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Rouen – Galerie 12.3.
Un peu plus d’un an après son ouverture, la galerie 12.3  rue Beauvoisine n’en finit pas d’offrir aux mélomanes du beau des occasions de s’extasier et de s’émerveiller devant des œuvres rassemblées pour une occasion, pour une exposition. « Nous marchons au coup de cœur » avoue le locataire des lieux, Patrick Léonard, peintre lui-même. « A côtoyer des artistes, à décrypter leur travail, on craque pour une démarche, une authenticité. Le reste n’est qu’organisation ». Ainsi, après avoir mis en avant les photographies d’Isabelle Lebon, retraçant l’histoire d’hommes et de femmes en terre de Palestine ou celles d’une Marie Le Bruchec relatant l’évanescence de quotidiens captés par un regard aigu, la galerie 12.3 propose depuis le 19 décembre dernier, une installation opportunément baptisé « de A comme Alechinsky à V comme Villon – Œuvres sur papier». Pourquoi Alechinsky ? « Tout simplement parce que son nom illustre la première lettre de l’alphabet et que cette exposition comporte l’une de ses compositions » révèle Patrick Léonard. Réunissant dans son travail expressionnisme et surréalisme, ce peintre et graveur est un des acteurs majeurs du monde artistique Belge. Pourquoi Villon ? « Là aussi nous avons la chance de présenter  l‘une des œuvres de celui qui était le beau-frère de Marcel Duchamp ». D’autres sommités figurent au registre de cette exposition qui comporte une trentaine de toiles. Miro, Mata, Masson en font partie. Et puis, accrochés à côté de ces grands noms, il y a les « locaux ». Claire Ruquier et ses déclinaisons sur la Grenade, fruit de la passion, Emmanuel Routon et ses aquarelles dans lesquelles il tente de « maîtriser le hasard » ou encore Patrick Léonard, le galeriste. Lithos, gravures, gouaches, fusains ou aquarelles… Autant de méthodes de travail pour un même support, le dénominateur commun de cette belle présentation, le papier. Cette exposition, qui prendra fin le 16 janvier laissera place, en marge du festival des cinémas du monde, à une rétrospective photographique de Vincent Verhaeren, ingénieur du son à la RTBF durant 33 ans, absorbé par sa passion pour la photographie en noir et blanc. Galerie 12.3 – 123, rue Beauvoisine – Rouen. Ouverte le mercredi, vendredi, samedi et le dimanche de 15 à 19 h – http://galerie12point3.com

Un peu plus d’un an après son ouverture, la galerie 12.3  rue Beauvoisine n’en finit pas d’offrir aux mélomanes du beau des occasions de s’extasier et de s’émerveiller devant des œuvres rassemblées pour une occasion, pour une exposition. « Nous marchons au coup de cœur » avoue le locataire des lieux, Patrick Léonard, peintre lui-même. « A côtoyer des artistes, à décrypter leur travail, on craque pour une démarche, une authenticité. Le reste n’est qu’organisation ». Ainsi, après avoir mis en avant les photographies d’Isabelle Lebon, retraçant l’histoire d’hommes et de femmes en terre de Palestine ou celles d’une Marie Le Bruchec relatant l’évanescence de quotidiens captés par un regard aigu, la galerie 12.3 propose depuis le 19 décembre dernier, une installation opportunément baptisé « de A comme Alechinsky à V comme Villon – Œuvres sur papier». Pourquoi Alechinsky ? « Tout simplement parce que son nom illustre la première lettre de l’alphabet et que cette exposition comporte l’une de ses compositions » révèle Patrick Léonard. Réunissant dans son travail expressionnisme et surréalisme, ce peintre et graveur est un des acteurs majeurs du monde artistique Belge. Pourquoi Villon ? « Là aussi nous avons la chance de présenter  l‘une des œuvres de celui qui était le beau-frère de Marcel Duchamp ». D’autres sommités figurent au registre de cette exposition qui comporte une trentaine de toiles. Miro, Mata, Masson en font partie. Et puis, accrochés à côté de ces grands noms, il y a les « locaux ». Claire Ruquier et ses déclinaisons sur la Grenade, fruit de la passion, Emmanuel Routon et ses aquarelles dans lesquelles il tente de « maîtriser le hasard » ou encore Patrick Léonard, le galeriste. Lithos, gravures, gouaches, fusains ou aquarelles… Autant de méthodes de travail pour un même support, le dénominateur commun de cette belle présentation, le papier. Cette exposition, qui prendra fin le 16 janvier laissera place, en marge du festival des cinémas du monde, à une rétrospective photographique de Vincent Verhaeren, ingénieur du son à la RTBF durant 33 ans, absorbé par sa passion pour la photographie en noir et blanc. Galerie 12.3 – 123, rue Beauvoisine – Rouen. Ouverte le mercredi, vendredi, samedi et le dimanche de 15 à 19 h – http://galerie12point3.com