuser le statu quo, écarter la régression", a-t-il lancé. "J'ai tenu bon et suivi fermement le cap que je m'étais fixé", a-t-il martelé, prônant la "persévérance", la "constance" et le "travail dans la durée", une manière aussi de rester dans la course pour la présidentielle de 2017.

Reparti à la conquête de l'opinion, François Hollande, dont la cote a connu un léger rebond en décembre, a tenté ainsi de refermer sur une note d'espoir une année 2014 qui, de son propre aveu, a été "rude et jalonnée d'épreuves de toutes sortes". A l'orée d'une année qui verra les Français voter aux élections départementales en mars et régionales en décembre, le chef de l'Etat socialiste a dit son intention de mener "jusqu'au bout" le combat "contre les conservatismes et les populismes".